La civilisation commence à ressembler à un reste dans le frigo.
Les jeux de mots se font par ennui dans des esprits assez vides.
Il faut être prudent et ne pas révéler les secrets avec le corps, ou les yeux et les gestes.
Dans les greniers, on trouve les vieux prix Nobel de l'insignifiance.
Quand on est un jeune équilibré on a l'éternité devant soi : Quand on est un vieux équilibré on a l'éternité derrière soi.
L'Homme sent la bête, et la Femme enivre de fragrances doux-fleurantes.
Quand tu travailles pour toi, tu travailles trèstout mieux.
Quand tu n'achètes plus rien car tout sent l'arnaque : Les prix vont à baisser vitement.
C'est pas le travail qui manque, c'est le travail payé et pour le long temps.
Dans les devis initiatiques, les sages ont mis en plants des lopins de pièges et astuces.
Le ciel géographique reflète les ennuis et chicanes de la Terre dessous.
Les stéréotypes sont des types qui fréquentent trop.
Ecrire c'est faire ou fabriquer la pensée.
Cettui qui agit précède ou devance cettui qui reste à penser.
Une journée pour la Femme et des milliasses d'années pour l'Homme.
Il faut d'arrivée couper le cou à l'esprit du temps.
La caste des hommes en cravates comme des pendables...
Il faut tout critiquer avant que ça s'installe...
Le net c'est le rendez-vous des mecs qui essaient.
"La Journée des Femmes" est un dispositif de misère dans une société incapable.
Les élites amrica et donc mondiales disent : Il n'est plus aucun endroit pour se cacher !
Salariés ! Protègez-vous dès maintenant ! Prévoyez le pire !
Louv' to witerr tàkenn Soth Boc.
His leofmon Deila bihalde.
It ben aires ov hevene.
3ème Guerre Mondiale : Mais contre les emplois.
Sur le net, on écrit pour personne.
L'oeil bionique a été conçu et mis en oeuvre : C'est le début de l'immortalité.
Dans peu de temps, quand l'immortalité sera créée, les places seront si rares et chères qu'elles engendreront beaucoup d'avidité et de morts crimineuses.
De nos jours, les dégoiseurs confondent volontairement la contestation et l'étalage de leurs propres échecs et manques.
De nos jours, on confond aisément franchise et promptitude à la déchéance de soi-même, comme on confond l'humour avec la mesquine et médiocre jalousie.
De nos jours sur le net, il y a des milliasses de types qui se r'assemblent pour des non-événements.
Tu reconnais aisément l'imbécile de loin, à ce qu'il fait beaucoup de bruit.
L'homme vraiment intelligent sait écarter les fâcheux c'est-à-dire les cons, sans aucune violence.
Pour moi, savoir à peine lire et utiliser une bagnole, l'internet ou la ville ne différencie pas vraiment l'Homme de la Bête.
Des myriades d'années d'évolution animale pour aveindre à la perfection Deila : ça valait le coup.
Parce que tu es belle insaisissablement, tu sais rendre la Beauté Surnaturelle en photo.
Le Futur est à ceux qui n'en ont pas peur.
Demain je vais me promener pour arrêter ma vie le temps d'une journée.
L'amour de Deila se sait diffuser le fabuleux et le merveilleux dans ma vie et à l'entour.
L'intensité et la clarté des couleurs sont la porte vers l'invisible.
Toutes les minutes et secondes, la galaxie entière est sauvée.
Le problème avec les petits boulots c'est qu'ils ne grandissent pas.
Jésus est un personnage historique très dépassé par les événements.
Il faut rendre à César ce qu'il a rendu.
Le roi de l'évasion aimait à regarder le monde par les trous de serrures.
Les draps sont la porte qui nous ouvre au monde, malheureusement !
La Grande Distribution c'est la distribution des rôles par l'inconscient.
Tout ce qui se comprend sans parler est langage universel.
Les gangsters ne sont romantiques qu'au cinéma.
La Lune est un Soleil étrange.
Les beaux murs marbrés de ton appart, lisses et blonds, sont les bras qui t'enveloppent.
Le flou est partout.
Demian à Deila : Ton épaule est la cathédrale de mes baisers.
Combien y a-t-il de Sans Malheur Fixe ?
Ne jamais croire les anticipations, en raison de la survenue de l'Inconnue.
Le net te bouffe le temps de la précieuse naissance humaine.
L'amour et l'imprégnation : deux mots pour un seul concept.
Avant de mourir, on se fatigue beaucoup, ce qui rend habilement toute révolte vaine.
Les mots ne sont que les promesses d'actes qu'il faut accomplir réellement.
A Paris, il y a tellement de gens dans la rue, qu'ils deviennent banals comme des brins d'herbe qu'on ignore aisément.
Quand on aime on assure et on ne se débine pas.
Le Prince Charmant c'est simple : C'est le meilleur d'entre-tous les testés.
Ce sont les murs qui dirigent l'Europe.
La nessence humaine est chère.
Have a nice pay !
La cybernatalité est improbable.
Demian & Deila s'aiment et s'entre-suffisent.
C'est la crise dans les esprits.
L'homme du XXIIème siècle vivra dans les cavernes mais sans les bêtes dehors.
