Sur les forums du net disputeux, on écrit pour moins que rien, car rien c'est encore édifiant dans les méditations solitaires.
La top-modello aime la vie simple quand la beauté parfaite et singulière est juste un bruit de fond auquel on ne prête pas tant d'attention.
Le cheval du romantique pour rapter sa Belle, c'est le galop de son coeur...
La tête dessus le hâchoir du billot, je cherche encore le regard de la femme pour lui plaire.
Je ne crains pas de paraître l'étranger à la société contemporaine assez adonnée à la dernière folie et depuis des éons de millénasses.
L'esprit crée des concepts comme la poule pond des oeufs, et l'artiste crée des oeuvres comme la mer érode la falaise. Et souvent, ce sont les mêmes...
Ce qui anime l'espace illusionniste du blanc c'est la texture.
La musique choisie garde des moments de notre passé pour nous les rendre à l'intact.
Tout ne tient que par cette joie simple de se lever le matin et d'avoir reçu, pendant la nuit, l'énergie pour parfournir une journée complète.
Demy est en train de créer sa capsule spatiale blanche et designée en mobilier translucide pour voyager dans tout l'univers "ici et maintenant" comme le moine zen.
Au cinéma, la musique exprime les sentiments que ressentent les personnages pendant l'action. Et dans la vie ce sont les sentiments qui sont la musique.
Ce sont des humeurs obscures et lumineuses qui nous meuvent et toutes invisibles car elles embuent nos yeux les plus perçants.
Il ne faut pas confondre art et divertissement.
Je me méfie des daimons qui agissent les gens par-delà leur volonté.
Je ne m'explique pas pourquoi je n'arrive pas à croire à la mort.
Des savants américains ont prophétisé récemment que les techno-sciences permettraient bientôt de faire revivre grâce au patrimoine génétique toutes les personnes qui ont vécu sur la Terre et depuis le début. Où va-t-on mettre tous ces gens ?
C'est le caractère proprement fictionnel de la religion qui a fait son succés.
L'amour non-partagé est la plus grande injustice dans la nature, dont on se console dans le grand Marché ou tout s'achète et se vend.
Il en est qui transforment l'amour en amitié pour trancher le lien de la haine. C'est dire la complexité de ne plus vivre en couple.
Je suis un membre éloigné de ma famille.
Dans la forêt, les arbres montent au ciel.
Quand j'ai tort, je le sais intimement.
Quand tu nages dans le béton qui prend, le climat se durcit.
Si tu relies une liasse de billets tu ne fais pas forcément un bouquin.
Après le concept de résurrection, devenu central dans le christianisme, la pensée occulte dans l'islam a inventé le concept de "Grande Résurrection" qui signifie qu'il faut renaître après notre mort symbolique ce pendant qu'on vit. Ce n'est pas après la mort qu'on est sauvé et qu'il y aurait rédemption, mais ce pendant qu'on vit et qu'on étudie les universités cachées. Ca change tout...
Dans l'espace, les poules pondent des yeux.
Tous les mouvements modernes dans l'internet sont des paniques devant l'inconnu ou la nouveauté dont on ignore les usances.
Nous devenons lentement prisonniers de nos objets, et pis encore, ils nous survivent effrontément.
Ce qui est sûr, c'est que je ne sais pas où naît ma pensée...
L'homme de la foule est un animal étranger habité par plein de bactéries et qui, aveugle, s'interroge de savoir s'il est seul dans l'univers.
Le truc le plus serein c'est un appart tout blanc et géométrique meublé de design transparent comme un cristal philosophique.
Toute ma vie, je n'ai connu que des journées suivies de lendemains.
Nous sommes faits pour la contemplation.
En avril tout part en vrille.
En art, il faut penser à tout, puis laisser filer.
C'est avec les pinceaux les plus usés et rejetés qu'on fait les plus beaux effets buissonnants et savants.
Pour laquelle mauvaise raison, en France, sanctionne-t-on l'étranger qui aime la France au point de risquer pour y venir vivre ?
Pour qu'elle soit complète et épique, il ne manque plus à notre époque qu'elle inaugure les Jeux Olympiques de la bêtise conjointe à la vulgarité.
Pour laquelle raison croit-on plus aisément en un acteur qui joue un prêtre ou un pasteur plutôt que dans les prêtres et les pasteurs de notre paroisse abandonnique ?
La distinction entre "philosophe" et "penseur" exercée dans la discipline même de la philosophie est très indicielle d'une faiblesse philosophique.
Quand on déplace son corps, déplace-t-on dans le même temps son esprit ? N'est-ce pas plutôt l'esprit qui déplace tout autour de lui-même, voire en lui-même ?
Il ne faut jamais écrire deux fois la même chose, si l'on veut toucher son interlocuteur.
Les ruptures d'amour sont des amputations.
Il est aisé de faire face à ceux qui vous ignorent, puisqu'ils ne vous voient pas.
Pourquoi, dans les médias et dans la foule, "aujourd'hui" devient-il "au jour d'aujourd'hui" ? Est-ce par besoin de poésie chantée et répétitive ou par ignorance du sens des termes ? (au jour d'huis = au jour à la fenêtre).
J'aime bien avoir l'impression de ne rien faire même quand je m'éreinte, tout comme j'adore avoir l'impression de travailler quand je ne fais rien.
Les mots et les phrases et les livres sont des vagues qui ne changent rien aux plages.
Protégez-vous et ceux que vous aimez !
Ce n'est pas parce que je vais sur internet que j'imagine ce média en pharmakon universel.
Probablement, Obama est-il persuadé d'être la "réincarnation" de Lincoln, comme De Gaulle était convaincu d'être la "réincarnation" de Jeanne d'Arc.
Pour intéresser l'homme : Dites-lui que passer l'aspirateur est un acte de dissidence.
Pour bien adorer une femme il faut être un peu prêtre.
L'écriture est un dur travail de fait-néant.
Pour laquelle raison n'a-t-on jamais appelé les "tabacs" des "suicideries" ? par auto-intrigue.
Quand tu te montres : Tu te mets à découvert et tu attires les ennuis avec tous pervers accoués.
La meilleure place est à l'écart.
Quand tu écris à l'autre, tu t'écris à toi-même dans le même temps.
Les prédateurs de toutes natures, et humains aussi, ont pour fonction naturelle de révéler ta nature profonde du Survivant.
Demy est plus un Pince-Charmant qu'un Prince-Charmant : Il a les doigts fins du pinceur pince-moi !
Quand deux dictateurs se rencontrent, ils discutent de peur.
Demian a été repéré par des chasseresses de crêtes.
Il faudrait retourner à l'école quand on est vieux et plus sage, et profiter du travail et des économies de toute une vie à vingt ans.
A la façon dont Obama vampé a regardé Carla Bruni, il doit douter d'être l'homme le plus puissant du Monde.
La plupart qui critiquent les Ministres de la Culture ne sont jamais allé ni à l'Opéra non plus qu'au théâtre : Ils vont au cinéma à la télé.
Voyager c'est une façon très habile et autorisée d'échapper à soi-même. C'est bien !
Vers la Constitution d'Etats-Unis d'Occident, depuis Los Angeles jusqu'à l'Oural voire la Sibérie, comme sanctuaire des Droits de l'Homme. C'est ça, ou bien ça bascule vers la chicane qui tracasse pour tout casser.
L'internet et les internautes aux pratiques violentes d'aujourd'hui ne sont pas l'avenir mais le passé.
Pour que la gauche soit laminée à ce point, elle doit y participer elle-même à son laminage vétilleux.
