Jerry Lewis reprend du service. En effet, il vient d'être alpagué par la police des airs, en plein drap d'un aéroport à Las Végas vendredi dernier, avec pas moins qu'un flingue planqué dans ses valoches. C'est pas une blague de l'humoriste, qui aime les voyages sécurisés à 82 ans réjouis. Jerry et les armes c'est du sérieux !
Son bagage humoristique a été contrôlé positif quand il est passé sous les rayons X qui ont grimacé et tout vu sauf les balles. L'arme n'était pas chargée, ce qui ajoute au comique de l'arrestation, juste pour voir si tout allait bien dans les intentions du gus assez délirant, comme chacun le sait... enfin ceux qui ne l'imaginaient pas encore mort en tous les cas assez oublié.
C'est même pour cette charge d'humour qu'il se déplaçait, car il se rendait dans le Michigan pour donner son spectacle du mista gun, ou quelque chose comme ça parti tout seul de la roulette américaine à Las Végas.
Ca ira pour cette fois, et on l'a relâché pour qu'il reprenne possession de son arme à blanc. On est en Amrica et on ne rigole pas avec ces choses-là. Toutefois, on aura noté que Jerry Lewis n'avait pas de port d'arme. C'est moins sûr quand on mesure sa vis comica mythologisée.
C'est tout de même un très bon type, car il anime tous les ans le téléthon local aux States. Où il fait le coup de feu à hauteur de 64 millions de dollars quand même. Ce qui autorise quelques digressions ou quelques oublis dans les valises explosives pour le fun.
Certes, l'Américain est chatouilleux aux abords des tarmacs et depuis le 9/11/2001. Mais qui pourrait soupçonner Jerry Lewis d'un quelconque détournement d'humeur? Quand on le sait si professionnel de l'humour et depuis les années 60.
Bon, c'était un petit calibre genre 22, à tout le moins pour faire peur. Mais jamais pour trouer le fuselage de l'avion ni la tempe du commandant. Et par un artiste si peu suicidaire, dont on peut tout supposer, hormis qu'il n'aurait pas déjà fait son trou.
Wednesday, July 30, 2008
L'amour fusionnel est-il nuke ?
Dans les couloirs paumés de la philo, on dit tantôt qu'il y a deux modes qui conviennent à l'amour. D'une part, on peut aimer d'amour fusionnel à la mode platonicienne. J'ai pas dit platonique, ce qui est trop uranien ou dans le marbre de l'air. Non ! l'amour fusionnel dequoi nous parlons est une sérieuse usine à ennuis qui ne manquent jamais leurs trains d'aventures et de passions douloureuses. Un peu comme Jésus quand il montait les marches du Golgotha avec toutes ses maîtresse en pâmoison... enfin ! j'y étais pas et donc j'imagine des lopins.
Car, à trop s'identifier à l'autre, à lui rentrer dedans puisqu'on l'a dans la peau, on finit par lui squatter la vie purement et simplement. Si qu'il finit par devenir aussi chiant qu'un proprio d'un mouchoir carré de bâtiment et jardin historiques. Bref ! il finit par nous fiche dehors de sa vie et justement quand on l'aime à donf, et comme on n'a jamais aimé personne avant lui. Après on s'étonne que le monde de mézigue soit mal fichu. Quand en fait, c'est mézigue qu'est tout cassé et en vrac chez le psy de palier.
L'autre approche de la névrose amoureuse est plus cool. C'est la spinoziste, à ce qu'on dit tantôt. C'est-à-dire qu'elle a été conçue en des termes clairs comme le nougat exposé au soleil de l'Afrique subsaharienne gluant par Spinoza le philosophe hollandais qui a beaucoup exporté sa philo bavarde. Il s'agit d'une forme nouvelle de l'amour qui dit de façon la plus polie qui soit pour un amoureux sexuel : Qu'il faut juste se réjouir et être heureux que l'autre existe.
Ce qui induit qu'on aurait pris pleine conscience du lien par-delà l'espace ou la séparation, le cas échéant. Elle semble plus sûre cette façon d'aimer, car on ne risque jamais d'étouffer l'autre avec l'édredon pour hériter de ses milliards d'acariens et leurs semis de dollars. C'est aussi bien de laisser tranquille la personne qu'on aime, plutôt que de la couvrir de harcèlements en bouquets de manifestations d'amour qui sentent parfois le faisandé. Car elles ne sont une ivresse qu'au début inflammatoire de la maladie du coup de foudre. D'autant que cette maladie de la teigne est incurable et que personne ne s'est essayé à la mettre en fac pour y étudier quelque science là-dedans... y en a pas !
Au fond, il faudrait visualiser ou percevoir l'amour comme un nuage spirituel et sensuel à la fois, qui nimberait les deux amoureux et qui saurait les mettre en une relation quasi télépathique. Comme lorsqu'ils s'envoient le même texto en même temps entre RER et subway, et qu'il dit : "n'oublie pas d'acheter la baguette pour midi... même si tu me manques à mort et que je brûle de te revoir dès la fin de ton tournage du movie arrgh ! à la fin du mois du ramadan sexuel forcé".
Certes, il est plus facile de philosopher que de vivre ces préceptes de la philo écrite par des types qui n'ont probablement jamais été amoureux, hormis de leurs livres. Mais c'est pas pareil pour effeuiller la marguerite goethéenne ou ses pages vénusiennes. Il reste que pour connaître l'amour spinoziste, il vaut mieux attendre le nombre des ans et l'expérience, ou peut-être quelqu'un qui saura vous y initier. En vérité, une personne que vous aimerez vraiment et qu'elle saura vous pousser à des sacrifices aisés, dont vous n'imaginiez pas que vous pouviez en être assez capables.
Alors, on en devient d'autant plus attirant, puisqu'on a fini d'être chiant. A tout le moins dans les grandes lignes, car faut pas rêver non plus à l'amoureux parfait, qui est aussi faux et factice qu'un Renoir dans son cadre doré au milieu d'une loge de concierge dans l'escalier.
Car, à trop s'identifier à l'autre, à lui rentrer dedans puisqu'on l'a dans la peau, on finit par lui squatter la vie purement et simplement. Si qu'il finit par devenir aussi chiant qu'un proprio d'un mouchoir carré de bâtiment et jardin historiques. Bref ! il finit par nous fiche dehors de sa vie et justement quand on l'aime à donf, et comme on n'a jamais aimé personne avant lui. Après on s'étonne que le monde de mézigue soit mal fichu. Quand en fait, c'est mézigue qu'est tout cassé et en vrac chez le psy de palier.
L'autre approche de la névrose amoureuse est plus cool. C'est la spinoziste, à ce qu'on dit tantôt. C'est-à-dire qu'elle a été conçue en des termes clairs comme le nougat exposé au soleil de l'Afrique subsaharienne gluant par Spinoza le philosophe hollandais qui a beaucoup exporté sa philo bavarde. Il s'agit d'une forme nouvelle de l'amour qui dit de façon la plus polie qui soit pour un amoureux sexuel : Qu'il faut juste se réjouir et être heureux que l'autre existe.
Ce qui induit qu'on aurait pris pleine conscience du lien par-delà l'espace ou la séparation, le cas échéant. Elle semble plus sûre cette façon d'aimer, car on ne risque jamais d'étouffer l'autre avec l'édredon pour hériter de ses milliards d'acariens et leurs semis de dollars. C'est aussi bien de laisser tranquille la personne qu'on aime, plutôt que de la couvrir de harcèlements en bouquets de manifestations d'amour qui sentent parfois le faisandé. Car elles ne sont une ivresse qu'au début inflammatoire de la maladie du coup de foudre. D'autant que cette maladie de la teigne est incurable et que personne ne s'est essayé à la mettre en fac pour y étudier quelque science là-dedans... y en a pas !
Au fond, il faudrait visualiser ou percevoir l'amour comme un nuage spirituel et sensuel à la fois, qui nimberait les deux amoureux et qui saurait les mettre en une relation quasi télépathique. Comme lorsqu'ils s'envoient le même texto en même temps entre RER et subway, et qu'il dit : "n'oublie pas d'acheter la baguette pour midi... même si tu me manques à mort et que je brûle de te revoir dès la fin de ton tournage du movie arrgh ! à la fin du mois du ramadan sexuel forcé".
Certes, il est plus facile de philosopher que de vivre ces préceptes de la philo écrite par des types qui n'ont probablement jamais été amoureux, hormis de leurs livres. Mais c'est pas pareil pour effeuiller la marguerite goethéenne ou ses pages vénusiennes. Il reste que pour connaître l'amour spinoziste, il vaut mieux attendre le nombre des ans et l'expérience, ou peut-être quelqu'un qui saura vous y initier. En vérité, une personne que vous aimerez vraiment et qu'elle saura vous pousser à des sacrifices aisés, dont vous n'imaginiez pas que vous pouviez en être assez capables.
Alors, on en devient d'autant plus attirant, puisqu'on a fini d'être chiant. A tout le moins dans les grandes lignes, car faut pas rêver non plus à l'amoureux parfait, qui est aussi faux et factice qu'un Renoir dans son cadre doré au milieu d'une loge de concierge dans l'escalier.
Tuesday, July 29, 2008
L'homme est l'animal qui a inventé le mariage
Quand on ne veut plus se marier, et parce qu'on a essayé le mariage et qu'il a laissé un mauvais goût de reviens-y, on tente d'écarter le problème là où on l'a laissé au fond du couloir. Car au fond du divan, on sait bien que le mariage c'est confortable : c'est sérieux comme une romance carléenne à l'Elysée et c'est la certitude de posséder la bien-aimée quoi qu'il arrive.
Mais on s'était juré de ne plus y entrer kling. Bien sûr, on glisse d'abord sur le Pacs qui est plus cool et tout par la pensée d'abord, puisqu'il permet les fuites en rase pubis de campagne. Aussi, il laisse de côté les questions de fric qui foutent la mésaise dans le couple, et uniquement quand les affaires marchent moins bien genre chômdu de la misère des classes des caddies des autres.
Toutefois, Pacs en langage de drague ça veut déjà dire que tu veux lui mettre les menottes et que t'attaches le tout au lit des fauves, qui ont coutume de se repaître de couineries éjouissantes et très animalement amiables, parce que nous le dévalons bien... Le tout c'est de bien comprendre que tu veux accrocher des liens solides fixes et fermes par des noeuds torrides et supervisés genre super et visés par le notaire, le maire, la loi, les gendarmettes et leurs bikinis de l'atoll nuke explosif mais tout ce qu'il y a de plus pacifique et lagons.
En d'autres termes plus légers, t'as peur que la femme de tes rêves ou de ton coup de bol ne parte avec le voisin où un type encore plus beau qui court les rues surtout à Paris. Et que même parfois genre souvent les femmes préfèrent les hommes laids... sinon, pourquoi serait-elle avec toi ? Et là, il y en a beaucoup plus, forcément.
C'est éreintant pour la confiance, et il faut beaucoup d'adresse et d'habileté pour ne pas sombrer titaniquement dans la jalousie maladive à la Chabrol des movies noires, ou dans l'inquiétude constante, qui justement te sépare le plus sûrement de ta belle ; quand le propos du jour est de la conserver dans ta belle usine qui met les fruits en conserve.
On dira donc, que le plus simple est de se marier quand on est sûr de vouloir passer 10 ans avec la femme qui a su tournevirer nos hormones en vitrine des cadeaux de Noël, la fête pas le prénom à Papy. C'est la bonne mesure qu'il faut tenir, ou 7 ans au moins...5 c'est trop peu pour faire le tour de l'immeuble. Et donc, c'est traumatisant des tripes de cerveaux que tu dois ensuite les remettre en vrac à Freud le fabuleux doc'luv'cigar. C'est vrai, qu'un dépassement au rebours de moins de 5 ans ça cause des effets de série genre carambolage qui te réduisent tous les points de ton permis de confiance en ton arroseur arrosé. J'me comprends !
La vie étant courte à ce qu'on dit tantôt, il vaut mieux être bien sûr de l'identité de la femme qu'on veut épouser. Est-ce bien elle ? et non pas une autre que tu rêves encore plus belle, plus brillante, plus intelligente, plus sexy, plus horny, plus pire en tout mais tout en tendresse vu qu'on est des déjantés bourrés de contradictions (une maladie pustuleuse et somptueuse de la langue qui fait dire plein de choses qu'on regrette même pas vu qu'c'est une maladie.)
Finalement, le mieux est de décider qu'il y aura mariage et juste pour faire ch... tous ceux qui se poseraient la question de savoir s'il était bien judicieux de connubier avec sa Justine un peu sadienne. Et on n'invitera que le strict minimum, soit bibendum et le polit buro et son broc avec le Poutine de la Martine.
Pour le reste des noces dehors, on achète les bonnes chaussures d'approche himalayenne et on gravite la crème chantilly par la face nord, le piolet dans le nez et la corde autour du cou...ouille ! j'ai rien dit...
Mais on s'était juré de ne plus y entrer kling. Bien sûr, on glisse d'abord sur le Pacs qui est plus cool et tout par la pensée d'abord, puisqu'il permet les fuites en rase pubis de campagne. Aussi, il laisse de côté les questions de fric qui foutent la mésaise dans le couple, et uniquement quand les affaires marchent moins bien genre chômdu de la misère des classes des caddies des autres.
Toutefois, Pacs en langage de drague ça veut déjà dire que tu veux lui mettre les menottes et que t'attaches le tout au lit des fauves, qui ont coutume de se repaître de couineries éjouissantes et très animalement amiables, parce que nous le dévalons bien... Le tout c'est de bien comprendre que tu veux accrocher des liens solides fixes et fermes par des noeuds torrides et supervisés genre super et visés par le notaire, le maire, la loi, les gendarmettes et leurs bikinis de l'atoll nuke explosif mais tout ce qu'il y a de plus pacifique et lagons.
En d'autres termes plus légers, t'as peur que la femme de tes rêves ou de ton coup de bol ne parte avec le voisin où un type encore plus beau qui court les rues surtout à Paris. Et que même parfois genre souvent les femmes préfèrent les hommes laids... sinon, pourquoi serait-elle avec toi ? Et là, il y en a beaucoup plus, forcément.