Yes we bug !
Au sommet de l'Everest, la moindre glissade prend sur l'instant des dimensions effroyables, surtout dessous la face nord.
L'enfer céleste autre.
Dans une famille très nombreuse, il y a forcément des accidents.
Les très grands conflits naissent des plus petits malentendus.
La vie est un chemin très long dont le moindre écart nous fait dévier vers de grandes errances.
Si tu courtises deux femmes dans le même temps : Tu perds les deux.
Demian West
Monday, March 09, 2009
Sunday, March 08, 2009
Des crinolines érotisantes
Demian et Deila ont, de ce grand pied, visité l'exposition des crinolines au Musée de la Mode à Paris, au Palais Galliera. C'est du top jupon. Et plein de sous-entendus érotiques : Quand on perçoit bien le sens de ces tissus qui arment la féminité pour asservir les mâles empire d'il y a deux siècles déjà.
C'est qu'on est bouffé au même régime du plat très-épicé. Certes, il y a ces robes guindées à bandes ornementales minimalistes évoquant les dernières de Buren et les vraies-fausses-culottes des sans-culottes. Mais, c'est le ravissement vertigneux presque noué quand on passe devant ces cubes de verre pleins de robes imprimées de guirlandes de fleurs et ruchées d'abeilles et de teintures criardes passées.
Il y a tout ! les carnets de bal avec leurs petites écritures au crayon timide, mais dénotatif de listes forlongées comme des courses du turf à la Degas. Les éventails sont à tomber sur le soyle de parterre, et les bijoux coupent le souffle mieux que la lame à détrancher du vieux doc Guillotin. C'est la femme qui exulte en ascenseur social comme dans le Bel-Ami de Maupassant. Et on y voit les travellators inventés pour les grands magasins parisiens sur lesquels les belles ne marchent plus : En mannequins de l'Exposition Universelle c'est-à-dire mondifiée.
Il y a beaucoup de dentelles et de moires insaisissables, ou par le seul son des souvenirs personnels des frottements que nous avons tous vécus et pour les revivre. D'ailleurs, Deila et moi n'y manquons pas de nous entre-frotter et par les mots et par l'air et par les membres vêtus ou non, çà et là.
C'est donc une expo du meilleur goût pour y inviter votre Dame, à celle fin qu'elle s'éjouisse de sa nature et de sa qualité de fatale. Franchement, quand on s'arrête devant la robe de Lola Montès des Ludwig, Ophuls et Bunuel filmiques ès rêveurs fantasmatiques, on comprend d'où vient cette impression de cheval fou tissée dans cette crin-oline toute cerclée d'une cage, pour donner de l'ampleur et espacer la femme jusqu'à son atmosphère circumconsciente.
Pour ma part, j'étais avec l'actrice Deila de la Famille Vogur, qui est la plus belle femme du monde et de l'histoire, et que je l'ai couverte de triple rangs de perles de culture, afin qu'elle se mirât dans une glace ingresque et lissée comme un tableau de l'Empire qu'elle a sur moi.
Demian West
C'est qu'on est bouffé au même régime du plat très-épicé. Certes, il y a ces robes guindées à bandes ornementales minimalistes évoquant les dernières de Buren et les vraies-fausses-culottes des sans-culottes. Mais, c'est le ravissement vertigneux presque noué quand on passe devant ces cubes de verre pleins de robes imprimées de guirlandes de fleurs et ruchées d'abeilles et de teintures criardes passées.
Il y a tout ! les carnets de bal avec leurs petites écritures au crayon timide, mais dénotatif de listes forlongées comme des courses du turf à la Degas. Les éventails sont à tomber sur le soyle de parterre, et les bijoux coupent le souffle mieux que la lame à détrancher du vieux doc Guillotin. C'est la femme qui exulte en ascenseur social comme dans le Bel-Ami de Maupassant. Et on y voit les travellators inventés pour les grands magasins parisiens sur lesquels les belles ne marchent plus : En mannequins de l'Exposition Universelle c'est-à-dire mondifiée.
Il y a beaucoup de dentelles et de moires insaisissables, ou par le seul son des souvenirs personnels des frottements que nous avons tous vécus et pour les revivre. D'ailleurs, Deila et moi n'y manquons pas de nous entre-frotter et par les mots et par l'air et par les membres vêtus ou non, çà et là.
C'est donc une expo du meilleur goût pour y inviter votre Dame, à celle fin qu'elle s'éjouisse de sa nature et de sa qualité de fatale. Franchement, quand on s'arrête devant la robe de Lola Montès des Ludwig, Ophuls et Bunuel filmiques ès rêveurs fantasmatiques, on comprend d'où vient cette impression de cheval fou tissée dans cette crin-oline toute cerclée d'une cage, pour donner de l'ampleur et espacer la femme jusqu'à son atmosphère circumconsciente.
Pour ma part, j'étais avec l'actrice Deila de la Famille Vogur, qui est la plus belle femme du monde et de l'histoire, et que je l'ai couverte de triple rangs de perles de culture, afin qu'elle se mirât dans une glace ingresque et lissée comme un tableau de l'Empire qu'elle a sur moi.
Demian West
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