Bricoler et faire la cuisine incitent à la fréquentation des hautes pensées discrètes.
Il vaut mieux vivre dans un trou perdu : Quand on meurt c'est plus facile genre déjà fait.
Il faut lire aussi les Grands Auteurs Français traduits en anglais : On lit bien les Grands Auteurs Anglais traduits en français !
Le problème quand tu es un bon mari c'est que tu attires les autres femmes, surtout quand ta femme aime te montrer comme un trophée !
Vous pouvez commencer sans moi, j'ai oublié le début.
Vous pouvez commencer demain...si le soleil se lève.
L'homme est un animal qui met les pieds sous la table.
"Qu'allez-vous faire maintenant ?" -- "Saler mes frites pour avoir les lèvres plus rouges !"
Le Monde et les Peuples sont perdus car ils ont trop de libertés dont ils ne savent pas vraiment faire usance ni les appliquer, non plus que les goûter...
Le Monde et les Peuples sont perdus car ils ont trop de libertés dont ils ne savent pas vraiment faire usance ni les appliquer, non plus que les goûter...
La source du Monde ce sont ceux qui ne savent pas encore jusqu'où l'homme peut s'abaisser, et la source de l'autre Monde ce sont ceux qui le savent.
Ecrire : C'est comme respirer des mots qui vous viennent...
On voudrait que chaque poème dise une chose sensée quand ils ne disent pas plus que le Monde qui, lui, ne dit pas plus que les poèmes qui ne savent plus quoi dire.
Tous piégés par le présent qui nous dépasse et nous contient.
Le bio-carburant, je pensais que c'était du sang !
Le G20 c'est le concile des 20 pays les plus puissants du Monde : C'est rassurant car ça veut dire qu'il y a encore un Monde, ce matin.
Le meilleur moment de notre vie : L'ensemble de notre vie et vue par l'esprit en nous qui embrasse et enveloppe tout, même le pire, dans sa félicité d'être Soi.
Il est des gens pour lesquels leur boîte aux lettres est leur pire ennemi qu'ils visitent tout en la craignant chaque jour.
La crise vient à l'heure du laitier.
Les journaux sont des fabriques de censures.
La censure c'est bien : Uniquement quand elle vous touche pour vous signifier que vous avez raison assez pour qu'on veuille vous taire.
Les eaux montent comme la peur...
Le cheval c'est un homme qui n'a pas besoin d'un autre homme pour courir sur son dos.
Oui jà ! les prochains ou prochaines Ministres de la Culture seront des personnalités de fer.
Pour être libre, en préalable il faut accepter beaucoup de pertes qui sont des gains mal-perçus.
Bientôt l'Homme sera tellement descendu qu'il se revendiquera d'être conçu de plastique.
notre époque des milliasses se baignent dans la substance même de la bêtise comme si c'était du lait de licorne. Heureusement, ils sont inspirés proprement par tous les syphons qu'ils cherchent.
Quand tu rencontres le Bouddha, parle-lui de la pluie et du beau temps et aussi de tout et de rien.
Si on retirait la médiocrité à notre Monde, il resterait l'air autour des monuments.
Si on écoutait tout le monde, on ferait n'importe quoi !
La gauche est si peu fair-play après les élections de 2007 et à un degré jamais vu, que l'expression massive et névrotique de son amertume lui garantit l'échec en 2012.
Quelle déchéance post-mitterrandienne-&-Badinter ! les foules de gauche rêvent de remettre la guillotine sur la place pour détrancher Sarkozy en neuf Louis XVI.
Il faut dire aux cons qu'ils sont cons. N'ayez pas peur !
Les journaux télévisés sont vides à force de répétition du même.
La Night-Hag ou sorcière de "Macbeth" c'est l'avidité ou l'ambition politique, aussi la publicité et les vitrines de la grande marchandise qui font notre chute au sommet.
Il y a plein d'univers et entretissés de somptueuses bizarreries et bestiaires de leurs rationalités insoupçonnées.
Les théorèmes rationnels stimulent naturellement et paradoxalement les pulsions dominatrices et irrationnelles de ceux qui veulent les imposer en dogmes.
La sagesse est un mélange de livres et d'expériences.
Deux affirmations contradictoires sont souvent vraies dans le même temps.
Pour te libérer d'une personne possessive : Trompe la sans la tromper.
Pour plaire à une femme, il faut lui donner ce qu'elle veut, et surtout ce qu'elle n'osait vouloir ou espérer.
Le sommeil est une forme du bonheur-source : Comme le soleil ou l'amour.
Le sommeil est une forme du bonheur-source : Comme le soleil ou l'amour.
Le vrai maître de lui-même est cettui qui a décidé de détrancher ses pensées douteuses quand elles apparaissent encore floues.
Ce sont les pensées oisives tournant en peurs, qui empêchent l'amour de s'exprimer pleinement.
Le cocu ignorant n'est pas cocu, c'est pourquoi il promène sa mine r'éjouie.
Pour éviter l'envie de s'entre-tromper hors du couple, il faut mettre toute sa science pour retomber amoureux à reprises dans le couple.
Souvent, on veut cacher nos défauts qui sont notre plus belle part de séduction.
La sexualité est une liberté comme elle est une dictature : Il faut bien discerner ses deux aspects.
La vie que nous avons vécue : C'est pile poil le programme pour lequel on est né.
Ce n'est pas le nombre qui compte, c'est de trouver un ou deux ami(e)s qui savent espacer la famille. Et c'est le rare...
Un jour et après un long voyage dans l'espace, l'homme marchera à nouveau sur la Terre.
Je suis la personne qui m'a le plus déçu.
Les mêmes têtes qu'on voit tout le temps à la télé sont-elles les propriétaires de la Société et de nos cerveaux ?
Quand on approche de la mort rassurante, la vie entière nous paraît un songe dont on peut se départir sans peine, si légère qu'un souffle envolé.
Tant de vies vécues...
La pensée et la conscience sont des intensités de savoir quand on se trompe ou non. Les perdre c'est devenir l'esclave d'une autre pensée.
Ne te soucie jamais de la façon dont tes propos seraient reçus ou perçus : c'est le prix de la vérité.
Chaque Français se veut un dicte gouverneur d'un bon lopin du Monde entier.
En France, les gens se plaindraient même du soleil, s'il se postait du mauvais côté.
2012 approche, ce néanmoins je vois toute la Gauche fuir et coniller en dispersion.
La France serait le plus beau pays du monde sans l'humeur disputeuse des Français.
En France, les foules sont plus préoccupées de la réussite de leurs voisins pour en être plus jaloux encore, comme une forme de la passion perverse.
Métro-Boulot-Dodo : Marteau-Poulbot-Cloclo.
Quand tu réponds au téléphone et que tu entends d'autres téléprospecteurs dans le fond, fais le sourd et r'accroche !
Demian West
Wednesday, April 15, 2009
Monday, March 09, 2009
Aphorismes de Demian West : 13
La civilisation commence à ressembler à un reste dans le frigo.
Les jeux de mots se font par ennui dans des esprits assez vides.
Il faut être prudent et ne pas révéler les secrets avec le corps, ou les yeux et les gestes.
Dans les greniers, on trouve les vieux prix Nobel de l'insignifiance.
Quand on est un jeune équilibré on a l'éternité devant soi : Quand on est un vieux équilibré on a l'éternité derrière soi.
L'Homme sent la bête, et la Femme enivre de fragrances doux-fleurantes.
Quand tu travailles pour toi, tu travailles trèstout mieux.
Quand tu n'achètes plus rien car tout sent l'arnaque : Les prix vont à baisser vitement.