C'est éreintant pour la confiance, et il faut beaucoup d'adresse et d'habileté pour ne pas sombrer titaniquement dans la jalousie maladive à la Chabrol des movies noires, ou dans l'inquiétude constante, qui justement te sépare le plus sûrement de ta belle ; quand le propos du jour est de la conserver dans ta belle usine qui met les fruits en conserve.
On dira donc, que le plus simple est de se marier quand on est sûr de vouloir passer 10 ans avec la femme qui a su tournevirer nos hormones en vitrine des cadeaux de Noël, la fête pas le prénom à Papy. C'est la bonne mesure qu'il faut tenir, ou 7 ans au moins...5 c'est trop peu pour faire le tour de l'immeuble. Et donc, c'est traumatisant des tripes de cerveaux que tu dois ensuite les remettre en vrac à Freud le fabuleux doc'luv'cigar. C'est vrai, qu'un dépassement au rebours de moins de 5 ans ça cause des effets de série genre carambolage qui te réduisent tous les points de ton permis de confiance en ton arroseur arrosé. J'me comprends !
La vie étant courte à ce qu'on dit tantôt, il vaut mieux être bien sûr de l'identité de la femme qu'on veut épouser. Est-ce bien elle ? et non pas une autre que tu rêves encore plus belle, plus brillante, plus intelligente, plus sexy, plus horny, plus pire en tout mais tout en tendresse vu qu'on est des déjantés bourrés de contradictions (une maladie pustuleuse et somptueuse de la langue qui fait dire plein de choses qu'on regrette même pas vu qu'c'est une maladie.)
Finalement, le mieux est de décider qu'il y aura mariage et juste pour faire ch... tous ceux qui se poseraient la question de savoir s'il était bien judicieux de connubier avec sa Justine un peu sadienne. Et on n'invitera que le strict minimum, soit bibendum et le polit buro et son broc avec le Poutine de la Martine.
Pour le reste des noces dehors, on achète les bonnes chaussures d'approche himalayenne et on gravite la crème chantilly par la face nord, le piolet dans le nez et la corde autour du cou...ouille ! j'ai rien dit...
Saturday, July 26, 2008
La banque fait le ménage au cimetière.
Non seulement on y rencontre le grand amour, mais le net est aussi intéressant pour y flairer les pires menaces qui fondent droit sur nous depuis le ciel de Wall Street genre carambolage de 29... bagnoles bankables crashées.
En d'autres termes, c'est en ce moment que 4 banques amrica sont dans la faillite des grands jours plus enième fashion. D'abord deux puis deux autres, et bientôt, à ce qu'on dit tantôt mégaphoniquement, elles seront plus de cent dès l'année prochaine des chrysantèmes.
Les banques ne prêtent plus car elles prévoient des temps durs, même en France le petit pays des fromages au radium. C'est que les grandes usines à fric sont en train de fusionner par de grandes manoeuvres qui écrasent les petites banques qui végètent sous les quelques milliards de patrimoine.
Vous me direz, "que voulez-vous que ça me fasse, j'ai pas trop de fric séquestré dans ma banque ?". C'est bien d'être pauvre, ça vous protège du crash genre grandes vacances et Tour de France dans son clic-clac. Toutefois, je connais des personnes bien élevées et dans des familles de fonctionnaires, auquelles on a appris à trop faire confiance aux institutions, même privées. Et là ça coince les doigtés dans les gonds rouillés à Venise...
Car ce seront ces petits genre moyens qui risquent gros à ce jeu de je-te-plume-tes-économille-d'une-vie-qui-vaut-pas-tripette. On les aura prévenus, mais ça ne sert à rien. Car ils vont toujours laisser tout leur flouze bien au chaud dans la banque familiale qui affiche la confiance, plus elle est moyenne et petite. Ca s'appelle au centre ville un réflexe frileux.
Espérons que l'Etat sera assez fort pour garantir les sommes versées jusqu'à 60000 € comme dit le prospectus imprimé en caractères "liliputiens qui vaut mieux que deux tue les rats". Mais, je suis de coutume assez inquiète et alarmiste...C'est pour ça que je suis riche, à tout le moins pour les pauvres qui guettent mes faiblesses pour me délester de mes sacs trop lourds : un pour les plastiques et l'autre pour les déchets bio-dégradables...
Si ça se trouve, ces banques vont faire faillite et on ne le remarquera même pas ce tsunami feutré dans le béton secret des coffres du corsaire costard. C'est vrai que nous vivons une époque bizarre où l'on voit des choses jamais vues, comme la Société Générale qui survit avec un trou de 5 milliards de cloportes en plein buffet froid. On n'est pas la science non plus qui fait péter son labo toutes les fins de mois expérimentaux.
Et puis, pourquoi toujours vouloir tout prévoir, tout assurer et ne rien risquer ? Quand à la fin, et le frigo plein, tu paumes tout... mais vraiment tout : veau, vaches, cochons, fermes, banques, pieds, génitoires, femmes et enfant et même ton pieu dans lequel tu crèves comme un pacha repu de lokoums au gingembre vonant et rotant de satiété... toutefois la main menottée à la valoche des codes de l'héritage que tu laisses à ta descendance pour qu'elle s'étripe autour ta tombale.
Tiens ! ça me rappelle l'enterrement de Vasarely qui banquait pas mal ses oeuvres.
En d'autres termes, c'est en ce moment que 4 banques amrica sont dans la faillite des grands jours plus enième fashion. D'abord deux puis deux autres, et bientôt, à ce qu'on dit tantôt mégaphoniquement, elles seront plus de cent dès l'année prochaine des chrysantèmes.
Les banques ne prêtent plus car elles prévoient des temps durs, même en France le petit pays des fromages au radium. C'est que les grandes usines à fric sont en train de fusionner par de grandes manoeuvres qui écrasent les petites banques qui végètent sous les quelques milliards de patrimoine.
Vous me direz, "que voulez-vous que ça me fasse, j'ai pas trop de fric séquestré dans ma banque ?". C'est bien d'être pauvre, ça vous protège du crash genre grandes vacances et Tour de France dans son clic-clac. Toutefois, je connais des personnes bien élevées et dans des familles de fonctionnaires, auquelles on a appris à trop faire confiance aux institutions, même privées. Et là ça coince les doigtés dans les gonds rouillés à Venise...
Car ce seront ces petits genre moyens qui risquent gros à ce jeu de je-te-plume-tes-économille-d'une-vie-qui-vaut-pas-tripette. On les aura prévenus, mais ça ne sert à rien. Car ils vont toujours laisser tout leur flouze bien au chaud dans la banque familiale qui affiche la confiance, plus elle est moyenne et petite. Ca s'appelle au centre ville un réflexe frileux.
Espérons que l'Etat sera assez fort pour garantir les sommes versées jusqu'à 60000 € comme dit le prospectus imprimé en caractères "liliputiens qui vaut mieux que deux tue les rats". Mais, je suis de coutume assez inquiète et alarmiste...C'est pour ça que je suis riche, à tout le moins pour les pauvres qui guettent mes faiblesses pour me délester de mes sacs trop lourds : un pour les plastiques et l'autre pour les déchets bio-dégradables...
Si ça se trouve, ces banques vont faire faillite et on ne le remarquera même pas ce tsunami feutré dans le béton secret des coffres du corsaire costard. C'est vrai que nous vivons une époque bizarre où l'on voit des choses jamais vues, comme la Société Générale qui survit avec un trou de 5 milliards de cloportes en plein buffet froid. On n'est pas la science non plus qui fait péter son labo toutes les fins de mois expérimentaux.
Et puis, pourquoi toujours vouloir tout prévoir, tout assurer et ne rien risquer ? Quand à la fin, et le frigo plein, tu paumes tout... mais vraiment tout : veau, vaches, cochons, fermes, banques, pieds, génitoires, femmes et enfant et même ton pieu dans lequel tu crèves comme un pacha repu de lokoums au gingembre vonant et rotant de satiété... toutefois la main menottée à la valoche des codes de l'héritage que tu laisses à ta descendance pour qu'elle s'étripe autour ta tombale.
Tiens ! ça me rappelle l'enterrement de Vasarely qui banquait pas mal ses oeuvres.
Friday, July 25, 2008
Le grand amour rencontré sur internet.
Tout le monde connaît ou a entendu des histoires du grand amour rencontré à l'école chez soi ou au coin de l'épicerie du quartier que tu peux pas la rater. Les livres bovaresques en sont remplis et depuis que les spermatozolives ont flirté avec les girlies du cloître de soeurs de la sainte Ovule, qui n'ouvre qu'une fois par an.
Mais zaujourd'hui ont fait mieux sous l'ombrelle penumbrante. Oui da ! on se rencontre le grand glaçon brûlant sur le net. On fréquente d'abord des sites qui incitent, normal ce sont des sites de sisters. Là on peut roucouler et papillonner d'une fleur à l'autre, et vraiment y a toute la vitrine des mannequins carlesques qui se mettent en scène que t'en as les yeux rougis par leurs talons aiguilles en fer forgé, mais très orfévris par le soviet des ouvriers du fer et de la fonte.
En d'autres termes, tout ça est fin et délicat comme la dentelle dans un lit en draps de soie et le cadeau dedans. Un corps méridien de 1 m 75cm de long sur une lattitude fine comme l'anguille qui sait faire.
Après, tu te fais ton idée et tu deviens copain mais lentement. Tu fréquentes et tu sors. Tu manges dans les bons endroits entre la rue Montorgueil et le Georges V ou le Fouquet's sinon à Bastoche. C'est un repast de fauve où l'on te sert des yeux inouïs de femmes jamais vues, mais que toi Demy tu les vois.
Et c'est un privilège de l'aristocrate français. Car souvent c'est la culture française qui plaît plutôt que mézigue qui se lève le matin avec sa tête de péquenot vieux-beau pas encore perruquerasé par la perruche du courtisan assez versaillais mais en retard de plusieurs siècles de remplissage.
C'est vrai ! les femmes d'origines étrangères aiment des français ceux qui jettent leur culture à l'encan dans des promenades anodines, qui sont en réalité des flirts torrides sortis droit de l'enfer vaticanique ; duquel Ovide a su suinter pour enseigner cet "Art d'aimer".
Tout d'un coup, c'est le truc que t'attends pas ! Une jeunette actrice mannequin russe blonde et tout, qui est l'achèvement du rococo. Une carnation unique et diaphane comme une Marie-Antoinette mais qu'elle est la plus belle des femmes. Elle joue film sur film pour le cinoche et elle va être très célèbre, comme Nicole Kidman qui prend un coup de vieux. C'est possible.
On la verra en octobre dans le film de De Caunes "Coluche". Elle est terrible comme son sourire qui te décolle les vieilles dents que t'avais plantées dans le coeur après tes moultes divorcitudes et ruptures décélérantes avec le frein moteur. Et elle t'y fiche le grand coup de poing de sista Lovya massue et tu pleures de bonheur.
Parfois, on est en droit de se demander ce qu'on a pu faire de si bien et qu'on ne le sait pas, et pour mériter de tels cadeaux de la vie et qu'il est en plus si bien emballé dans des rubans qui serrent plus encore... plus tu les dénoues.
Mais zaujourd'hui ont fait mieux sous l'ombrelle penumbrante. Oui da ! on se rencontre le grand glaçon brûlant sur le net. On fréquente d'abord des sites qui incitent, normal ce sont des sites de sisters. Là on peut roucouler et papillonner d'une fleur à l'autre, et vraiment y a toute la vitrine des mannequins carlesques qui se mettent en scène que t'en as les yeux rougis par leurs talons aiguilles en fer forgé, mais très orfévris par le soviet des ouvriers du fer et de la fonte.
En d'autres termes, tout ça est fin et délicat comme la dentelle dans un lit en draps de soie et le cadeau dedans. Un corps méridien de 1 m 75cm de long sur une lattitude fine comme l'anguille qui sait faire.
Après, tu te fais ton idée et tu deviens copain mais lentement. Tu fréquentes et tu sors. Tu manges dans les bons endroits entre la rue Montorgueil et le Georges V ou le Fouquet's sinon à Bastoche. C'est un repast de fauve où l'on te sert des yeux inouïs de femmes jamais vues, mais que toi Demy tu les vois.
Et c'est un privilège de l'aristocrate français. Car souvent c'est la culture française qui plaît plutôt que mézigue qui se lève le matin avec sa tête de péquenot vieux-beau pas encore perruquerasé par la perruche du courtisan assez versaillais mais en retard de plusieurs siècles de remplissage.
C'est vrai ! les femmes d'origines étrangères aiment des français ceux qui jettent leur culture à l'encan dans des promenades anodines, qui sont en réalité des flirts torrides sortis droit de l'enfer vaticanique ; duquel Ovide a su suinter pour enseigner cet "Art d'aimer".
Tout d'un coup, c'est le truc que t'attends pas ! Une jeunette actrice mannequin russe blonde et tout, qui est l'achèvement du rococo. Une carnation unique et diaphane comme une Marie-Antoinette mais qu'elle est la plus belle des femmes. Elle joue film sur film pour le cinoche et elle va être très célèbre, comme Nicole Kidman qui prend un coup de vieux. C'est possible.
On la verra en octobre dans le film de De Caunes "Coluche". Elle est terrible comme son sourire qui te décolle les vieilles dents que t'avais plantées dans le coeur après tes moultes divorcitudes et ruptures décélérantes avec le frein moteur. Et elle t'y fiche le grand coup de poing de sista Lovya massue et tu pleures de bonheur.
Parfois, on est en droit de se demander ce qu'on a pu faire de si bien et qu'on ne le sait pas, et pour mériter de tels cadeaux de la vie et qu'il est en plus si bien emballé dans des rubans qui serrent plus encore... plus tu les dénoues.
Thursday, July 24, 2008
Sur le net y en a qui croient dialoguer...
Sur les forums du net il paraît qu'il y a du dialogue. C'est faux ! je le dis d'arrivée, car c'est le propos de ma journée. Celle d'hier était à l'éclate et je ne vous dis que ça.