C'est pas le travail qui manque, c'est le travail payé et pour le long temps.
Dans les devis initiatiques, les sages ont mis en plants des lopins de pièges et astuces.
Le ciel géographique reflète les ennuis et chicanes de la Terre dessous.
Les stéréotypes sont des types qui fréquentent trop.
Ecrire c'est faire ou fabriquer la pensée.
Cettui qui agit précède ou devance cettui qui reste à penser.
Une journée pour la Femme et des milliasses d'années pour l'Homme.
Il faut d'arrivée couper le cou à l'esprit du temps.
La caste des hommes en cravates comme des pendables...
Il faut tout critiquer avant que ça s'installe...
Le net c'est le rendez-vous des mecs qui essaient.
"La Journée des Femmes" est un dispositif de misère dans une société incapable.
Les élites amrica et donc mondiales disent : Il n'est plus aucun endroit pour se cacher !
Salariés ! Protègez-vous dès maintenant ! Prévoyez le pire !
Louv' to witerr tàkenn Soth Boc.
His leofmon Deila bihalde.
It ben aires ov hevene.
3ème Guerre Mondiale : Mais contre les emplois.
Sur le net, on écrit pour personne.
L'oeil bionique a été conçu et mis en oeuvre : C'est le début de l'immortalité.
Dans peu de temps, quand l'immortalité sera créée, les places seront si rares et chères qu'elles engendreront beaucoup d'avidité et de morts crimineuses.
De nos jours, les dégoiseurs confondent volontairement la contestation et l'étalage de leurs propres échecs et manques.
De nos jours, on confond aisément franchise et promptitude à la déchéance de soi-même, comme on confond l'humour avec la mesquine et médiocre jalousie.
De nos jours sur le net, il y a des milliasses de types qui se r'assemblent pour des non-événements.
Tu reconnais aisément l'imbécile de loin, à ce qu'il fait beaucoup de bruit.
L'homme vraiment intelligent sait écarter les fâcheux c'est-à-dire les cons, sans aucune violence.
Pour moi, savoir à peine lire et utiliser une bagnole, l'internet ou la ville ne différencie pas vraiment l'Homme de la Bête.
Des myriades d'années d'évolution animale pour aveindre à la perfection Deila : ça valait le coup.
Parce que tu es belle insaisissablement, tu sais rendre la Beauté Surnaturelle en photo.
Le Futur est à ceux qui n'en ont pas peur.
Demain je vais me promener pour arrêter ma vie le temps d'une journée.
L'amour de Deila se sait diffuser le fabuleux et le merveilleux dans ma vie et à l'entour.
L'intensité et la clarté des couleurs sont la porte vers l'invisible.
Toutes les minutes et secondes, la galaxie entière est sauvée.
Le problème avec les petits boulots c'est qu'ils ne grandissent pas.
Jésus est un personnage historique très dépassé par les événements.
Il faut rendre à César ce qu'il a rendu.
Le roi de l'évasion aimait à regarder le monde par les trous de serrures.
Les draps sont la porte qui nous ouvre au monde, malheureusement !
La Grande Distribution c'est la distribution des rôles par l'inconscient.
Tout ce qui se comprend sans parler est langage universel.
Les gangsters ne sont romantiques qu'au cinéma.
La Lune est un Soleil étrange.
Les beaux murs marbrés de ton appart, lisses et blonds, sont les bras qui t'enveloppent.
Le flou est partout.
Demian à Deila : Ton épaule est la cathédrale de mes baisers.
Combien y a-t-il de Sans Malheur Fixe ?
Ne jamais croire les anticipations, en raison de la survenue de l'Inconnue.
Le net te bouffe le temps de la précieuse naissance humaine.
L'amour et l'imprégnation : deux mots pour un seul concept.
Avant de mourir, on se fatigue beaucoup, ce qui rend habilement toute révolte vaine.
Les mots ne sont que les promesses d'actes qu'il faut accomplir réellement.
A Paris, il y a tellement de gens dans la rue, qu'ils deviennent banals comme des brins d'herbe qu'on ignore aisément.
Quand on aime on assure et on ne se débine pas.
Le Prince Charmant c'est simple : C'est le meilleur d'entre-tous les testés.
Ce sont les murs qui dirigent l'Europe.
La nessence humaine est chère.
Have a nice pay !
La cybernatalité est improbable.
Demian & Deila s'aiment et s'entre-suffisent.
C'est la crise dans les esprits.
L'homme du XXIIème siècle vivra dans les cavernes mais sans les bêtes dehors.
Yes we bug !
Au sommet de l'Everest, la moindre glissade prend sur l'instant des dimensions effroyables, surtout dessous la face nord.
L'enfer céleste autre.
Dans une famille très nombreuse, il y a forcément des accidents.
Les très grands conflits naissent des plus petits malentendus.
La vie est un chemin très long dont le moindre écart nous fait dévier vers de grandes errances.
Si tu courtises deux femmes dans le même temps : Tu perds les deux.
Demian West
Les jeux de mots se font par ennui dans des esprits assez vides.
Il faut être prudent et ne pas révéler les secrets avec le corps, ou les yeux et les gestes.
Dans les greniers, on trouve les vieux prix Nobel de l'insignifiance.
Quand on est un jeune équilibré on a l'éternité devant soi : Quand on est un vieux équilibré on a l'éternité derrière soi.
L'Homme sent la bête, et la Femme enivre de fragrances doux-fleurantes.
Quand tu travailles pour toi, tu travailles trèstout mieux.
Quand tu n'achètes plus rien car tout sent l'arnaque : Les prix vont à baisser vitement.
C'est pas le travail qui manque, c'est le travail payé et pour le long temps.
Dans les devis initiatiques, les sages ont mis en plants des lopins de pièges et astuces.
Le ciel géographique reflète les ennuis et chicanes de la Terre dessous.
Les stéréotypes sont des types qui fréquentent trop.
Ecrire c'est faire ou fabriquer la pensée.
Cettui qui agit précède ou devance cettui qui reste à penser.
Une journée pour la Femme et des milliasses d'années pour l'Homme.
Il faut d'arrivée couper le cou à l'esprit du temps.
La caste des hommes en cravates comme des pendables...
Il faut tout critiquer avant que ça s'installe...
Le net c'est le rendez-vous des mecs qui essaient.
"La Journée des Femmes" est un dispositif de misère dans une société incapable.
Les élites amrica et donc mondiales disent : Il n'est plus aucun endroit pour se cacher !
Salariés ! Protègez-vous dès maintenant ! Prévoyez le pire !
Louv' to witerr tàkenn Soth Boc.
His leofmon Deila bihalde.
It ben aires ov hevene.
3ème Guerre Mondiale : Mais contre les emplois.
Sur le net, on écrit pour personne.
L'oeil bionique a été conçu et mis en oeuvre : C'est le début de l'immortalité.
Dans peu de temps, quand l'immortalité sera créée, les places seront si rares et chères qu'elles engendreront beaucoup d'avidité et de morts crimineuses.
De nos jours, les dégoiseurs confondent volontairement la contestation et l'étalage de leurs propres échecs et manques.
De nos jours, on confond aisément franchise et promptitude à la déchéance de soi-même, comme on confond l'humour avec la mesquine et médiocre jalousie.
De nos jours sur le net, il y a des milliasses de types qui se r'assemblent pour des non-événements.
Tu reconnais aisément l'imbécile de loin, à ce qu'il fait beaucoup de bruit.
L'homme vraiment intelligent sait écarter les fâcheux c'est-à-dire les cons, sans aucune violence.