Moi, ça me fait bidonsker à mort, de voir tous ces forumeurs qui s'appellent des commentateurs et qui accumulent leur monologue souvent de très mauvaise qualité. Puisqu'on y lit combien ils se causent mal à eux-mêmes et de façon si approximative et misérable, qu'on sent bien que c'est plus la soupe populaire que le bordel ou la surboum dans leurs tripes de cervelles ramollies du whoops.
Parfois, quelqu'un semble répondre au tcheloveck qui monologue monogoogle : mais pour y ajouter un autre monologue qui n'est qu'une "réaction au commentaire". Voilà la formule qui dit tout de la vérité quand elle sort toute naïade de son string du puits. Ces gens-là se réagissent, se réactent, et se rédactent sans cesser, et sans laisser mais pas sans laisse.
Et par ainsi, ils s'attachent à la meute et comme des chiens à la chasse qui se mordent entre-eux et s'entre-déchirent. Et y en a des maîtres du journalismo citizen qui appellent ça un dialogue. Normaltrich ! puisqu'ils se font de la massive tunnette attack sur des coups de ce genre mauvais, et qu'ils se répètent tous les jours ces coups dans la tronche de la caisse bling bling again.
C'est probablement pour ça que ces dialogues de catalogues attirent les viokchos pap' et mam', qui y vieillissent plus encore. Faut bien occuper le temps laissé par la débandade de l'entrecuisseaux des organes qui changent de fonction et plus du tout reproductrice -- mais trice c'est sûr.
C'est pas bien de se moquer, mais ne le font-ils pas déjà entre-eux ? Comment y sentiraient-ils quelque pique ou pointe qui saurait les calmer. Plutôt, ils y trouveront des raisons de se mordre plus encore de la morsure collective ou journalisme citoyen de la dévoration.
O mes frères et soeurs, si vous désiriez vous affranchir et devenir adultes ou redevenir des enfants ou des adolescents libres et créateurs -- comme le viokcho Picasso quand il lâchait ses enfants dans toutes les damselles de la haute people : extrayez-vous péniblement de ces forums et retrouvez l'air du dessus. Là où les personnalités ne se mélangent pas dans un chaudron qui les dissout à l'acide de l'anonymat et constamment.
Malheureusement, peu sont encore capables d'entendre et pas faute d'avoir des oreilles... tantôt mastiquées à la boule quiès surouatée. Finalement, le principe de ces réactions aux commentaires est d'abord : n'entendre que soi-même et pour s'y répondre à soi-même durant ce long et chiant enterrement du dialogue en grandes pompes dans la tronche de l'autre.
Moi, ça me fait bidonsker à mort, de voir tous ces forumeurs qui s'appellent des commentateurs et qui accumulent leur monologue souvent de très mauvaise qualité. Puisqu'on y lit combien ils se causent mal à eux-mêmes et de façon si approximative et misérable, qu'on sent bien que c'est plus la soupe populaire que le bordel ou la surboum dans leurs tripes de cervelles ramollies du whoops.
Parfois, quelqu'un semble répondre au tcheloveck qui monologue monogoogle : mais pour y ajouter un autre monologue qui n'est qu'une "réaction au commentaire". Voilà la formule qui dit tout de la vérité quand elle sort toute naïade de son string du puits. Ces gens-là se réagissent, se réactent, et se rédactent sans cesser, et sans laisser mais pas sans laisse.
Et par ainsi, ils s'attachent à la meute et comme des chiens à la chasse qui se mordent entre-eux et s'entre-déchirent. Et y en a des maîtres du journalismo citizen qui appellent ça un dialogue. Normaltrich ! puisqu'ils se font de la massive tunnette attack sur des coups de ce genre mauvais, et qu'ils se répètent tous les jours ces coups dans la tronche de la caisse bling bling again.
C'est probablement pour ça que ces dialogues de catalogues attirent les viokchos pap' et mam', qui y vieillissent plus encore. Faut bien occuper le temps laissé par la débandade de l'entrecuisseaux des organes qui changent de fonction et plus du tout reproductrice -- mais trice c'est sûr.
C'est pas bien de se moquer, mais ne le font-ils pas déjà entre-eux ? Comment y sentiraient-ils quelque pique ou pointe qui saurait les calmer. Plutôt, ils y trouveront des raisons de se mordre plus encore de la morsure collective ou journalisme citoyen de la dévoration.
O mes frères et soeurs, si vous désiriez vous affranchir et devenir adultes ou redevenir des enfants ou des adolescents libres et créateurs -- comme le viokcho Picasso quand il lâchait ses enfants dans toutes les damselles de la haute people : extrayez-vous péniblement de ces forums et retrouvez l'air du dessus. Là où les personnalités ne se mélangent pas dans un chaudron qui les dissout à l'acide de l'anonymat et constamment.
Malheureusement, peu sont encore capables d'entendre et pas faute d'avoir des oreilles... tantôt mastiquées à la boule quiès surouatée. Finalement, le principe de ces réactions aux commentaires est d'abord : n'entendre que soi-même et pour s'y répondre à soi-même durant ce long et chiant enterrement du dialogue en grandes pompes dans la tronche de l'autre.
Wednesday, July 23, 2008
Vite le référendum TSS !
On les a vu en troupes de l'enfer honnir Sarko avant le vote à Versailles de la Réforme de la Constitution. Qui de vomir Jack Lang, parce qu'il a voté selon sa conscience et non pas selon des consignes venues du XIXème siècle de la troupe d'une seule tête. Qui de critiquer Sarkozy, sa femme, son fils, son chien, sa voiture, son Peuple, ses origines, sa mère, ses chaussures, sa taille, ses copains, ses artistes et ses effets de médias...
Qui encore de chercher tous prétextes pour dénigrer en bloc toutes les réformes, que celles-ci soient bonnes ou préalablement demandées par la gauche agonisante. Et qui, finalement, de se jeter dès l'ouverture de cette réforme dans des entreprises de référendum, pour jeter le roi en-bas de son plus haut-siège sur le soyle de parterre badaboum. On peut assurément miser qu'il y aura tant de référendums mis en oeuvre qu'il y aura des embouteillages au portail "tout.sauf.sarko.com" et qu'ils se mangeront entre eux. Et donc, qu'il n'y aura probablement qu'un seul référendumoïde qui passera la membrane de l'ovule et pour demander s'il s'agit d'un garçon ou d'une fille. Autant confier l'affaire à Gala et restez-assis !
C'est ainsi que le français frustré résonne, et qu'il sait profiter des avancées tendues par ceux-là-mêmes qu'il hait. Car c'est bien de la haine à ce degré, quand on voit tout en noir comme si penser signifiait baisser le rideau de tout le business des Lumières. Ajoutons à ça cette obscurité de l'anonymat qui démontre bien que le contempteur veut se cacher par ses propres effets de pénombre.
Nous vivons dans une époque de menteurs et de trompeurs, d'hypocrites pis encore que sous la reine Victoria. On pourrait penser à une sorte de refoulement sexuel pratiqué par toute une classe militante. A l'instar des Peuples qui détestaient le sexe duquel ils provenaient, et pour mieux se montrer qu'ils l'aimaient trop : puisqu'ils le faisaient beaucoup en cachette. Tiens ! tout comme nowadays.
Et quand c'est le mensonge qui vient à régner, ce sont les pires actes qui seraient bientôt exigés par le Peuple lui-même qui veut juste laisser exprimer sa rage d'être seulement le Peuple. Heureusement, ce ne sont que les petites ou moyennes élites qui s'excitent dans leur coin, je veux dire : celles qui ont tout de même la parole, et sur le net aussi. Car les plus pauvres sont, comme et depuis toujours, enferrés dans le silence qui est la seule chose qu'on quémande d'eux. Certes, ils se taisent mais aussi, ils finissent toujours par voter.
On se demande qui a pu voter Sarkozy l'an dernier : et la réponse est : forcément ceux que nous n'entendons pas. Puisque tous ceux que nous entendons se plaignent de cette autre moitié du pays, qui a voté Sarkozy. Il me semble que le plus puissant est cettui qui parle moins, pour s'exprimer en plein drap et uniquement le jour venu du scrutin. Car là est le vrai pouvoir. Tout le reste n'est que reste de gesticulations inutiles à destination de tuer le temps, jusqu'à la prochaine élection... sinon d'une ré-election vu le grand pied des misérables qui va dans le grand train des choses.
Tout compte fait, la société est pleine de croche-pieds, mais le monde quant à lui ce semble bien fait. Car on y constate toujours et depuis la Babylone salomonique que "les chiens qui aboient ne mordent jamais" : ils te lèchent même la main.
Qui encore de chercher tous prétextes pour dénigrer en bloc toutes les réformes, que celles-ci soient bonnes ou préalablement demandées par la gauche agonisante. Et qui, finalement, de se jeter dès l'ouverture de cette réforme dans des entreprises de référendum, pour jeter le roi en-bas de son plus haut-siège sur le soyle de parterre badaboum. On peut assurément miser qu'il y aura tant de référendums mis en oeuvre qu'il y aura des embouteillages au portail "tout.sauf.sarko.com" et qu'ils se mangeront entre eux. Et donc, qu'il n'y aura probablement qu'un seul référendumoïde qui passera la membrane de l'ovule et pour demander s'il s'agit d'un garçon ou d'une fille. Autant confier l'affaire à Gala et restez-assis !
C'est ainsi que le français frustré résonne, et qu'il sait profiter des avancées tendues par ceux-là-mêmes qu'il hait. Car c'est bien de la haine à ce degré, quand on voit tout en noir comme si penser signifiait baisser le rideau de tout le business des Lumières. Ajoutons à ça cette obscurité de l'anonymat qui démontre bien que le contempteur veut se cacher par ses propres effets de pénombre.
Nous vivons dans une époque de menteurs et de trompeurs, d'hypocrites pis encore que sous la reine Victoria. On pourrait penser à une sorte de refoulement sexuel pratiqué par toute une classe militante. A l'instar des Peuples qui détestaient le sexe duquel ils provenaient, et pour mieux se montrer qu'ils l'aimaient trop : puisqu'ils le faisaient beaucoup en cachette. Tiens ! tout comme nowadays.
Et quand c'est le mensonge qui vient à régner, ce sont les pires actes qui seraient bientôt exigés par le Peuple lui-même qui veut juste laisser exprimer sa rage d'être seulement le Peuple. Heureusement, ce ne sont que les petites ou moyennes élites qui s'excitent dans leur coin, je veux dire : celles qui ont tout de même la parole, et sur le net aussi. Car les plus pauvres sont, comme et depuis toujours, enferrés dans le silence qui est la seule chose qu'on quémande d'eux. Certes, ils se taisent mais aussi, ils finissent toujours par voter.
On se demande qui a pu voter Sarkozy l'an dernier : et la réponse est : forcément ceux que nous n'entendons pas. Puisque tous ceux que nous entendons se plaignent de cette autre moitié du pays, qui a voté Sarkozy. Il me semble que le plus puissant est cettui qui parle moins, pour s'exprimer en plein drap et uniquement le jour venu du scrutin. Car là est le vrai pouvoir. Tout le reste n'est que reste de gesticulations inutiles à destination de tuer le temps, jusqu'à la prochaine élection... sinon d'une ré-election vu le grand pied des misérables qui va dans le grand train des choses.
Tout compte fait, la société est pleine de croche-pieds, mais le monde quant à lui ce semble bien fait. Car on y constate toujours et depuis la Babylone salomonique que "les chiens qui aboient ne mordent jamais" : ils te lèchent même la main.
Tuesday, July 22, 2008
Le jour que j'ai rencontré Zara Whites !
C'est clair ! pas d'erreur ! on s'est connu par l'internet. Puis, je me suis posté à la sortie des trains venant droit du Rambouillet souverain. Là, j'attendais la jeune femme qui m'avait donné rendez-vous à la gare Montparno à Paris. Tout d'un coup, elle éclate le battant de la porte pour qu'on le remplace, et le battant brisé, elle se jette sur moi en traversant la salle en criant carrément "Salut le Dems !"
C'est comme ça qu'elle m'est rentrée dedans la peau. Moi j'étais comme un glaçon transformé en verre de bris, mais vachement brisé genre fendillé de sa lézarde d'en-bas jusqu'en-haut. Et on a fichu le camp pour boire un café et s'asseoir après ces entre-gents agréables mais épuisette.
Autour de la gare c'est pas terrible les cafés, ils sont noirs et crasseux. Mais un peu plus loin, on s'est posés dans un petit café blond dont le serveur tomba amoureux sur le champ, quand il apporta le chocolat chantilly que la belle allait déguster devant moi en usant très savamment de sa petite cuillère où tu te fantasmes dedans.
Pourtant, elle porte sur elle, un air si sublimement ingénu qu'il ajoute des ors à ses blondeurs, et par des cercles concentriques qui fulgurent depuis les cercles de ses iris hypnotiquement manheart-killers. En tous les cas, moi je sens encore les points de suture de la blessure érotique à travers le trou carbonisé de ma chemise bleue du côté gauche de ma poitrine fumante de non-fumeur.
Derrière elle, se trouvait une peinture murale bizarre et toute délavée comme le bistrot. Mais que tout ceci prenait des airs de café des anges près du paradis, et tout par le biais de sa présence étonnante. Car, quand vous êtes cloué devant elle et presque incapable de dire un mot tellement elle est belle, vous pensez aussitôt à ces pur-sang arabes qui sont d'ailleurs des animaux top-modello quasiment extra-terrestres. Fins, racés, le nez un peu retroussé, anxieux et sûrs d'eux à la fois, ailleurs, étrangers et bizarrement trop beaux genre whoops.
En plus elle est super sympa (avec moi ! ne rêvez pas) et elle dit plein de choses gentilles parfaitement imméritées, et donc qu'elles font encore plus plaisir au Demy de sa luxuriante pente babylonique des hommes perdus. J'ai beaucoup apprécié regarder l'onction huileuse qui couvre tout son visage et son corps : comme si elle était baignée d'un néon qui flashe qu'elle est belle et plus que la plupart.
D'ailleurs, partout où on s'est baladnicky entre les arbres qui s'inclinaient, les hommes éprouvaient un besoin très répressible de lui parler et sans même me voir. Je n'étais rien, ou le presque-homme qui accompagnait le mythos gréco-romain mais très pop.