Pour moi, savoir à peine lire et utiliser une bagnole, l'internet ou la ville ne différencie pas vraiment l'Homme de la Bête.
Des myriades d'années d'évolution animale pour aveindre à la perfection Deila : ça valait le coup.
Parce que tu es belle insaisissablement, tu sais rendre la Beauté Surnaturelle en photo.
Le Futur est à ceux qui n'en ont pas peur.
Demain je vais me promener pour arrêter ma vie le temps d'une journée.
L'amour de Deila se sait diffuser le fabuleux et le merveilleux dans ma vie et à l'entour.
L'intensité et la clarté des couleurs sont la porte vers l'invisible.
Toutes les minutes et secondes, la galaxie entière est sauvée.
Le problème avec les petits boulots c'est qu'ils ne grandissent pas.
Jésus est un personnage historique très dépassé par les événements.
Il faut rendre à César ce qu'il a rendu.
Le roi de l'évasion aimait à regarder le monde par les trous de serrures.
Les draps sont la porte qui nous ouvre au monde, malheureusement !
La Grande Distribution c'est la distribution des rôles par l'inconscient.
Tout ce qui se comprend sans parler est langage universel.
Les gangsters ne sont romantiques qu'au cinéma.
La Lune est un Soleil étrange.
Les beaux murs marbrés de ton appart, lisses et blonds, sont les bras qui t'enveloppent.
Le flou est partout.
Demian à Deila : Ton épaule est la cathédrale de mes baisers.
Combien y a-t-il de Sans Malheur Fixe ?
Ne jamais croire les anticipations, en raison de la survenue de l'Inconnue.
Le net te bouffe le temps de la précieuse naissance humaine.
L'amour et l'imprégnation : deux mots pour un seul concept.
Avant de mourir, on se fatigue beaucoup, ce qui rend habilement toute révolte vaine.
Les mots ne sont que les promesses d'actes qu'il faut accomplir réellement.
A Paris, il y a tellement de gens dans la rue, qu'ils deviennent banals comme des brins d'herbe qu'on ignore aisément.
Quand on aime on assure et on ne se débine pas.
Le Prince Charmant c'est simple : C'est le meilleur d'entre-tous les testés.
Ce sont les murs qui dirigent l'Europe.
La nessence humaine est chère.
Have a nice pay !
La cybernatalité est improbable.
Demian & Deila s'aiment et s'entre-suffisent.
C'est la crise dans les esprits.
L'homme du XXIIème siècle vivra dans les cavernes mais sans les bêtes dehors.
Yes we bug !
Au sommet de l'Everest, la moindre glissade prend sur l'instant des dimensions effroyables, surtout dessous la face nord.
L'enfer céleste autre.
Dans une famille très nombreuse, il y a forcément des accidents.
Les très grands conflits naissent des plus petits malentendus.
La vie est un chemin très long dont le moindre écart nous fait dévier vers de grandes errances.
Si tu courtises deux femmes dans le même temps : Tu perds les deux.
Demian West
Sunday, March 08, 2009
Des crinolines érotisantes
Demian et Deila ont, de ce grand pied, visité l'exposition des crinolines au Musée de la Mode à Paris, au Palais Galliera. C'est du top jupon. Et plein de sous-entendus érotiques : Quand on perçoit bien le sens de ces tissus qui arment la féminité pour asservir les mâles empire d'il y a deux siècles déjà.
C'est qu'on est bouffé au même régime du plat très-épicé. Certes, il y a ces robes guindées à bandes ornementales minimalistes évoquant les dernières de Buren et les vraies-fausses-culottes des sans-culottes. Mais, c'est le ravissement vertigneux presque noué quand on passe devant ces cubes de verre pleins de robes imprimées de guirlandes de fleurs et ruchées d'abeilles et de teintures criardes passées.
Il y a tout ! les carnets de bal avec leurs petites écritures au crayon timide, mais dénotatif de listes forlongées comme des courses du turf à la Degas. Les éventails sont à tomber sur le soyle de parterre, et les bijoux coupent le souffle mieux que la lame à détrancher du vieux doc Guillotin. C'est la femme qui exulte en ascenseur social comme dans le Bel-Ami de Maupassant. Et on y voit les travellators inventés pour les grands magasins parisiens sur lesquels les belles ne marchent plus : En mannequins de l'Exposition Universelle c'est-à-dire mondifiée.
Il y a beaucoup de dentelles et de moires insaisissables, ou par le seul son des souvenirs personnels des frottements que nous avons tous vécus et pour les revivre. D'ailleurs, Deila et moi n'y manquons pas de nous entre-frotter et par les mots et par l'air et par les membres vêtus ou non, çà et là.
C'est donc une expo du meilleur goût pour y inviter votre Dame, à celle fin qu'elle s'éjouisse de sa nature et de sa qualité de fatale. Franchement, quand on s'arrête devant la robe de Lola Montès des Ludwig, Ophuls et Bunuel filmiques ès rêveurs fantasmatiques, on comprend d'où vient cette impression de cheval fou tissée dans cette crin-oline toute cerclée d'une cage, pour donner de l'ampleur et espacer la femme jusqu'à son atmosphère circumconsciente.
Pour ma part, j'étais avec l'actrice Deila de la Famille Vogur, qui est la plus belle femme du monde et de l'histoire, et que je l'ai couverte de triple rangs de perles de culture, afin qu'elle se mirât dans une glace ingresque et lissée comme un tableau de l'Empire qu'elle a sur moi.
Demian West
C'est qu'on est bouffé au même régime du plat très-épicé. Certes, il y a ces robes guindées à bandes ornementales minimalistes évoquant les dernières de Buren et les vraies-fausses-culottes des sans-culottes. Mais, c'est le ravissement vertigneux presque noué quand on passe devant ces cubes de verre pleins de robes imprimées de guirlandes de fleurs et ruchées d'abeilles et de teintures criardes passées.
Il y a tout ! les carnets de bal avec leurs petites écritures au crayon timide, mais dénotatif de listes forlongées comme des courses du turf à la Degas. Les éventails sont à tomber sur le soyle de parterre, et les bijoux coupent le souffle mieux que la lame à détrancher du vieux doc Guillotin. C'est la femme qui exulte en ascenseur social comme dans le Bel-Ami de Maupassant. Et on y voit les travellators inventés pour les grands magasins parisiens sur lesquels les belles ne marchent plus : En mannequins de l'Exposition Universelle c'est-à-dire mondifiée.
Il y a beaucoup de dentelles et de moires insaisissables, ou par le seul son des souvenirs personnels des frottements que nous avons tous vécus et pour les revivre. D'ailleurs, Deila et moi n'y manquons pas de nous entre-frotter et par les mots et par l'air et par les membres vêtus ou non, çà et là.
C'est donc une expo du meilleur goût pour y inviter votre Dame, à celle fin qu'elle s'éjouisse de sa nature et de sa qualité de fatale. Franchement, quand on s'arrête devant la robe de Lola Montès des Ludwig, Ophuls et Bunuel filmiques ès rêveurs fantasmatiques, on comprend d'où vient cette impression de cheval fou tissée dans cette crin-oline toute cerclée d'une cage, pour donner de l'ampleur et espacer la femme jusqu'à son atmosphère circumconsciente.
Pour ma part, j'étais avec l'actrice Deila de la Famille Vogur, qui est la plus belle femme du monde et de l'histoire, et que je l'ai couverte de triple rangs de perles de culture, afin qu'elle se mirât dans une glace ingresque et lissée comme un tableau de l'Empire qu'elle a sur moi.