Moi, j'adorais les regarder éblouis et comme flashés à 300 à l'heure, quand j'écrivais leur PV salé dans mon calepin rouge & noir. Après la séance de photos coupables des dragueurs killed in action, on est allé manger un brin de trucs végétariens dans un resto du 14ème named "Aquarius" et que c'était très bon !
Surtout son profil que j'ai pu croquer quand elle lorgnait grave sur le dessert au chocolat, qu'on s'est goinfré comme des noyés dans le choc. Je passerais trop vite sur sa vestimenture blanche de nymphe des lys, et toute tissée de lacets blancs qu'on a normalement la grande envie de les découdre avec les dents. Normal ! on était au restaurant.
Pendant le repast des fauves, on s'est bien fiche de la gueule de tous ceux du net, et prétendus amis, qui se demandaient bien ce qu'on pouvait faire ensemble Zara et Demy. Aussi du drôle de Revelli le dirlo du journal citoyen, qui m'avait demandé le jour avant : quand et où ? Zara et moi et le scoop (c'est le nom du chien ?) nous allions nous rencontrer ?
Ce qui me laissait songeur fut surtout d'imaginer qu'on pouvait donner une quelconque importance à cette entrevue de deux copain-copine, qui aiment surtout à bien rire et à se voir dans cette vache ambiance de gens qui ne se jugent pas, et qu'ils vivent comme protégés par ce sentiment sans arrière pensée... où juste l'appétit se la compète avec le désir.
Mais bon dieu ! qu'est-ce qu'elle est belle, c'est biblique carrément, même écologique...hi hi hi !
C'est comme ça qu'elle m'est rentrée dedans la peau. Moi j'étais comme un glaçon transformé en verre de bris, mais vachement brisé genre fendillé de sa lézarde d'en-bas jusqu'en-haut. Et on a fichu le camp pour boire un café et s'asseoir après ces entre-gents agréables mais épuisette.
Autour de la gare c'est pas terrible les cafés, ils sont noirs et crasseux. Mais un peu plus loin, on s'est posés dans un petit café blond dont le serveur tomba amoureux sur le champ, quand il apporta le chocolat chantilly que la belle allait déguster devant moi en usant très savamment de sa petite cuillère où tu te fantasmes dedans.
Pourtant, elle porte sur elle, un air si sublimement ingénu qu'il ajoute des ors à ses blondeurs, et par des cercles concentriques qui fulgurent depuis les cercles de ses iris hypnotiquement manheart-killers. En tous les cas, moi je sens encore les points de suture de la blessure érotique à travers le trou carbonisé de ma chemise bleue du côté gauche de ma poitrine fumante de non-fumeur.
Derrière elle, se trouvait une peinture murale bizarre et toute délavée comme le bistrot. Mais que tout ceci prenait des airs de café des anges près du paradis, et tout par le biais de sa présence étonnante. Car, quand vous êtes cloué devant elle et presque incapable de dire un mot tellement elle est belle, vous pensez aussitôt à ces pur-sang arabes qui sont d'ailleurs des animaux top-modello quasiment extra-terrestres. Fins, racés, le nez un peu retroussé, anxieux et sûrs d'eux à la fois, ailleurs, étrangers et bizarrement trop beaux genre whoops.
En plus elle est super sympa (avec moi ! ne rêvez pas) et elle dit plein de choses gentilles parfaitement imméritées, et donc qu'elles font encore plus plaisir au Demy de sa luxuriante pente babylonique des hommes perdus. J'ai beaucoup apprécié regarder l'onction huileuse qui couvre tout son visage et son corps : comme si elle était baignée d'un néon qui flashe qu'elle est belle et plus que la plupart.
D'ailleurs, partout où on s'est baladnicky entre les arbres qui s'inclinaient, les hommes éprouvaient un besoin très répressible de lui parler et sans même me voir. Je n'étais rien, ou le presque-homme qui accompagnait le mythos gréco-romain mais très pop.
Moi, j'adorais les regarder éblouis et comme flashés à 300 à l'heure, quand j'écrivais leur PV salé dans mon calepin rouge & noir. Après la séance de photos coupables des dragueurs killed in action, on est allé manger un brin de trucs végétariens dans un resto du 14ème named "Aquarius" et que c'était très bon !
Surtout son profil que j'ai pu croquer quand elle lorgnait grave sur le dessert au chocolat, qu'on s'est goinfré comme des noyés dans le choc. Je passerais trop vite sur sa vestimenture blanche de nymphe des lys, et toute tissée de lacets blancs qu'on a normalement la grande envie de les découdre avec les dents. Normal ! on était au restaurant.
Pendant le repast des fauves, on s'est bien fiche de la gueule de tous ceux du net, et prétendus amis, qui se demandaient bien ce qu'on pouvait faire ensemble Zara et Demy. Aussi du drôle de Revelli le dirlo du journal citoyen, qui m'avait demandé le jour avant : quand et où ? Zara et moi et le scoop (c'est le nom du chien ?) nous allions nous rencontrer ?
Ce qui me laissait songeur fut surtout d'imaginer qu'on pouvait donner une quelconque importance à cette entrevue de deux copain-copine, qui aiment surtout à bien rire et à se voir dans cette vache ambiance de gens qui ne se jugent pas, et qu'ils vivent comme protégés par ce sentiment sans arrière pensée... où juste l'appétit se la compète avec le désir.
Mais bon dieu ! qu'est-ce qu'elle est belle, c'est biblique carrément, même écologique...hi hi hi !
Monday, July 21, 2008
C'est quoi ces types ?
C'est quoi ces types ? il y a quelques jours j'ai reçu dans ma boîte-aux-spams une e-mail d'un type qui avançait avec son diplôme de chevalier du net autour du col. C'était un certain Jean Claude Benard et qu'il me demandait d'être son ami dans le réseau Facebook genre face de bouc qui pue l'over.
Son nom me disait quelque chose de la soupe agoravocienne quand ce Benard m'injuriait grassement parce que j'avais refusé de lui lécher les pompes d'articles qu'il n'avait pas brillantes. Moi mon truc, c'est de dire ma vérité. Et parfois tout le temps, ça agace ça fâche ; ça braise ; et ça déculotte. A la fin pap' Demy donne la fessée, comme c'est scritché dans "le Marquis de Sade fait le maquisard très hard". Y en a qui aiment ça, mais j'peux pas faire le tri, j'ai pas l'temps il faut fouetter tout de suite quand on opère...
C'est quoi ces types ? qui veulent être ton ami juste pour grossir leur réseau mastodonte, qui fiche la trouille aux gens honnêtes. C'est comme les Revelli machines qui me censuraient deux ou trois fois avec toutes exclusions, et qu'après, ils me proposaient des places gratuites dans les cozoperies louches de leurs nouveaux journaux, qui louchaient sur Las Vegas. Pour ma part, je comprends bien que ces personnes marchent à l'ambition et très mécanique des machines à dessous. Comme des chiffres qui se galopent dessus pour faire la troupe des illusions...
Sur le blog de Quitterie Delmas, c'est encore plus funny. Car elle ne censure jamais, mais quasiment tout son entourage exerce des pressions à la louche pour qu'elle y passe. Elle tient et résiste (pour l'amour de Demy ou ce qu'il écrit hi hi hi) ! mais c'est vraiment le bout de la terre islandaise, qui tient contre tout l'empire des censeurs darty-vadors. Tous ces amis s'y sont mis à la censurette, depuis Crouzet jusqu'à Virgine qui ne cause plus au Demy.
Outrement, on y voit des types qui n'ont rien à faire dans la censure, les Toubiana de la cinémathèque et d'autres. C'est massivement que ces blogueurs veulent te fermer le caquet de ton claque-merde de commentacteur le plus poli de la blogomania qui n'a de sphérique que sa bulle.
Et si tu comprends pas tout de suite, on t'insulte car t'es un "crétin, imbécile, pollueur moche etc.". Ou plus malin des tortures on t'ignore pour faire le savant comme un singe. On ne s'ennuie pas dans le parc-à-thème de la liberté d'expression : On y voit des animaux disparus et éteints depuis longtemps, mais qu'ils survivent car ils ont le cuir dur du journal entre chair et imper.
Le plus marrant et ridiculé, c'est quand même ce Benard qui a carrément oublié qu'il avait demandé ma censure ou qu'il s'était glué à la meute du moteur de lynch, pour qu'il ose me demander ce jourd'hui d'être son ami pour gonfler ses chiffres. Et sur Fessebouc en plus...
Car, franchement, je ne pense pas qu'il ait lu une seule de mes lignes neuves pour se faire son opination de mes nouvelles tournures et formules d'expressions, dont il n'a que fiche puisqu'il ne sort en ville que pour sa pomme et son cidre qu'il distille rien de bon.
Désormais, j'attends une requête de Revelli sur Myspace pour que je devienne son myspace friend dans la rubrique "gaylubrik qui aime le cinoche de Kubrick" forcément, surtout "2001 l'odyssée du journalisme spatial" mis en orbite si lointaine que belgement éclatée.
Son nom me disait quelque chose de la soupe agoravocienne quand ce Benard m'injuriait grassement parce que j'avais refusé de lui lécher les pompes d'articles qu'il n'avait pas brillantes. Moi mon truc, c'est de dire ma vérité. Et parfois tout le temps, ça agace ça fâche ; ça braise ; et ça déculotte. A la fin pap' Demy donne la fessée, comme c'est scritché dans "le Marquis de Sade fait le maquisard très hard". Y en a qui aiment ça, mais j'peux pas faire le tri, j'ai pas l'temps il faut fouetter tout de suite quand on opère...
C'est quoi ces types ? qui veulent être ton ami juste pour grossir leur réseau mastodonte, qui fiche la trouille aux gens honnêtes. C'est comme les Revelli machines qui me censuraient deux ou trois fois avec toutes exclusions, et qu'après, ils me proposaient des places gratuites dans les cozoperies louches de leurs nouveaux journaux, qui louchaient sur Las Vegas. Pour ma part, je comprends bien que ces personnes marchent à l'ambition et très mécanique des machines à dessous. Comme des chiffres qui se galopent dessus pour faire la troupe des illusions...
Sur le blog de Quitterie Delmas, c'est encore plus funny. Car elle ne censure jamais, mais quasiment tout son entourage exerce des pressions à la louche pour qu'elle y passe. Elle tient et résiste (pour l'amour de Demy ou ce qu'il écrit hi hi hi) ! mais c'est vraiment le bout de la terre islandaise, qui tient contre tout l'empire des censeurs darty-vadors. Tous ces amis s'y sont mis à la censurette, depuis Crouzet jusqu'à Virgine qui ne cause plus au Demy.
Outrement, on y voit des types qui n'ont rien à faire dans la censure, les Toubiana de la cinémathèque et d'autres. C'est massivement que ces blogueurs veulent te fermer le caquet de ton claque-merde de commentacteur le plus poli de la blogomania qui n'a de sphérique que sa bulle.
Et si tu comprends pas tout de suite, on t'insulte car t'es un "crétin, imbécile, pollueur moche etc.". Ou plus malin des tortures on t'ignore pour faire le savant comme un singe. On ne s'ennuie pas dans le parc-à-thème de la liberté d'expression : On y voit des animaux disparus et éteints depuis longtemps, mais qu'ils survivent car ils ont le cuir dur du journal entre chair et imper.
Le plus marrant et ridiculé, c'est quand même ce Benard qui a carrément oublié qu'il avait demandé ma censure ou qu'il s'était glué à la meute du moteur de lynch, pour qu'il ose me demander ce jourd'hui d'être son ami pour gonfler ses chiffres. Et sur Fessebouc en plus...
Car, franchement, je ne pense pas qu'il ait lu une seule de mes lignes neuves pour se faire son opination de mes nouvelles tournures et formules d'expressions, dont il n'a que fiche puisqu'il ne sort en ville que pour sa pomme et son cidre qu'il distille rien de bon.
Désormais, j'attends une requête de Revelli sur Myspace pour que je devienne son myspace friend dans la rubrique "gaylubrik qui aime le cinoche de Kubrick" forcément, surtout "2001 l'odyssée du journalisme spatial" mis en orbite si lointaine que belgement éclatée.
Sunday, July 20, 2008
Nous sommes tous des Hamlet allemands
Hier, j'me suis goinfrette le "Hamlet" de Ostermeier donné à Avignon et c'est un allemand. C'était une histoire pleine de fureur et de bière avec des tas de terre et de boues ingurgitées par les héros de la fin du monde danois, et qu'ils meurent tous carrément debout dans des contorsions malsaines d'automates fritzlanguiens.
J'ai beaucoup ri. Et je me suis dit que ces boches y causent bien l'angliche, quand ils claquent l'allemand, qui est une belle langue quand elle est gueulée.
Y avait des cheveux gras et des mecs qui causaient comme dans des conseils d'administration de l'après-guerre. Quand il fallait écluser le cynisme hitlériste résiduel.
La nana maquée avec le mec en titre jouait la Reine Gertrude. Tu parles d'un blase à couchette dans le train de nuit d'Elseneur. Elle jouette aussi la belle Ophélia qui est la midinette du film théâtreux qui se noie par amour... un vieux truc de l'eau qui tue.
Elle est canon et j'ai toujours adoré les Allemandes quand elles causent le français de cosette ou l'étranger avec leur accent qui te rentre dedans comme le vent du boulet quand t'as bu. En d'autres termes, j'étais roide défoncette à sa came, d'ailleurs elle a chanté "tu es ma came" de not'présibeauté Carla Brrr... On s'demande pourquoi ?
J'ai vu des fantômes ghostiques et goriques et voler des canettes de bière au litre et bien écrasées pour que ça giclette. Du grand spectacle, avec des héros moches et difformes même gras du bide et du cheveux. La vraie vie à la Grosz des rues de la guerre ou de la GrossStatd le lieu du vice rédempteur qui ramasse les mégots.
C'est ça le vrai mythe allemand : la folie et la décadence, la perte et la ruine. En d'autres termes : la vraie vérité véritable.
Pour jouette Hamlet, c'est idéal comme esprit teuton qui sait fiche le bordel sans tâtonner. Car en fait, les Allemands s'y connaissent mieux en désordre qu'en pas de l'oie, ou alors pour peu de temps. L'incompétence en amour ça ne pardonne pas.
Le décor était simple : une table de banquet à Ploukenstadt-les-Pains et une tombe genre tas de terre propre, parce qu'ils la mangent pendant la pièce. Et arrosée de bière et de vins en packs du supermarket diskount Hungerblitz-Straff-Straff. Et même qu'ils bavent à cause des poisons à la fin à cause des crimes qu'ils faut effacer par d'autres crimes. C'est le truc.
Ca fait joli sur Gertrude et sa robe blanche comme le crime délavé. Et on y voit des tronches de ratés devenir des chauves sublimes, des excités merveilleux qui gueulent des trucs gutturaux qui ne sont pas de l'arabe mais du schleuh de nowadays. Vrai, qu'on a dû m'y pousser d'abord, car moi, "Hamlet" j'le paume qu'en english.
Pourtant, ce fut comme un délire de l'oktoberfest, où on s'amuse et "on ne regrette pas sa soirée"..."on vomit partout" comme nous le rappelait l'allémanique Villeret dans "Papy fait de la résistance" mais certement en plus sérieux.
Le démetteur en scène à la grenade dégoupillette, Ostermeier a été applaudi et un peu hué. C'est bien, sinon ça n'aurait pas été parfaitement allemand et querelleur comme songe d'une nuit d'été très blitzante. Il est une chose qu'il faut leur laisser : les Allemands, tout comme Hamlet et prodigieusement, ils savent s'avilir !
J'ai beaucoup ri. Et je me suis dit que ces boches y causent bien l'angliche, quand ils claquent l'allemand, qui est une belle langue quand elle est gueulée.
Y avait des cheveux gras et des mecs qui causaient comme dans des conseils d'administration de l'après-guerre. Quand il fallait écluser le cynisme hitlériste résiduel.
La nana maquée avec le mec en titre jouait la Reine Gertrude. Tu parles d'un blase à couchette dans le train de nuit d'Elseneur. Elle jouette aussi la belle Ophélia qui est la midinette du film théâtreux qui se noie par amour... un vieux truc de l'eau qui tue.
Elle est canon et j'ai toujours adoré les Allemandes quand elles causent le français de cosette ou l'étranger avec leur accent qui te rentre dedans comme le vent du boulet quand t'as bu. En d'autres termes, j'étais roide défoncette à sa came, d'ailleurs elle a chanté "tu es ma came" de not'présibeauté Carla Brrr... On s'demande pourquoi ?
J'ai vu des fantômes ghostiques et goriques et voler des canettes de bière au litre et bien écrasées pour que ça giclette. Du grand spectacle, avec des héros moches et difformes même gras du bide et du cheveux. La vraie vie à la Grosz des rues de la guerre ou de la GrossStatd le lieu du vice rédempteur qui ramasse les mégots.
C'est ça le vrai mythe allemand : la folie et la décadence, la perte et la ruine. En d'autres termes : la vraie vérité véritable.
Pour jouette Hamlet, c'est idéal comme esprit teuton qui sait fiche le bordel sans tâtonner. Car en fait, les Allemands s'y connaissent mieux en désordre qu'en pas de l'oie, ou alors pour peu de temps. L'incompétence en amour ça ne pardonne pas.
Le décor était simple : une table de banquet à Ploukenstadt-les-Pains et une tombe genre tas de terre propre, parce qu'ils la mangent pendant la pièce. Et arrosée de bière et de vins en packs du supermarket diskount Hungerblitz-Straff-Straff. Et même qu'ils bavent à cause des poisons à la fin à cause des crimes qu'ils faut effacer par d'autres crimes. C'est le truc.
Ca fait joli sur Gertrude et sa robe blanche comme le crime délavé. Et on y voit des tronches de ratés devenir des chauves sublimes, des excités merveilleux qui gueulent des trucs gutturaux qui ne sont pas de l'arabe mais du schleuh de nowadays. Vrai, qu'on a dû m'y pousser d'abord, car moi, "Hamlet" j'le paume qu'en english.
Pourtant, ce fut comme un délire de l'oktoberfest, où on s'amuse et "on ne regrette pas sa soirée"..."on vomit partout" comme nous le rappelait l'allémanique Villeret dans "Papy fait de la résistance" mais certement en plus sérieux.
Le démetteur en scène à la grenade dégoupillette, Ostermeier a été applaudi et un peu hué. C'est bien, sinon ça n'aurait pas été parfaitement allemand et querelleur comme songe d'une nuit d'été très blitzante. Il est une chose qu'il faut leur laisser : les Allemands, tout comme Hamlet et prodigieusement, ils savent s'avilir !
Les Jeux Olympiques de la Censure se jouent en Blogo France.
Le sport dont les Français sont raffolés, c'est la censure. Ils adorent trouver tous moyens les plus immédiats et plus controuvés pour taire leurs adversaires, et même leurs amis. Pourvu que le débat présente quelque tension, qui leur laisserait croire qu'ils vivent des instants à la pointe de leurs sensations les plus urgentes. C'est qu'ils recherchent l'ivresse et du n'importe quoi... n'importe comment.
Et cette pratique s'est bien espacée sur le net. On trouve désormais des journaux dits "libres" (comme on disait "livres" ou "livrées") qui sont des répétitions générales de leurs éditoriaux sans plus de contradiction. Des organes de presses claniques se sont montés et tout a changé sans que rien change. Car c'est inscrit profondément dans l'âme du français, à défaut de son esprit qu'on cherche toujours dans l'esprit des batailles vaines et qu'elles font passer le temps. Bref ! le français a du temps à perdre...
C'est le vieux truc du réflexe des Gaulois qui laissent la place vacante au César, qui passait par là pour redorer son blason en vue d'un rapt du pouvoir à Rome. Et qu'à la fin, il règne en Gaule et en Italique décadence. On ne vaut pas mieux que ces temps-là de l'Antiquité barbaresque et de la truanderie brutalique du Brutus qui achève le tableau des censeurs aiguisés.
C'est grave, car la blogosphère vient de démontrer que son pseudo rôle de média libre était un leurre dans un monde de leurres arrivés et souverains. C'est probablement pour mieux survivre. Car le web est comme tout organe, un espace organique qui s'étend et qu'il prend donc et forcément les mêmes voies pour croître et prospérer que les anciens médias : Créer son espace et le conserver en empêchant l'adversaire d'y mettre en plant des critiques destructrices, et qu'elles ruineraient tous les efforts et donc le travail.
Puisqu'il s'agit de travail et d'entreprises, et rien de si libre comme le seraient des jeux ou l'art pur. Non ! il est question de business et de propagandes ajoutées. Tout comme pour la Presse, depuis que la société libre s'en est déjeunée. Et donc depuis plusieurs siècles, tous tranchés entre des prises de paroles libres et des censures nettes et clairement exprimées.
La seule règle assez neuve qui se préciserait est celle d'une épidémie de censure dans les blogs collectifs et d'un repli nécessaire dans le blog individuel pour s'exprimer vraiment librement. Et au fond, c'est une autre façon de censure, mais pour une fois sans auto-censure. C'est la nouvelle formule de la Presse, dans le monde d'aujourd'hui où nul ne lit plus rien avec un réel intérêt en raison de la masse pléthorique des conneries qui s'ajoutent aux bêtises.
Dans peu de temps, nous serons contraints de retourner aux grasses lectures des classiques pour y retrouver des viandes plus solides et du sérieux même dans l'aventure gulliverienne qui est la nôtre dans ce siècle liliputien.
Et cette pratique s'est bien espacée sur le net. On trouve désormais des journaux dits "libres" (comme on disait "livres" ou "livrées") qui sont des répétitions générales de leurs éditoriaux sans plus de contradiction. Des organes de presses claniques se sont montés et tout a changé sans que rien change. Car c'est inscrit profondément dans l'âme du français, à défaut de son esprit qu'on cherche toujours dans l'esprit des batailles vaines et qu'elles font passer le temps. Bref ! le français a du temps à perdre...
C'est le vieux truc du réflexe des Gaulois qui laissent la place vacante au César, qui passait par là pour redorer son blason en vue d'un rapt du pouvoir à Rome. Et qu'à la fin, il règne en Gaule et en Italique décadence. On ne vaut pas mieux que ces temps-là de l'Antiquité barbaresque et de la truanderie brutalique du Brutus qui achève le tableau des censeurs aiguisés.
C'est grave, car la blogosphère vient de démontrer que son pseudo rôle de média libre était un leurre dans un monde de leurres arrivés et souverains. C'est probablement pour mieux survivre. Car le web est comme tout organe, un espace organique qui s'étend et qu'il prend donc et forcément les mêmes voies pour croître et prospérer que les anciens médias : Créer son espace et le conserver en empêchant l'adversaire d'y mettre en plant des critiques destructrices, et qu'elles ruineraient tous les efforts et donc le travail.
Puisqu'il s'agit de travail et d'entreprises, et rien de si libre comme le seraient des jeux ou l'art pur. Non ! il est question de business et de propagandes ajoutées. Tout comme pour la Presse, depuis que la société libre s'en est déjeunée. Et donc depuis plusieurs siècles, tous tranchés entre des prises de paroles libres et des censures nettes et clairement exprimées.
La seule règle assez neuve qui se préciserait est celle d'une épidémie de censure dans les blogs collectifs et d'un repli nécessaire dans le blog individuel pour s'exprimer vraiment librement. Et au fond, c'est une autre façon de censure, mais pour une fois sans auto-censure. C'est la nouvelle formule de la Presse, dans le monde d'aujourd'hui où nul ne lit plus rien avec un réel intérêt en raison de la masse pléthorique des conneries qui s'ajoutent aux bêtises.
Dans peu de temps, nous serons contraints de retourner aux grasses lectures des classiques pour y retrouver des viandes plus solides et du sérieux même dans l'aventure gulliverienne qui est la nôtre dans ce siècle liliputien.
Friday, July 18, 2008
C'est en le laissant partir qu'on gagne le grand amour !
Il est une coutume chez les femmes : qu'elles aiment à réfléchir sur le bien fondé des passions les plus irraisonnées. Et ça fait un mélange qui sait rendre fous les hommes les plus préparés à la simplicité du monde, qui sont nombreux.
Ca se passe comme ça : d'abord elle tombe amoureuse sans la moindre retenue, mais tout au dedans. A l'extérieur ce sont vagues refus minaudiers et flashes de signes qui savent vous harponner avec du gros commandé au catalogue trèstout redouté. Puis, elles y vont franchement, car elles sont plus asservies à leurs sens que nous les hommes (on dira pareil ce qui est pire !), du moins dans nos temps si hâtifs et inquiets de la chose.
Et par un brusque virement de cap dont elles ont le secret le plus habile, elles retirent tout et disent : "on arrête pour réfléchir et on continue la vie comme avant, mais on reste amis". Tout en laissant entendre grâce à la sorcellerie étale sur leurs lèvres, que ça reprendra plus tard, après quelque réflexion pour attiser la flamme car la maison brûle. Et c'est vrai que ça reprend toujours.
La plus vive et savante prêtresse de ce type de fuite est la femme mariée. Car elle est consciente des jeux amoureux plus attisés encore par des liens et des contrats si promptes et propices aux trahisons, parfois courtes. C'est pour ça qu'elle se marie.
Il est vrai que l'homme qui ne connaît pas ces jeux ou qu'il ne les maîtrise pas, et bien il est en danger partout où une femme serait en cherche d'une proie aisée. Heureusement, Demy de sa luxuriante pharaonite est un joueur impénitent et même très roulette à la russe... si bien qu'il gagne souvent au jeu du qui-m'aime-me-fuie ou appelle le plombier.
Puisque quand une femme amoureuse vous dit : "je m'en vais", c'est juste pour voir si vous tenez le coup et que vous vous fâchiez pour voir. Et pour qu'elle soit enfin déçue et libérée de vous et de l'amour qu'elle ressent comme une chaîne trop délicieuse et donc trop attirante. Ca l'énerve et ça l'agace...
Si vous restez ami avec elle et sans jamais dire "non" à toutes ses demandes les plus farfelues de la femme déjà enceinte de vos désirs, c'est qu'elle revient déjà, et plus éprise encore et de celui-là-même qui l'a vaincue. C'est trop bon quoi !
Enfin, pour jouer à ce niveau des batailles en rase campagnette à Azincourt, il vaut mieux être bien fait de sa personne et être assez cultivé pour la distraire par une conversation doux-fleurante, mais là je me répète...
Ca se passe comme ça : d'abord elle tombe amoureuse sans la moindre retenue, mais tout au dedans. A l'extérieur ce sont vagues refus minaudiers et flashes de signes qui savent vous harponner avec du gros commandé au catalogue trèstout redouté. Puis, elles y vont franchement, car elles sont plus asservies à leurs sens que nous les hommes (on dira pareil ce qui est pire !), du moins dans nos temps si hâtifs et inquiets de la chose.
Et par un brusque virement de cap dont elles ont le secret le plus habile, elles retirent tout et disent : "on arrête pour réfléchir et on continue la vie comme avant, mais on reste amis". Tout en laissant entendre grâce à la sorcellerie étale sur leurs lèvres, que ça reprendra plus tard, après quelque réflexion pour attiser la flamme car la maison brûle. Et c'est vrai que ça reprend toujours.
La plus vive et savante prêtresse de ce type de fuite est la femme mariée. Car elle est consciente des jeux amoureux plus attisés encore par des liens et des contrats si promptes et propices aux trahisons, parfois courtes. C'est pour ça qu'elle se marie.
Il est vrai que l'homme qui ne connaît pas ces jeux ou qu'il ne les maîtrise pas, et bien il est en danger partout où une femme serait en cherche d'une proie aisée. Heureusement, Demy de sa luxuriante pharaonite est un joueur impénitent et même très roulette à la russe... si bien qu'il gagne souvent au jeu du qui-m'aime-me-fuie ou appelle le plombier.
Puisque quand une femme amoureuse vous dit : "je m'en vais", c'est juste pour voir si vous tenez le coup et que vous vous fâchiez pour voir. Et pour qu'elle soit enfin déçue et libérée de vous et de l'amour qu'elle ressent comme une chaîne trop délicieuse et donc trop attirante. Ca l'énerve et ça l'agace...