Demian West
Saturday, February 28, 2009
Aphorismes de Demian West : 12
Toute notre vie, on attend l'inconnue qu'on ne saurait attendre.
Quand l'amour est là, tu le reconnais sitôt sans autre explication.
La poésie est la pensée qui naît au moment où elle s'exprime.
Ce qu'on sait vraiment c'est ce qu'on a répété longtemps.
Les causes premières apparaissent toujours à la fin.
Pour devenir riche, il faut en préalable accepter d'imiter les pratiques des riches.
Quand un riche veut devenir pauvre, c'est qu'il est réellement tombé amoureux ou dépressif.
Comment les Hommes faisaient-ils pour s'ennuyer avant l'apparition de la télé ?
Qui veut éviter la chicane puis la guerre doit montrer les dents.
A notre époque, il vaut mieux être paresseux : On gagne autant et même plus.
Le concept de mission divine n'est pas un concept mais une auto-mutilation.
Demian pense qu'il faut atteindre le point duquel on voit bien que tout le mal que votre ennemi vous fait, he bien il le fait à lui-même.
Un ennemi c'est quoi ? c'est quelqu'un qui achoppe sur vous.
En ce moment, on voit plein d'arnaqueurs paniqués par la crise et qui sont en cherche de proies.
La jeunesse est piégée par les promesses.
Quand tu n'es personne, nul ne te chicane ; Quand tu deviens quelqu'un, alors tu déranges.
Chaque journée vécue est une journée gagnée sur le néant.
Il n'est pas d'autorité au-dessus, et nul n'a de compte à rendre intimement.
Les nouveaux siècles commencent aux printemps.
Etre seul à deux, c'est le début et l'achèvement de la plénitude.
Le sage pense en vue d'effets.
Boire un café aide à penser.
La pensée juste réordonne le cosmos.
L'achèvement du métier de vendeur est de devenir un homme politique connu.
La vie privée des hommes policliques.
Demian aime le français aussi en tant que langue morte.
Il n'y a rien de pire que des jeunes qui sont déjà vieux, et des vieux qui sont déjà morts.
Deila est toujours de bonne humeur, c'est la grande séduction.
Si tu aimes quelqu'un, dis-le lui maintenant !
Tu aimes vraiment, quand t'as plus envie d'aller voir ailleurs.
Quand les infos ne nous annoncent pas un cyclone meurtrier, on a l'impression qu'il ne se passe rien.
La question est : Que vas-tu faire de toute cette énergie ?
Le Journalisme Citoyen est à l'agonie et tout le monde d'en fiche.
J'ai toujours voulu faire de la musique et je fais de l'immobilier, alors je suis devenu riche.
On dit "gagner de l'argent" comme s'il s'agissait d'un concours...
Le journalisme sur le net, c'est la fin du français tel qu'on l'écrit bien.
Il faut rendre officiels deux ordres du français contemporain : la langue écrite classique, et le langage parlé-écrit totalement libre.
L'enfer c'est les sauterelles !
En peinture, le plus difficile à rendre c'est la carnation.
Avec la crise, c'est le retour du cash et de la chevalerie.
Tous les mondes qu'on pense et qu'on n'ose jamais peuplent le vide.
Le printemps est là, je vois déjà les feyminities elfiques fluer entre les arbres et naître du soyle.
Pleasin' th' Damozelle.
Quand je te vois je brûle dans ta présence, et quand je ne te vois pas je brûle de t'attendre.
Demian aime Deila, et il n'a qu'un seul coeur entièrement traversé et habité par Deila
Quand l'amour est là, tu le reconnais sitôt sans autre explication.
La poésie est la pensée qui naît au moment où elle s'exprime.
Ce qu'on sait vraiment c'est ce qu'on a répété longtemps.
Les causes premières apparaissent toujours à la fin.
Pour devenir riche, il faut en préalable accepter d'imiter les pratiques des riches.
Quand un riche veut devenir pauvre, c'est qu'il est réellement tombé amoureux ou dépressif.
Comment les Hommes faisaient-ils pour s'ennuyer avant l'apparition de la télé ?
Qui veut éviter la chicane puis la guerre doit montrer les dents.
A notre époque, il vaut mieux être paresseux : On gagne autant et même plus.
Le concept de mission divine n'est pas un concept mais une auto-mutilation.
Demian pense qu'il faut atteindre le point duquel on voit bien que tout le mal que votre ennemi vous fait, he bien il le fait à lui-même.
Un ennemi c'est quoi ? c'est quelqu'un qui achoppe sur vous.
En ce moment, on voit plein d'arnaqueurs paniqués par la crise et qui sont en cherche de proies.
La jeunesse est piégée par les promesses.
Quand tu n'es personne, nul ne te chicane ; Quand tu deviens quelqu'un, alors tu déranges.
Chaque journée vécue est une journée gagnée sur le néant.
Il n'est pas d'autorité au-dessus, et nul n'a de compte à rendre intimement.
Les nouveaux siècles commencent aux printemps.
Etre seul à deux, c'est le début et l'achèvement de la plénitude.
Le sage pense en vue d'effets.
Boire un café aide à penser.
La pensée juste réordonne le cosmos.
L'achèvement du métier de vendeur est de devenir un homme politique connu.
La vie privée des hommes policliques.
Demian aime le français aussi en tant que langue morte.
Il n'y a rien de pire que des jeunes qui sont déjà vieux, et des vieux qui sont déjà morts.
Deila est toujours de bonne humeur, c'est la grande séduction.
Si tu aimes quelqu'un, dis-le lui maintenant !
Tu aimes vraiment, quand t'as plus envie d'aller voir ailleurs.
Quand les infos ne nous annoncent pas un cyclone meurtrier, on a l'impression qu'il ne se passe rien.
La question est : Que vas-tu faire de toute cette énergie ?
Le Journalisme Citoyen est à l'agonie et tout le monde d'en fiche.
J'ai toujours voulu faire de la musique et je fais de l'immobilier, alors je suis devenu riche.
On dit "gagner de l'argent" comme s'il s'agissait d'un concours...
Le journalisme sur le net, c'est la fin du français tel qu'on l'écrit bien.
Il faut rendre officiels deux ordres du français contemporain : la langue écrite classique, et le langage parlé-écrit totalement libre.
L'enfer c'est les sauterelles !
En peinture, le plus difficile à rendre c'est la carnation.
Avec la crise, c'est le retour du cash et de la chevalerie.
Tous les mondes qu'on pense et qu'on n'ose jamais peuplent le vide.
Le printemps est là, je vois déjà les feyminities elfiques fluer entre les arbres et naître du soyle.
Pleasin' th' Damozelle.
Quand je te vois je brûle dans ta présence, et quand je ne te vois pas je brûle de t'attendre.
Demian aime Deila, et il n'a qu'un seul coeur entièrement traversé et habité par Deila
Tuesday, February 24, 2009
Aphorismes de Demian West : 10
Sur le net comme dans la vie, les imbéciles se privent des talentueux en les agressant.
Le pouvoir est corrupteur, mais le désir de pouvoir l'est autant.
L'homme libre dort comme il veut, quand et combien il veut.
Force nous est de reconnaître que la plus grande déception nous vient des gens. Evitons-les pour être libre.
La Grande Deila a la morgue des Princesses en montre.
Les petits des animaux nous enseignent le lien avec la Mère.
Les arbres boivent de l'eau, et les voitures boivent de l'essence.
...me réincarner en oiseau de la canopée...
Le chef-d'oeuvre du monde c'est la vie dans la forêt originelle : le Urwald.
Les impressionnistes perdent leurs couleurs.
Les musées sont des lieux excessifs qui incitent au pillage.
Bernard Hollande a dissout l'opposition comme sa parole a tourné le sucre dans sa tasse.
L'Homme est un mangeur de place.
La population des vifs et la population des morts grandissent dans le même temps.
Les interstices du monde sont grèvés d'attentats.
L'intellect triche sans laisser avec la réalité.
L'art discrimine les conventions.
Le vrai ciel est mouvant quand le cosmos paraît fixe.
Les Grandes Dames naissent dans la morale et les vertus.
L'ordinateur est comme le tableau : Un objet qui pense.
La tête mesure le soi jusqu'aux pieds.
L'amant veut la chose, comme on dit la chose jugée.
Les esprits qui ne veulent pas savoir embrouillent tout.
Les phrases s'ensuivent pour s'expliquer entr'elles.
En tout état de cause, je fais un effet de manche.
Quand je suis un objet de science, je me sens trop observé, alors je trompe.
Les historiens devinent.
Deila brille tellement, que souventes fois je dois détourner mon regard pourtant bien-féru.
Selon la thèse officielle : Demian est insaisissable.
Trahir, c'est perdre des lopins d'années précieuses.
L'individu autonome est un oiseau paré des Gloires.
La poésie est la langue occulte.
On peut comprendre que les pauvres friment, mais pourquoi les riches friment-ils plus encore ?
Le rendez-vous amoureux est le but de l'évolution.
Les taureaux de concours sont des surhommes.
La robe est le sanctuaire.
Ignore les jaloux et roule sur l'autoroute de la Gloire.
Les gens qui se fâchent ne dorment pas assez.
L'honnêteté paye souvent à crédit.
La vérité démêle les liens entre-les-gens.
A peine découvrit-on les Amérindiens, qu'on voulut les exterminer.
Quand les rendez-vous sonnent comme des convocations, méfie-toi et oublie-les.
Demain est un autre velours.
Les phrases sont des serpents qui vont sur le marbre de l'air.
Deila m'a mené jusque-là où les mots s'effacent pour la contemplation.
J'entrevois déjà l'avenir que je ne verrai jamais.
Une pente c'est une invite.
Demian West
Le pouvoir est corrupteur, mais le désir de pouvoir l'est autant.
L'homme libre dort comme il veut, quand et combien il veut.
Force nous est de reconnaître que la plus grande déception nous vient des gens. Evitons-les pour être libre.
La Grande Deila a la morgue des Princesses en montre.
Les petits des animaux nous enseignent le lien avec la Mère.
Les arbres boivent de l'eau, et les voitures boivent de l'essence.
...me réincarner en oiseau de la canopée...
Le chef-d'oeuvre du monde c'est la vie dans la forêt originelle : le Urwald.
Les impressionnistes perdent leurs couleurs.
Les musées sont des lieux excessifs qui incitent au pillage.
Bernard Hollande a dissout l'opposition comme sa parole a tourné le sucre dans sa tasse.
L'Homme est un mangeur de place.
La population des vifs et la population des morts grandissent dans le même temps.
Les interstices du monde sont grèvés d'attentats.
L'intellect triche sans laisser avec la réalité.
L'art discrimine les conventions.
Le vrai ciel est mouvant quand le cosmos paraît fixe.
Les Grandes Dames naissent dans la morale et les vertus.
L'ordinateur est comme le tableau : Un objet qui pense.
La tête mesure le soi jusqu'aux pieds.
L'amant veut la chose, comme on dit la chose jugée.
Les esprits qui ne veulent pas savoir embrouillent tout.
Les phrases s'ensuivent pour s'expliquer entr'elles.
En tout état de cause, je fais un effet de manche.
Quand je suis un objet de science, je me sens trop observé, alors je trompe.
Les historiens devinent.
Deila brille tellement, que souventes fois je dois détourner mon regard pourtant bien-féru.
Selon la thèse officielle : Demian est insaisissable.
Trahir, c'est perdre des lopins d'années précieuses.
L'individu autonome est un oiseau paré des Gloires.
La poésie est la langue occulte.
On peut comprendre que les pauvres friment, mais pourquoi les riches friment-ils plus encore ?
Le rendez-vous amoureux est le but de l'évolution.
Les taureaux de concours sont des surhommes.
La robe est le sanctuaire.
Ignore les jaloux et roule sur l'autoroute de la Gloire.
Les gens qui se fâchent ne dorment pas assez.
L'honnêteté paye souvent à crédit.
La vérité démêle les liens entre-les-gens.
A peine découvrit-on les Amérindiens, qu'on voulut les exterminer.
Quand les rendez-vous sonnent comme des convocations, méfie-toi et oublie-les.
Demain est un autre velours.
Les phrases sont des serpents qui vont sur le marbre de l'air.
Deila m'a mené jusque-là où les mots s'effacent pour la contemplation.
J'entrevois déjà l'avenir que je ne verrai jamais.
Une pente c'est une invite.
Demian West
Monday, February 23, 2009
Aphorismes de Demian West : 11
90000 chômeurs de plus depuis le début 2009, c'est le premier bouchon sur l'autoroute du chômage.
Quand le corps change tu peux te réveiller en n'importe quoi.
Pour faire l'amour, attendez d'être divorcés !
Depuis quelques siècles, toutes les primes décennies marchent d'arrivée sur terrain glissant.
La vie est miel.
Quand tu es malade, l'esprit de la maladie investit ton esprit.
Tu es le Maister du Jeu si tu sais vouloir sourdement à basse note.
Le triangle de la femme a la tête de l'homme en-bas.
Un bon film ça t'extrait quand même des rushes de ta vie.
Les mégapoles sont des vortex de la conscience et du sentiment.
Les salariés, qui ont peur de perdre leur travail en 2009, perdent beaucoup d'énergie à le cacher.
Fais tes amis des seules personnes qui t'ont toujours bien-conseillé et pour tes intérêts, ce qui est le rare !
Il faut de la chance pour mener sa vie plus loin.
La vie se confond assez avec le vieillissement.
Si on a voulu rater sa vie, en la ratant on la réussit.
Avec Deila, j'ai la complète domotique installée dans mon coeur.
La beauté cautérise les angoisses.
Le Krach est la bombe atomique virtuelle.
La guerre est la mère de toutes reconstructions.
Le Crash bancaire est la neuve formule de bombardement de la guerre virtuelle de Nowadays : La valeur de milliers de maisons envolée.
Avec Deila, je ne m'ennuie jamais : je brûle à grand et petit feux d'ensemble.
Un jour, on volera en bateau.
Pour prendre son train, il faut d'abord marcher.
Parler vrai suscite immanquablement des réactions hostiles.
La Gauche a pris coutume de se mentir à elle-même : l'auto-intrigue.
Baudelaire c'est un aigle dans ta tête.
Je décroche toujours vers le milieu du film.
L'ouverture sarkozyste a ouvert les flancs de l'adversaire.
Le premier cercle élyséen est un quadrangle.
Quand tu intègres l'ANPE, tu officialises que tu n'es plus rentable.
Aujourd'hui, il faut faire des luxes de procès pour connaître la vérité.
L'Europe est un continent en bonne voie de naïveté.
Les premiers de la classe se vendent à l'encan sur internet.
Un continent est porté disparu : C'est nouveau !
L'honnête homme doit être assez gynécoloque.
L'Amour, l'Amérique, l'Art et l'Argent, le sexe paraventure sont les sources du débord d'énergie.
Etre personne c'est un désir de Roi.
La crise mondiale actuelle n'a d'autre but que : Faire monter le prix de l'immobilier après la baisse.