Si vous restez ami avec elle et sans jamais dire "non" à toutes ses demandes les plus farfelues de la femme déjà enceinte de vos désirs, c'est qu'elle revient déjà, et plus éprise encore et de celui-là-même qui l'a vaincue. C'est trop bon quoi !
Enfin, pour jouer à ce niveau des batailles en rase campagnette à Azincourt, il vaut mieux être bien fait de sa personne et être assez cultivé pour la distraire par une conversation doux-fleurante, mais là je me répète...
Thursday, July 17, 2008
Y a-t-il un coupable dans la salle ?
C'est un bon père de famille qui se rend à sa pharmacie pour bosser. Parvenu sur le parking devant sa boutique, il est capté par un accident qui vient de se produire et il tente de retenir le numéro d'immatriculation du véhicule en fuite. On saura plus tard que notre homme est très impliqué dans les intérêts sociaux et des associations tout comme sa femme.
Après tous ces événements un peu éreintants, il peut enfin bosser et pour des heures comme il convient. Trois heures après, un type fracasse la vitre de sa bagnole sur le parking, et le SAMU arrive aussitôt pour tenter de sauver le bébé qui étouffait dans la fournaise d'une tire plaquée sous le soleil de midi en pleine chaufferie du mois de juillet. Et c'est pas de chance, c'est le baby du pharmacien le bon citoyen.
Le pharmacien détourné par l'accident et son devoir de citoyen en avait oublié que son bébé était apposté sur le siège arrière de sa voiture. Et que nous étions en juillette, ce qui ne pardonne pas, après même une heure tapante de l'astre du jour qui était en plein business de la mort.
On imagine le déstastre familial quand on leur aura annoncé que le bébé est mort. Tout comme au JT on nous l'a annoncé dans l'horreur conjointe d'une autre famille, dont le père divorcé à pendu ses deux fillettes et s'est pendu à son tour dans la villa de la spousa divorcée et tout pour orfévrir sa vengeance bestiale.
Le bébé est-il mort par la faute du père ? ou par celle du fauteur d'accident, ou encore à cause du fait que le père n'avait jamais été en charge du bébé dans sa voiture : et donc qu'il a oublié l'enfant. La faute au destin et on n'y peut rien quand c'est ficelé comme ça. Certes, s'il y avait eu quelque parking couvert voté au conseil municipal ; mieux encore, si l'accident s'était produit ailleurs dans la vaste échelle du temps, le bébé serait encore vif et pour 100 ans au moins.
Le père, écrasé par cet accident ou cet étourderie dont il pense qu'elle a été la cause de la mort de son bébé, doit forcément penser à payer sa grande faute d'une manière ou d'une autre. Il voudrait s'effacer et peut-être effacer tout le monde avec lui et dans le même chaudron de la honte. Que rien de tout ceci du monde ne fût jamais.
C'est la signature des grands drames de l'antiquité, et ça s'est joué sur un vulgaire parking dans une bagnole banale et pour une famille comme toutes les autres. Hormis que ça leur est tombé dessus, et qu'ils n'oublieront jamais ce piège des circonstances, qui ont détruit leurs vies, au moins trois...
Moi, ça me donne la nécessité intérieure de ne jamais chercher le coupable, et de ne pas juger ni de condamner. Car franchement, là je sais plus, et je suis juste content que ça ne m'est pas arrivé. Car ça pourrait m'arriver demain, quand je ne m'y attends pas du tout... comme un aigle fond sur toi et que tu es sa proie sans plus de ressources de lui échapper sur l'instant...
Après tous ces événements un peu éreintants, il peut enfin bosser et pour des heures comme il convient. Trois heures après, un type fracasse la vitre de sa bagnole sur le parking, et le SAMU arrive aussitôt pour tenter de sauver le bébé qui étouffait dans la fournaise d'une tire plaquée sous le soleil de midi en pleine chaufferie du mois de juillet. Et c'est pas de chance, c'est le baby du pharmacien le bon citoyen.
Le pharmacien détourné par l'accident et son devoir de citoyen en avait oublié que son bébé était apposté sur le siège arrière de sa voiture. Et que nous étions en juillette, ce qui ne pardonne pas, après même une heure tapante de l'astre du jour qui était en plein business de la mort.
On imagine le déstastre familial quand on leur aura annoncé que le bébé est mort. Tout comme au JT on nous l'a annoncé dans l'horreur conjointe d'une autre famille, dont le père divorcé à pendu ses deux fillettes et s'est pendu à son tour dans la villa de la spousa divorcée et tout pour orfévrir sa vengeance bestiale.
Le bébé est-il mort par la faute du père ? ou par celle du fauteur d'accident, ou encore à cause du fait que le père n'avait jamais été en charge du bébé dans sa voiture : et donc qu'il a oublié l'enfant. La faute au destin et on n'y peut rien quand c'est ficelé comme ça. Certes, s'il y avait eu quelque parking couvert voté au conseil municipal ; mieux encore, si l'accident s'était produit ailleurs dans la vaste échelle du temps, le bébé serait encore vif et pour 100 ans au moins.
Le père, écrasé par cet accident ou cet étourderie dont il pense qu'elle a été la cause de la mort de son bébé, doit forcément penser à payer sa grande faute d'une manière ou d'une autre. Il voudrait s'effacer et peut-être effacer tout le monde avec lui et dans le même chaudron de la honte. Que rien de tout ceci du monde ne fût jamais.
C'est la signature des grands drames de l'antiquité, et ça s'est joué sur un vulgaire parking dans une bagnole banale et pour une famille comme toutes les autres. Hormis que ça leur est tombé dessus, et qu'ils n'oublieront jamais ce piège des circonstances, qui ont détruit leurs vies, au moins trois...
Moi, ça me donne la nécessité intérieure de ne jamais chercher le coupable, et de ne pas juger ni de condamner. Car franchement, là je sais plus, et je suis juste content que ça ne m'est pas arrivé. Car ça pourrait m'arriver demain, quand je ne m'y attends pas du tout... comme un aigle fond sur toi et que tu es sa proie sans plus de ressources de lui échapper sur l'instant...
Wednesday, July 16, 2008
Que Dieu sauve la banque et les pauvres !
D'un côté, on nous annonce que deux banques amrica et des plus puissantes se crashent. Et que c'est Bush gymself de sa luxuriante fin de règne qui les a sauvées en agissant tout de suite à la telly. De l'autre côté, une organisation de charité très connue en Angleterre balance à la Presse médusette que 50000 familles sont en train de sombrer dans la pire pauvreté. Qu'elles tiennent le coup en empruntant à la famille et aux amis. Et que dès la rentrée, ces milliasses de pauvres ne pourront plus payer leurs traites, et que soit elles perdront leur maison et donc tout ce qu'elles ont, soit elles perdront quand même tout.
Depuis des lustres, on nous dit, sur le net des articles anglo-saxons, que les grandes banques dans le monde se réunissent et fusionnent en de grands ensembles, qui seraient les seuls dispositifs à pouvoir tenir les chocs qui viennent. Et donc que de petites banques --sous la dizaine de milliards de patrimoine-- iraient tantôt à s'effondrer.
Et que les grands survivront sur les cadavres poisseux des petits, qui pourraient même être lâchette par l'Etat. Car si l'Etat est en faillite lui-même, qui pourrait encore garantir les fonds. Peut-être des Etats plus puissants, et qu'il y aurait des fusions en partement en ces haut lieux des Etats-mêmes (un peu l'Europe ou l'UPM du binz).
Certes, ce n'est pas une crise de 29, ou ce crash mémoratif d'un jour qui illumina le feu de l'occident mais pour le brûler d'un coup. Non ! ça prend plus de temps. Et pour bien amortir les coups et surtout sur le tapis des plus faibles assez ruinés au jour la journée. Pourvu que ce soit lentement, et avec un peu de miel sur la cuillère, pour bien faire passer la pilule.
C'est malin et ça marchera ! car le temps c'est un truc très fort qui sait éviter les révolutions ou les grandes rébellions des gens qui se réveillent un beau matin avec plus rien. Et que forcément ils se rencontrent dans la rue pour discuter le bout de maigre, et que la colère vient alors, même qu'elle monte les escalades quatre à quatre et tous qui s'écartent.
Avec nos nouveaux dispositifs des temps nouveaux, ceci ne risque plus de se produire. Puisque tous sont désormais contre tous : dans la grande concurrence des idées, des appétits et des intérêts et intentions. Et encore, je ne parle pas du sexe ! car là c'est la grande warry des mercenaires sanguinaires et doux et trompeurs comme le miel de l'abeille qui piquette.
Depuis des lustres, on nous dit, sur le net des articles anglo-saxons, que les grandes banques dans le monde se réunissent et fusionnent en de grands ensembles, qui seraient les seuls dispositifs à pouvoir tenir les chocs qui viennent. Et donc que de petites banques --sous la dizaine de milliards de patrimoine-- iraient tantôt à s'effondrer.
Et que les grands survivront sur les cadavres poisseux des petits, qui pourraient même être lâchette par l'Etat. Car si l'Etat est en faillite lui-même, qui pourrait encore garantir les fonds. Peut-être des Etats plus puissants, et qu'il y aurait des fusions en partement en ces haut lieux des Etats-mêmes (un peu l'Europe ou l'UPM du binz).
Certes, ce n'est pas une crise de 29, ou ce crash mémoratif d'un jour qui illumina le feu de l'occident mais pour le brûler d'un coup. Non ! ça prend plus de temps. Et pour bien amortir les coups et surtout sur le tapis des plus faibles assez ruinés au jour la journée. Pourvu que ce soit lentement, et avec un peu de miel sur la cuillère, pour bien faire passer la pilule.
C'est malin et ça marchera ! car le temps c'est un truc très fort qui sait éviter les révolutions ou les grandes rébellions des gens qui se réveillent un beau matin avec plus rien. Et que forcément ils se rencontrent dans la rue pour discuter le bout de maigre, et que la colère vient alors, même qu'elle monte les escalades quatre à quatre et tous qui s'écartent.
Avec nos nouveaux dispositifs des temps nouveaux, ceci ne risque plus de se produire. Puisque tous sont désormais contre tous : dans la grande concurrence des idées, des appétits et des intérêts et intentions. Et encore, je ne parle pas du sexe ! car là c'est la grande warry des mercenaires sanguinaires et doux et trompeurs comme le miel de l'abeille qui piquette.
Tuesday, July 15, 2008
Retrait du permis de tuer !
Ces jours-ci je me goinfre des gueulantes de Shakespeare en VO. C'est mieux et plus goûteux bien gras des jurons. D'abord je me suis gloutonné "Hamlet" mais par petits bouts genre lopins, parce que c'est la plus intellectuelle des pièces pas rapiécée des rapières.
Puis, vint le gros morceaux je veux dire le plat de résistance à l'oppression "Macbeth" qui te débecte. Ca c'est de l'anglo-saxon qui sait rouler les "r" comme le "r" grasseyant des poulbots parigots et de Gabin de la belle équipe. Mais avec des accents rauques du brogue barbare, c'est-à-dire des dialectes qui t'arrachent les yeux jusqu'à la gorge chaude très hotty.
Dans le même temps, ils faut se farcir le film "Macbeth" d'Orson Welles en noir et blanc très noir, qui est ajouté de la réussite "Macbeth" très subtile et "coloristique" de Roman Polanski -- j'aime le terme coloristique introduit par mon amie russe Deila, je trouve qu'il veut tout dire du surplein culturel.
Orson Welles dit la querelle d'Ecossais des sovran d'Ecosse avec un coffre redoutable qui résonnette musette vachement dans le décor glauque des tuniques qui traînette dans la boue des dirty tricks de la comédie humaine où tu prends ton ticket à l'entrée du zoo, des documentaires animaliers.
Vrai, le texte est coupé au rasoir, mais que c'est une hache qui détranche en faisant quelques bavures qui sont la pièce cachée. C'est-à-dire celle des jeux de mots très modernes et qu'ils évoquent les règlements de compte à OK Balmoral.
Un peu comme dans le 8ème à Paris, autour de l'Elysée-des-fous-à-liés pendant les grandes heures de la distribution des prix qu'on les appelle des maroquins des soldes de la maroquinerie ministérielle, ou la légionellose d'honneur pour les prix de consolation.
C'est sûr, en France nous avons "Cyrano de Bergerac" de Rostand, et c'est tout autant provincialiste et baroque que l'Ecosse et Elsenor. Car, rappelons-le au lecteur si distrait qu'il ignore les histoires savoureuses : Louis XIV parlait un françois assez péquenot avé l'accent des paysans du terroir des fromages qui puent les pieds métriques de l'Alexandrin qui revient d'une virée à cheval. Mais Ludwig avait la classe et le pied fin, même la cuissette pleine de rubans de la jeune fille qu'il était par aventure.
Il reste que c'est bien parce que nous sommes français et amoureux de notre belle langue insurpassable (hormis par le chinois et l'anglais et d'autres dialectes slavons et sud-moluquois) que nous vénérons quasiment ce parler anglais plein de la franchise la plus brutale.
Il est inutile de préciser que lorsque tu piges la pièce dans le texte en VO et après des années-lumière d'études... c'est un délice aussi extrême que si tu gravissais le pôle nord par la face sud et qu'il serait à la fraise tout du long avec des pépites de chocolat glissant et tout ça au plumard avec ta damozelle.
Car si tu veux vraiment connaître la vie et les trahisons, il faut lire Shakespeare. Et comment les sorcières parviennent à t'annoncer un avenir mirifique, tout en te cachant les pires horreurs horrifiques que cet avenir même te poussera à les commettre.
Rappelons pour ceux qui ont dormi pendant la représentation du camping des flots de sang, que Macbeth vient au pouvoir régalien après avoir assassiné le roi Duncan comme un cochon qu'on saigne. Sa femme qui est tzarriblement vénale est dans le coup jusqu'au collet.
Et tout ceci se trépasse, après que la princesse barbue Macbeth fut incitette par des sorcières à barbe qui lui ont prédit un avenir si mirifique qu'il ne s'achèvera que lorsqu'une forêt se mettra à marcher...dingue ! aussi qu'aucun homme né d'une femme ne pourra le tuer. Alors, franchement comprenons-le ! il peut tout se permettre.