Une journée à ne rien faire c'est une journée gagnée.
La femme incite à sa préemption délicate et fixe.
Une femme libre ne va pas forcément voir ailleurs.
Pour vivre assez bien, il faut être en grand débord d'énergie.
Deila est un personnage de roman germanopratin.
Par chacun de ses soupirs amoureux, Deila crée un monde entier.
Quand le printemps vient c'est chaque fois nouveau.
Un homme seul peut avoir raison contre tous.
Les suspects étaient louches par-là-même.
Les procès sont des préjudices en soi.
Il besognait d'arrache-pied à déminer une mine.
Quand on imagine l'autre parfait, on est forcément déçu par la vision de près.
Il n'y a plus de pauvres : Que des nantis incapables.
Le rebelle est en cherche d'autorité.
L'homo sapiens est ultra-libéral et capitaliste.
L'argent est la Constitution de la classe unique mondiale qui est la Bourgeoisie.
Louis XIV lui-même n'avait pas le confort du Français moyen d'aujourd'hui.
Le communisme était une forme contournée du capitalisme.
La liberté est dans la propriété privée.
Demian West
Quand le corps change tu peux te réveiller en n'importe quoi.
Pour faire l'amour, attendez d'être divorcés !
Depuis quelques siècles, toutes les primes décennies marchent d'arrivée sur terrain glissant.
La vie est miel.
Quand tu es malade, l'esprit de la maladie investit ton esprit.
Tu es le Maister du Jeu si tu sais vouloir sourdement à basse note.
Le triangle de la femme a la tête de l'homme en-bas.
Un bon film ça t'extrait quand même des rushes de ta vie.
Les mégapoles sont des vortex de la conscience et du sentiment.
Les salariés, qui ont peur de perdre leur travail en 2009, perdent beaucoup d'énergie à le cacher.
Fais tes amis des seules personnes qui t'ont toujours bien-conseillé et pour tes intérêts, ce qui est le rare !
Il faut de la chance pour mener sa vie plus loin.
La vie se confond assez avec le vieillissement.
Si on a voulu rater sa vie, en la ratant on la réussit.
Avec Deila, j'ai la complète domotique installée dans mon coeur.
La beauté cautérise les angoisses.
Le Krach est la bombe atomique virtuelle.
La guerre est la mère de toutes reconstructions.
Le Crash bancaire est la neuve formule de bombardement de la guerre virtuelle de Nowadays : La valeur de milliers de maisons envolée.
Avec Deila, je ne m'ennuie jamais : je brûle à grand et petit feux d'ensemble.
Un jour, on volera en bateau.
Pour prendre son train, il faut d'abord marcher.
Parler vrai suscite immanquablement des réactions hostiles.
La Gauche a pris coutume de se mentir à elle-même : l'auto-intrigue.
Baudelaire c'est un aigle dans ta tête.
Je décroche toujours vers le milieu du film.
L'ouverture sarkozyste a ouvert les flancs de l'adversaire.
Le premier cercle élyséen est un quadrangle.
Quand tu intègres l'ANPE, tu officialises que tu n'es plus rentable.
Aujourd'hui, il faut faire des luxes de procès pour connaître la vérité.
L'Europe est un continent en bonne voie de naïveté.
Les premiers de la classe se vendent à l'encan sur internet.
Un continent est porté disparu : C'est nouveau !
L'honnête homme doit être assez gynécoloque.
L'Amour, l'Amérique, l'Art et l'Argent, le sexe paraventure sont les sources du débord d'énergie.
Etre personne c'est un désir de Roi.
La crise mondiale actuelle n'a d'autre but que : Faire monter le prix de l'immobilier après la baisse.
Une journée à ne rien faire c'est une journée gagnée.
La femme incite à sa préemption délicate et fixe.
Une femme libre ne va pas forcément voir ailleurs.
Pour vivre assez bien, il faut être en grand débord d'énergie.
Deila est un personnage de roman germanopratin.
Par chacun de ses soupirs amoureux, Deila crée un monde entier.
Quand le printemps vient c'est chaque fois nouveau.
Un homme seul peut avoir raison contre tous.
Les suspects étaient louches par-là-même.
Les procès sont des préjudices en soi.
Il besognait d'arrache-pied à déminer une mine.
Quand on imagine l'autre parfait, on est forcément déçu par la vision de près.
Il n'y a plus de pauvres : Que des nantis incapables.
Le rebelle est en cherche d'autorité.
L'homo sapiens est ultra-libéral et capitaliste.
L'argent est la Constitution de la classe unique mondiale qui est la Bourgeoisie.
Louis XIV lui-même n'avait pas le confort du Français moyen d'aujourd'hui.
Le communisme était une forme contournée du capitalisme.
La liberté est dans la propriété privée.
Demian West
Aphorismes de Demian West : 9
Le triangle de la femme a de bons côtés.
Quand le téléphone sonne, le sage ne répond pas.
Quand trois hommes sont ensemble, l'un d'entre-eux devient leur maître.
Une pente c'est une invite.
J'entrevois déjà l'avenir que je ne verrai jamais.
Deila m'a mené jusque-là où les mots s'effacent pour la contemplation.
Judas manquait de baisers.
Quand je ne sais pas quoi dire, ça vient.
Un jour, un professeur m'a dit "Vous pourriez ouvrir votre école."
Voler c'est perdre pied avec la réalité.
Demain on rase gratis le pubis.
Je n'ai jamais bien compris que le monde existait avant moi. J'ai toujours des doutes malgré les images qui bougent.
La force de Demian, c'est qu'il n'a jamais peur de paraître idiot.
On aurait inventé la relativité sans Einstein, mais pas d'opéra de Mozart sans Mozart.
Ma voiture n'est jamais invitée à ma table.
Les pigeons font leurs nids autour des oeufs.
Les idées viennent des idées.
L'amour est un prétexte au sexe.
La sieste est l'art de demain, dans 24 heures quoi !
L'heure passe et la montre reste.
Quand les fruits font la grève ils pourrissent.
Dans une boîte d'allumettes elles sont innumérables.
Bayrou n'est plus que probable.
Le monument de la Pop n'était que du son.
Si tu entres en politique tu sors en déçu.
La droite est à la gauche de la gauche qui est à droite.
Il n'y a plus de Président disponible pour 2012.
La gauche n'est plus que gadget d'elle-même ou verroterie du souvenir.
Ségolène Royal est intermittente...
Besancenot est un poupon télévisuel et rengaineur.
L'absence est une pratique de l'esprit.
Ni début ni fin, juste l'esprit sans corps autour mais en-dessous.
Sur le Globe : Où commence le matin ? Où commence le serein ?
La Terre est plate comme les trottoirs dallés en mappemondes.
La vérité et l'avenir tombent comme le fruit mûr.
Quand on fait une erreur on le pressent, mais c'est une liberté d'errer.
Le plus difficile et aisé à la fois, est de parler simplement et vrai à la plus belle femme : Ne rien lui cacher.
Les journalistes mentent et les cinéastes disent la vérité.
L'angélisme de la gauche actuelle est un dispositif manipulateur.
Les journalistes mentent.
Pour attirer la Providence, sois d'arrivée un exemple de vertus.
Aide d'abord ceux qui sont à ta main, et ainsi du reste.
Demian aime les voix chaudes des doublages des films des années 50.
Moi on m'a toujours appris que les gens ne sont pas libres, quand je sais qu'ils le sont.
Les partis et les journaux meurent au XXIème siècle, quand l'art se transforme.
Tantôt nous prendrons l'avion pour les nues shakespeariennes.