Et mazette ! c'est pourtant cet homme Macduff qui en vient à bout et pour venger le roi Duncan... puisque Macduff est né d'une femme morte. La sorcière est subtile et trompeuse quand elle traficotte-de-maille à trois. Bon, la forêt marche aussi, mais ça fait cher le décor qui se fait la malle, qui sent définitivement le sapin qui met mal à mélèze.
A la fin, tous les méchants meurent et les bons ne se marient pas et ils n'ont pas d'enfant, vu qu'il ne reste que des hommes et que l'homosexualité n'était pas de coutume en Ecosse ni pour les visas de censure, malgré les kiltissimes courants d'air...
"La vie est un songe" selon le baroque Calderon de la Barca, mais elle est aussi un piège, qui se sait nous montrer tels que nous sommes en plein phare de la police des destins, qui te loupent jamais O mon frère Macbeth... quand vient l'amende et le retrait des points de sutures de ton vieux permis de tuer.
Puis, vint le gros morceaux je veux dire le plat de résistance à l'oppression "Macbeth" qui te débecte. Ca c'est de l'anglo-saxon qui sait rouler les "r" comme le "r" grasseyant des poulbots parigots et de Gabin de la belle équipe. Mais avec des accents rauques du brogue barbare, c'est-à-dire des dialectes qui t'arrachent les yeux jusqu'à la gorge chaude très hotty.
Dans le même temps, ils faut se farcir le film "Macbeth" d'Orson Welles en noir et blanc très noir, qui est ajouté de la réussite "Macbeth" très subtile et "coloristique" de Roman Polanski -- j'aime le terme coloristique introduit par mon amie russe Deila, je trouve qu'il veut tout dire du surplein culturel.
Orson Welles dit la querelle d'Ecossais des sovran d'Ecosse avec un coffre redoutable qui résonnette musette vachement dans le décor glauque des tuniques qui traînette dans la boue des dirty tricks de la comédie humaine où tu prends ton ticket à l'entrée du zoo, des documentaires animaliers.
Vrai, le texte est coupé au rasoir, mais que c'est une hache qui détranche en faisant quelques bavures qui sont la pièce cachée. C'est-à-dire celle des jeux de mots très modernes et qu'ils évoquent les règlements de compte à OK Balmoral.
Un peu comme dans le 8ème à Paris, autour de l'Elysée-des-fous-à-liés pendant les grandes heures de la distribution des prix qu'on les appelle des maroquins des soldes de la maroquinerie ministérielle, ou la légionellose d'honneur pour les prix de consolation.
C'est sûr, en France nous avons "Cyrano de Bergerac" de Rostand, et c'est tout autant provincialiste et baroque que l'Ecosse et Elsenor. Car, rappelons-le au lecteur si distrait qu'il ignore les histoires savoureuses : Louis XIV parlait un françois assez péquenot avé l'accent des paysans du terroir des fromages qui puent les pieds métriques de l'Alexandrin qui revient d'une virée à cheval. Mais Ludwig avait la classe et le pied fin, même la cuissette pleine de rubans de la jeune fille qu'il était par aventure.
Il reste que c'est bien parce que nous sommes français et amoureux de notre belle langue insurpassable (hormis par le chinois et l'anglais et d'autres dialectes slavons et sud-moluquois) que nous vénérons quasiment ce parler anglais plein de la franchise la plus brutale.
Il est inutile de préciser que lorsque tu piges la pièce dans le texte en VO et après des années-lumière d'études... c'est un délice aussi extrême que si tu gravissais le pôle nord par la face sud et qu'il serait à la fraise tout du long avec des pépites de chocolat glissant et tout ça au plumard avec ta damozelle.
Car si tu veux vraiment connaître la vie et les trahisons, il faut lire Shakespeare. Et comment les sorcières parviennent à t'annoncer un avenir mirifique, tout en te cachant les pires horreurs horrifiques que cet avenir même te poussera à les commettre.
Rappelons pour ceux qui ont dormi pendant la représentation du camping des flots de sang, que Macbeth vient au pouvoir régalien après avoir assassiné le roi Duncan comme un cochon qu'on saigne. Sa femme qui est tzarriblement vénale est dans le coup jusqu'au collet.
Et tout ceci se trépasse, après que la princesse barbue Macbeth fut incitette par des sorcières à barbe qui lui ont prédit un avenir si mirifique qu'il ne s'achèvera que lorsqu'une forêt se mettra à marcher...dingue ! aussi qu'aucun homme né d'une femme ne pourra le tuer. Alors, franchement comprenons-le ! il peut tout se permettre.
Et mazette ! c'est pourtant cet homme Macduff qui en vient à bout et pour venger le roi Duncan... puisque Macduff est né d'une femme morte. La sorcière est subtile et trompeuse quand elle traficotte-de-maille à trois. Bon, la forêt marche aussi, mais ça fait cher le décor qui se fait la malle, qui sent définitivement le sapin qui met mal à mélèze.
A la fin, tous les méchants meurent et les bons ne se marient pas et ils n'ont pas d'enfant, vu qu'il ne reste que des hommes et que l'homosexualité n'était pas de coutume en Ecosse ni pour les visas de censure, malgré les kiltissimes courants d'air...
"La vie est un songe" selon le baroque Calderon de la Barca, mais elle est aussi un piège, qui se sait nous montrer tels que nous sommes en plein phare de la police des destins, qui te loupent jamais O mon frère Macbeth... quand vient l'amende et le retrait des points de sutures de ton vieux permis de tuer.
Monday, July 14, 2008
De qui Bachar-el-Assad a-t-il peur ?
Le force de frappe la plus sérieuse que j'ai vue dans ma jyzné de vie c'est la femme marida qui se revanche de son mari qui l'aurait trompée. J'ai des précautions oratoires, parce qu'il y a doute sur l'affaire des vapeurs. Quand elle se venge, la femme prend tout son temps pour faire ses courses à l'armurerie du coin déjà mort.
Elle choisit, elle sélectionne, elle génétique, elle ne verse pas le sang mais elle verse dans le subtil chinois. D'abord elle attaque au panzer nucléaire qui te ratisse au lance-femme toute ta misérable demeure et château en te laissant juste les meubles du jardin délavés par le soleil des beaux souvenirs. Finis les tableaux de maîtres acquis à la grande truanderie et pour pas un sou raide. Tu rentres du turf et quand tu ouvres la lourdegrince avec ta clé que tu connais bien, derrière c'est la vaste steppe russe avec rien dessus, tu sens juste un vent étrange du surréalisme très convaincant. Le film Eisentein carrément !
Ensuite elle te présente son avocat bien mis à quatre-les-pingres, que dis-je sa batterie des orgues stalina des avocats & associés qui crèchebroutent dans le meilleur quartier de la ville, puisque c'est toi qui payeruines. Quand "tu as tout fait pour elle toute ta vie" : c'est la phrase que ton avocat t'a dictée pour ta défense très aérienne. Bon, à la fin tu gagnes la blitzkrieg, car tu n'avais rien fait de si grave, malgré les vieilles tombales dans ton jardin.
Hormis que tu avais pensé à un monde de science-fiction où les femmes ne seraient pas si jalouses entre-elles. Bref, tu as surtout gagné ta liberté de faire tout ce qu'il te plaît, et sans qu'une spousa vienne te dire robotement, tout ce que tu dois faire et surtout tout ce que tu ne dois pas faire : ce qui fait beaucoup plus, presque tout. Sauf bosser bien sûr, pour ramener, chaque soir, la tune à la cantora après l'avoir promenée à la laisse entre les chiennes du quartier.
C'est pourquoi, je m'interroge pour laquelle raison on ne fait pas défiler les femmes mariées au 14 juillet à nous les Frousiens Lovers. Car c'est vraiment la force de frappe la plus rasante que j'ai croisée durant ma misérable jyznée de vie d'ex homme marié (mais pas salarié faut pas pousser tout de même). Qui ne l'a pas été ?
Vrai, jadis quand j'étais jeune comme un blog effronté, j'ai refusé de faire mon service militaire à cause des obligations millimétrées de l'office des armes & Lüger. Mais au fond, je suis bien content de ne jamais avoir essuyé de guerre ni quelques vaisselles dans l'évier dégueu-sur-lui. Et tout parce que le nuke gaullien veille sur la dissuasion qui me dissuade d'en dire plus, c'est sûr... et je la remercie de m'avoir posé la question et le lapin.
Et comme tout le monde, j'aime me lever tard et rien fiche pas une ramure, et mieux encore en regardant les autres bosser au pas... Je vais donc regarder ce défilé des forces vives de la Nation filer, une fois de plus, vers l'Arc de mon triomphe. Je suis sûr qu'il y aura quelques femmes mariées dans les troupes... car c'est là que le nuke est détonarmé ! Même Bachar-el-Assad le visiteur en a la mortetrouille...c'est pour ça qu'il discute...
Elle choisit, elle sélectionne, elle génétique, elle ne verse pas le sang mais elle verse dans le subtil chinois. D'abord elle attaque au panzer nucléaire qui te ratisse au lance-femme toute ta misérable demeure et château en te laissant juste les meubles du jardin délavés par le soleil des beaux souvenirs. Finis les tableaux de maîtres acquis à la grande truanderie et pour pas un sou raide. Tu rentres du turf et quand tu ouvres la lourdegrince avec ta clé que tu connais bien, derrière c'est la vaste steppe russe avec rien dessus, tu sens juste un vent étrange du surréalisme très convaincant. Le film Eisentein carrément !
Ensuite elle te présente son avocat bien mis à quatre-les-pingres, que dis-je sa batterie des orgues stalina des avocats & associés qui crèchebroutent dans le meilleur quartier de la ville, puisque c'est toi qui payeruines. Quand "tu as tout fait pour elle toute ta vie" : c'est la phrase que ton avocat t'a dictée pour ta défense très aérienne. Bon, à la fin tu gagnes la blitzkrieg, car tu n'avais rien fait de si grave, malgré les vieilles tombales dans ton jardin.
Hormis que tu avais pensé à un monde de science-fiction où les femmes ne seraient pas si jalouses entre-elles. Bref, tu as surtout gagné ta liberté de faire tout ce qu'il te plaît, et sans qu'une spousa vienne te dire robotement, tout ce que tu dois faire et surtout tout ce que tu ne dois pas faire : ce qui fait beaucoup plus, presque tout. Sauf bosser bien sûr, pour ramener, chaque soir, la tune à la cantora après l'avoir promenée à la laisse entre les chiennes du quartier.
C'est pourquoi, je m'interroge pour laquelle raison on ne fait pas défiler les femmes mariées au 14 juillet à nous les Frousiens Lovers. Car c'est vraiment la force de frappe la plus rasante que j'ai croisée durant ma misérable jyznée de vie d'ex homme marié (mais pas salarié faut pas pousser tout de même). Qui ne l'a pas été ?
Vrai, jadis quand j'étais jeune comme un blog effronté, j'ai refusé de faire mon service militaire à cause des obligations millimétrées de l'office des armes & Lüger. Mais au fond, je suis bien content de ne jamais avoir essuyé de guerre ni quelques vaisselles dans l'évier dégueu-sur-lui. Et tout parce que le nuke gaullien veille sur la dissuasion qui me dissuade d'en dire plus, c'est sûr... et je la remercie de m'avoir posé la question et le lapin.
Et comme tout le monde, j'aime me lever tard et rien fiche pas une ramure, et mieux encore en regardant les autres bosser au pas... Je vais donc regarder ce défilé des forces vives de la Nation filer, une fois de plus, vers l'Arc de mon triomphe. Je suis sûr qu'il y aura quelques femmes mariées dans les troupes... car c'est là que le nuke est détonarmé ! Même Bachar-el-Assad le visiteur en a la mortetrouille...c'est pour ça qu'il discute...
Sunday, July 13, 2008
Le net c'est pas mieux que la telly !
En vertu du principe de Mac Luhan qui dictait carrément que chaque média met en oeuvre, plus encore, le précédent média, le net c'est comme la téloche avec les solitudes qui la regardent en face. C'est clair ! pas d'erreur ! les effets de foules et de masses ne fonctionnent pas sur le net. On sent bien des tentatives dans la politique nouvelle ou des petits histrions qui tentent des révolutions foireuses à neuneu, car jamais dans la rue. Mais, rien n'y fait et ils n'y peuvent mais. Ca ne marche pas et même que ça ne défile jamais.
C'est probablement que le net c'est une machine assez complexe et trop simplesse à la fois. Car on n'y lit qu'un seul qui parle à la fois. Certes, il y a les pétitions : mais elles sont vieillies comme les luttes finales qui n'en finissent pas d'être finales. Ca fait de jolies listes de noms et surtout pour les services discrets qui écoutent ce qui devrait être escaché. Sur le net, plus tu te plains et plus tu exprimes librement ta pensée contestataire et plus elle se voit dans le boudoir d'Edvige, qui reçoit dans son salon sans murs. Et quand il s'agit que tu rende compte de tes plaintes et contestes, à mon nimble avis t'es seul devant la machine à broyer les artistes de la complainte.
Je crois que c'est le piège que les adeptes de leur-propre-pouvoir-sur-le-net se sont tendus et juste pour qu'on se gausse de les y voir tomber à la fin, mais assez vite après deux ans à peine. Certains doivent se planquette en Belgisuisse et d'autres retirent tantôt toute la boutique en vitrine de ce qu'ils avaient dit, et même plus quantième ce que d'autres ont dit. Oui, quand tu ne peux plus te cacher derrière la meute que tu as allumée, tu dois censurer tes adeptes les plus vifs et virulents, avant qu'ils t'attirent les ennuis magnétiques. Et certement, censurer tous les adversaires à la bourse des nouveaux mondes...
Après les espoirs du monde de demain qu'on-sera-tous-des-frères-et-soeurs, c'est le rouleau compresseur de la censure qui revient toujours, elle ! Et vous noterez, au passage des passants inconsidérables, que beaucoup ont trop parlé avant que les temps durs furent revenus. Et que tout reste sur le net collé à ton casier webique soulier crottebique.
Le mieux c'est de n'avoir rien à cacher, et surtout de bien savoir qu'il y a beaucoup de distraction pas sérieuse dans ces échanges parfois excessifs, qui ne sauraient exprimer que des mots qui ont largement dépassé notre pensée et que tout n'était dit et gesticulé que pour le fun. Comme si nous avions écrit un livre, et que le net était une sorte de laboratoire de nos ratitudes. Là, on est sans doute plus près de la vérité.
Car, depuis Quitterie Delmas jusqu'à Revelli, en passant par Esther la femmeCanon, les femmes qui rêvent sont sans doute plus dans le vrai que les masculants qui veulent installer des pouvoirs qui me fichent définitivement la maxima trouille des grands matins d'exécutions, qui perdent les têtes qui s'embrassette sous le gui de la guillotinette du jardin que tout le monde aimette à la Toussaint. Un truc de la brumette sur le net...
C'est probablement que le net c'est une machine assez complexe et trop simplesse à la fois. Car on n'y lit qu'un seul qui parle à la fois. Certes, il y a les pétitions : mais elles sont vieillies comme les luttes finales qui n'en finissent pas d'être finales. Ca fait de jolies listes de noms et surtout pour les services discrets qui écoutent ce qui devrait être escaché. Sur le net, plus tu te plains et plus tu exprimes librement ta pensée contestataire et plus elle se voit dans le boudoir d'Edvige, qui reçoit dans son salon sans murs. Et quand il s'agit que tu rende compte de tes plaintes et contestes, à mon nimble avis t'es seul devant la machine à broyer les artistes de la complainte.
Je crois que c'est le piège que les adeptes de leur-propre-pouvoir-sur-le-net se sont tendus et juste pour qu'on se gausse de les y voir tomber à la fin, mais assez vite après deux ans à peine. Certains doivent se planquette en Belgisuisse et d'autres retirent tantôt toute la boutique en vitrine de ce qu'ils avaient dit, et même plus quantième ce que d'autres ont dit. Oui, quand tu ne peux plus te cacher derrière la meute que tu as allumée, tu dois censurer tes adeptes les plus vifs et virulents, avant qu'ils t'attirent les ennuis magnétiques. Et certement, censurer tous les adversaires à la bourse des nouveaux mondes...
Après les espoirs du monde de demain qu'on-sera-tous-des-frères-et-soeurs, c'est le rouleau compresseur de la censure qui revient toujours, elle ! Et vous noterez, au passage des passants inconsidérables, que beaucoup ont trop parlé avant que les temps durs furent revenus. Et que tout reste sur le net collé à ton casier webique soulier crottebique.
Le mieux c'est de n'avoir rien à cacher, et surtout de bien savoir qu'il y a beaucoup de distraction pas sérieuse dans ces échanges parfois excessifs, qui ne sauraient exprimer que des mots qui ont largement dépassé notre pensée et que tout n'était dit et gesticulé que pour le fun. Comme si nous avions écrit un livre, et que le net était une sorte de laboratoire de nos ratitudes. Là, on est sans doute plus près de la vérité.
Car, depuis Quitterie Delmas jusqu'à Revelli, en passant par Esther la femmeCanon, les femmes qui rêvent sont sans doute plus dans le vrai que les masculants qui veulent installer des pouvoirs qui me fichent définitivement la maxima trouille des grands matins d'exécutions, qui perdent les têtes qui s'embrassette sous le gui de la guillotinette du jardin que tout le monde aimette à la Toussaint. Un truc de la brumette sur le net...
Saturday, July 12, 2008
Mais alors ? tout est bidonné ? mazette !
C'est la société du tout bidonné. L'autre jour je zyeutais à la telly un truc sur la 6 qui se blase en françois banlieusard "Je cherche un appart ou un truc comme ça". Et je trouvais ça trop beau, genre je te refais tout chez toi gratis, et tu peux vendre à la truanderie ta masure pour le dessus du marché qu'elle n'est pas. Comme j'investis dans l'immobilier pour orbiter sidéralement mes fins de mois, j'ai tout de suite reconnu la tronche d'un agent immobilier que je connais bien, et qu'il jouait l'acheteur par aventure qui trouve les transformations du galetas hyper vendeuses. Il était accompagné d'une jolie damozelle pour faire couple qui a de l'argent et du goût couleur muraille, mais qu'il doit quand même fuir Paris à cause de la crise du peplum à la pompe. Vu que le pétrole y flambe toute la Rome antique...
Bon, personne n'a acheté ! mais ils ont joué à pap' et mam' font de l'immobilier jusqu'au bout... c'est-à-dire juste avant qu'on sorte le carnet de chèques usagés.
C'est tout pareil ! dans les médias dits honnêtes et trèstous maquillés. Le Pen prétend que Ingrid de la famille Betancourt n'a jamais été otage, et que les FARCs c'était du fantômas plus enième au flan... et Balkany répond à Ségoluche que c'est elle qui a maquillada son appart' en l'appart' carambolé des médias. En d'autres termes, tout est comme sur la 6 mais à l'inverse : une équipe vous met l'appart' sens dessus dessoudé.
C'est si grave, que, bientôt, il faudra créer un journal qui ne dira que des nouvelles vraies. Mais pas plus de 10, pour nous éviter le choc avec la réalité. Et qu'il sera aussi rare que la première girafe qui a visité la France, et donc qu'il serait une sorte de curiosité mirifique et digne des cabinets ou studiolos des princes qui aimaient à collectionner les bizarreries venues d'Orient et des îles improbables et gullivériennes... attention ! j'ai pas dit : gullivéridiques.
Bon ! on y mettra quand même quelques photos gullivénériennes en page centrale. Faut pas déconner avec le négoce et le commerce du sexe qui crée les richesses de l'occident pourri comme une vendange tardive de la vallée de Mittelbergheim-les-cochons.
Bon, personne n'a acheté ! mais ils ont joué à pap' et mam' font de l'immobilier jusqu'au bout... c'est-à-dire juste avant qu'on sorte le carnet de chèques usagés.
C'est tout pareil ! dans les médias dits honnêtes et trèstous maquillés. Le Pen prétend que Ingrid de la famille Betancourt n'a jamais été otage, et que les FARCs c'était du fantômas plus enième au flan... et Balkany répond à Ségoluche que c'est elle qui a maquillada son appart' en l'appart' carambolé des médias. En d'autres termes, tout est comme sur la 6 mais à l'inverse : une équipe vous met l'appart' sens dessus dessoudé.
C'est si grave, que, bientôt, il faudra créer un journal qui ne dira que des nouvelles vraies. Mais pas plus de 10, pour nous éviter le choc avec la réalité. Et qu'il sera aussi rare que la première girafe qui a visité la France, et donc qu'il serait une sorte de curiosité mirifique et digne des cabinets ou studiolos des princes qui aimaient à collectionner les bizarreries venues d'Orient et des îles improbables et gullivériennes... attention ! j'ai pas dit : gullivéridiques.
Bon ! on y mettra quand même quelques photos gullivénériennes en page centrale. Faut pas déconner avec le négoce et le commerce du sexe qui crée les richesses de l'occident pourri comme une vendange tardive de la vallée de Mittelbergheim-les-cochons.
En quoi le web serait-il utile ?
Pour ma part, la seule activité qui s'achève en quelque concrétude (la concrétude étant l'étude des voies concrètes) sur le net c'est la cherche et la rencontre de femmes exceptionnelles. Bien sûr, ce n'est pas le seul canal de telles rencontres peu banales. Toutefois, on y gagne beaucoup de temps sur le hasard, qui ne fait rien dans la vie qu'à nous compliquer les choses qu'on voudrait si aisées que presque téléphonées, selon l'expression qui veut tout dire.
Sur le net, on peut attendre des mois pour approcher doucement une personne qui expose de belles photos d'elle-même (une seule c'est louche). Ou bien obtenir un rendez-vous au second contact ou échange de mails. Et finalement, quand on rencontre la personne en vrai, comme on dit, c'est toujours une perfection de gaucherie sensible et assez merveilleuse entre les deux essuyeurs de platrusques. Car je ne suis jamais déçu et je crois bien que c'est assez partagé.
Pour le reste, les achats en ligne, la politique exaltée sur le web et les informations faisandées et pour tout dire fausses, je n'y crois pas et je vois tous ces essaims et nuées de commentateurs qui s'y laissent prendre comme autant de moucherons rendus fous par cette lumière factice qui ne mène à rien, même pas à la mort. Puisqu'il n'y a rien...
C'est si vide qu'on y perd que son temps, hormis si l'on a compris qu'il faut y aller uniquement pour soi-même. Car le web a ça de bien, qu'on y gagne si on n'y triche pas. C'est pourquoi il faut toujours avouer que la rencontre est assez séductrice et pour y rencontrer la séduction. Là ! oui ! ça marche.
Bon ! à condition d'être assez bien fait de sa personne et d'être hyper cultivé : c'est plus facile et finalement juste, puisqu'il y a du travail en amont. Franchement dit !
Sur le net, on peut attendre des mois pour approcher doucement une personne qui expose de belles photos d'elle-même (une seule c'est louche). Ou bien obtenir un rendez-vous au second contact ou échange de mails. Et finalement, quand on rencontre la personne en vrai, comme on dit, c'est toujours une perfection de gaucherie sensible et assez merveilleuse entre les deux essuyeurs de platrusques. Car je ne suis jamais déçu et je crois bien que c'est assez partagé.
Pour le reste, les achats en ligne, la politique exaltée sur le web et les informations faisandées et pour tout dire fausses, je n'y crois pas et je vois tous ces essaims et nuées de commentateurs qui s'y laissent prendre comme autant de moucherons rendus fous par cette lumière factice qui ne mène à rien, même pas à la mort. Puisqu'il n'y a rien...
C'est si vide qu'on y perd que son temps, hormis si l'on a compris qu'il faut y aller uniquement pour soi-même. Car le web a ça de bien, qu'on y gagne si on n'y triche pas. C'est pourquoi il faut toujours avouer que la rencontre est assez séductrice et pour y rencontrer la séduction. Là ! oui ! ça marche.
Bon ! à condition d'être assez bien fait de sa personne et d'être hyper cultivé : c'est plus facile et finalement juste, puisqu'il y a du travail en amont. Franchement dit !
Friday, July 11, 2008
La blogosphère stagnecouille
Où que l'on aille, la blogosphère et les pseudodo-pouvoirs qui s'en réclament stagnemortent, rament-et-tombent et même je me mets à penser qu'ils rampequenouillent. Il suffit d'aller zyeuter les articles mortecouilles d'Agoravox pour saisir que le net webrute devient un gros bourrage de textes pour ne rien dire du tout.
Chez Quitterie Delmas, ça va mieux car elle y croit : elle a la foi en elle ce qui est trèstout demianique. Je n'ai donc rien d'autre à dire que j'en suis content car ça fulgure...et elle ne censure jamais : on l'aime et elle est tzarriblement astrale.
Chez Crouzet-qui-c'est on y voit des gens qui causent de trucs et de machins pour eux-mêmes. C'est étrange et même pas surréaliste copié-collé-au-talon. J'ai même flirté avec Rue89 pour y aller voir si j'y étais comme Jésus et les deux lardons, et je suis reparti aussitôt, tellement c'est pareil depuis des mois tous pareils et qu'ils font des années.
Ca sent la fin d'un truc qui n'a même jamais pris ou commencé. C'est-à-dire qu'on pourrait lire des articles genre Journalisme Citoyen pendant des années, mais sur absolument rien. Pas de sujet, ni de contenu, même pas du style car inexistant comme une exigence de platitude ségolénique.
C'est la blogosphère de l'après-hystérie, quand ils disaient qu'ils allaient renverser tout ce qui était d'avant le plastique et le formica des cuisines outre périph'. Aujourd'hui, on ne voit plus Revelli qui est probablement fuitique en vacance avec sa femme dont Crouzet a mis la photo en ligne. J'en ai pas crevé mes glazes tellement elle est banalisée, et qu'on a quand même Carla à l'Elysée pour montrer la voie des belles femmes et toutes maîtresses. Bref, tout ceci est si décevant que j'espère que tout se casse la gueule, pour que des neufs entrepreneurs nous remettent le couvert mais avec des fourchettes et des cuillèrettes en argent où tu te vois dedans pour te peigner Demy de sa luxuriante splendeur.
C'est clair ! Pas d'erreur ! à la rentrée des crastes tout s'effondre...
Chez Quitterie Delmas, ça va mieux car elle y croit : elle a la foi en elle ce qui est trèstout demianique. Je n'ai donc rien d'autre à dire que j'en suis content car ça fulgure...et elle ne censure jamais : on l'aime et elle est tzarriblement astrale.
Chez Crouzet-qui-c'est on y voit des gens qui causent de trucs et de machins pour eux-mêmes. C'est étrange et même pas surréaliste copié-collé-au-talon. J'ai même flirté avec Rue89 pour y aller voir si j'y étais comme Jésus et les deux lardons, et je suis reparti aussitôt, tellement c'est pareil depuis des mois tous pareils et qu'ils font des années.
Ca sent la fin d'un truc qui n'a même jamais pris ou commencé. C'est-à-dire qu'on pourrait lire des articles genre Journalisme Citoyen pendant des années, mais sur absolument rien. Pas de sujet, ni de contenu, même pas du style car inexistant comme une exigence de platitude ségolénique.
C'est la blogosphère de l'après-hystérie, quand ils disaient qu'ils allaient renverser tout ce qui était d'avant le plastique et le formica des cuisines outre périph'. Aujourd'hui, on ne voit plus Revelli qui est probablement fuitique en vacance avec sa femme dont Crouzet a mis la photo en ligne. J'en ai pas crevé mes glazes tellement elle est banalisée, et qu'on a quand même Carla à l'Elysée pour montrer la voie des belles femmes et toutes maîtresses. Bref, tout ceci est si décevant que j'espère que tout se casse la gueule, pour que des neufs entrepreneurs nous remettent le couvert mais avec des fourchettes et des cuillèrettes en argent où tu te vois dedans pour te peigner Demy de sa luxuriante splendeur.
C'est clair ! Pas d'erreur ! à la rentrée des crastes tout s'effondre...
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