Avec Deila, je repeins mon coeur en bleu.
Les Indes sont un pays trèstout littéraire.
Pour te protéger, sonde les coeurs et les intentions.
Désormais, les machines techno-scientifiques évoluent plus vite que les hommes.
Notre époque est un Moyen Âge techno-scientifique.
Deila est venue avec des lopins du futur dans son océan de calme certitude.
L'expérience dirait que croire en Dieu c'est croire un peu trop en soi.
La religion enferme comme elle libère.
Le papier glacé est chaud.
Va, vends ta voiture et marche !
Sans plus de crédit : Tous sont quasiment pauvres et moins frimeurs !
Les journaux informent d'une main, et de l'autre main, ils jettent de l'huile sur le feu.
Demian West
Quand le téléphone sonne, le sage ne répond pas.
Quand trois hommes sont ensemble, l'un d'entre-eux devient leur maître.
Une pente c'est une invite.
J'entrevois déjà l'avenir que je ne verrai jamais.
Deila m'a mené jusque-là où les mots s'effacent pour la contemplation.
Judas manquait de baisers.
Quand je ne sais pas quoi dire, ça vient.
Un jour, un professeur m'a dit "Vous pourriez ouvrir votre école."
Voler c'est perdre pied avec la réalité.
Demain on rase gratis le pubis.
Je n'ai jamais bien compris que le monde existait avant moi. J'ai toujours des doutes malgré les images qui bougent.
La force de Demian, c'est qu'il n'a jamais peur de paraître idiot.
On aurait inventé la relativité sans Einstein, mais pas d'opéra de Mozart sans Mozart.
Ma voiture n'est jamais invitée à ma table.
Les pigeons font leurs nids autour des oeufs.
Les idées viennent des idées.
L'amour est un prétexte au sexe.
La sieste est l'art de demain, dans 24 heures quoi !
L'heure passe et la montre reste.
Quand les fruits font la grève ils pourrissent.
Dans une boîte d'allumettes elles sont innumérables.
Bayrou n'est plus que probable.
Le monument de la Pop n'était que du son.
Si tu entres en politique tu sors en déçu.
La droite est à la gauche de la gauche qui est à droite.
Il n'y a plus de Président disponible pour 2012.
La gauche n'est plus que gadget d'elle-même ou verroterie du souvenir.
Ségolène Royal est intermittente...
Besancenot est un poupon télévisuel et rengaineur.
L'absence est une pratique de l'esprit.
Ni début ni fin, juste l'esprit sans corps autour mais en-dessous.
Sur le Globe : Où commence le matin ? Où commence le serein ?
La Terre est plate comme les trottoirs dallés en mappemondes.
La vérité et l'avenir tombent comme le fruit mûr.
Quand on fait une erreur on le pressent, mais c'est une liberté d'errer.
Le plus difficile et aisé à la fois, est de parler simplement et vrai à la plus belle femme : Ne rien lui cacher.
Les journalistes mentent et les cinéastes disent la vérité.
L'angélisme de la gauche actuelle est un dispositif manipulateur.
Les journalistes mentent.
Pour attirer la Providence, sois d'arrivée un exemple de vertus.
Aide d'abord ceux qui sont à ta main, et ainsi du reste.
Demian aime les voix chaudes des doublages des films des années 50.
Moi on m'a toujours appris que les gens ne sont pas libres, quand je sais qu'ils le sont.
Les partis et les journaux meurent au XXIème siècle, quand l'art se transforme.
Tantôt nous prendrons l'avion pour les nues shakespeariennes.
Avec Deila, je repeins mon coeur en bleu.
Les Indes sont un pays trèstout littéraire.
Pour te protéger, sonde les coeurs et les intentions.
Désormais, les machines techno-scientifiques évoluent plus vite que les hommes.
Notre époque est un Moyen Âge techno-scientifique.
Deila est venue avec des lopins du futur dans son océan de calme certitude.
L'expérience dirait que croire en Dieu c'est croire un peu trop en soi.
La religion enferme comme elle libère.
Le papier glacé est chaud.
Va, vends ta voiture et marche !
Sans plus de crédit : Tous sont quasiment pauvres et moins frimeurs !
Les journaux informent d'une main, et de l'autre main, ils jettent de l'huile sur le feu.
Demian West
Friday, February 20, 2009
Aphorismes de Demian West : 8
Les gens qui parlent tout seul ont commencé le Grand Travail.
Les jambes de Deila sont les deux colonnes du Monde des Dieux.
Demian ne communique pas avec le langage, il communique avec la poésie.
Monsieur et Madame Tarentino ont un fils : Dum-dum dit le silencieux.
Le silence c'est le gars qui dort sur ses deux oreilles.
♥ D ♥ E ♥ I ♥ L ♥ A ♥.
Demian sait des bienfêteurs et des malfêteurs.
On avait oublié que la Joconde était un tableau.
Tout est dans la tête comme un garage plein en débord.
Quand on voit une explosion au cinéma, il y a beaucoup de boulot derrière.
Cettui qui fait des fautes d'orthographe ne les voit pas.
Une seule femme peut embraser tout l'univers obscur et glacial.
Dans les siècles futurs, on se demandera si une femme comme Grace Kelly a vraiment existé.
L'amour de votre vie envahit tout l'espace même au-dedans de vous, c'est la complétude et la volupté.
La forme du nom secret de Deila c'est : "Destin Océanique".
Le silicone est un sein assez silencieux.
Le silence est la septième lance.
Pour bien entamer une seconde vie, il faut tout oublier de la première...
Une vie c'est juste le temps qu'il faut pour savoir où on a été jeté par hasard.
La plus sûre manifestation de l'amour c'est le rire.
Tu peux connaître assez de l'univers entier en étudiant un seul livre.
Quand tu es mort, tu étais et on ne sait pas si tu es encore...
Demian va composer un long poème épique dans lequel il va décrire tous les êtres invisibles.
Ungeheuer Landskippe, Ungeheuer Schiksal !
Kriminal PoliZeit !
Le téléphone portable et l'ordi sont d'ores et déjà des prothèses de l'homme nouveau.
La politique c'est la foi alliée à l'avidité.
Le métro prend ses otages tous les matins.
Les plus grands hommes meurent les uns après les autres.
Les vieux sages gagnent la faculté de pouvoir décider du maître-instant quand ils quittent le monde.
Si pendant dix ans tu as pris la coutume de ne jamais mentir, tout ce que tu annonceras se réalisera.
Régulièrement, je goûte un mot rare comme un chocolat qui reste éternellement dans la bouche de l'esprit.
Les mots sont l'eau qui met en plant et fait pousser l'âme jamais vue.
Les mots sont les armes les plus camouflées et traversantes.
Demian joue avec les mots qu'il connaît bien dans beaucoup de langues anciennes et modernes.
Deila aime les perruques, les perruches, et les perroquets de toutes les couleurs comme Demy le tiercelet.
Th' Aethelen Knights.
Quand j'étais petit on appelait le recyclage un redoublement.
Au cinéma tout est possible grâce à l'art numériche.
Mick Jagger dans un remake de "La nuit du chasseur".
La guitare de Hendrix était assez émotive comme fille.
Quand Demian voit Deila, il est comme l'enfant devant la première neige et le ciel plein de merveilles dansantes.
Il se trompe d'abord, cettui qui trompe l'autre parce qu'il a peur d'être trompé.
En art, les grandes masses bien-distribuées font le Grand Oeuvre, tout pareil à la complexion des esprits simples et beaux.
Si ça se trouve, on pense avec l'estomac ou peut-être plus infra encore...
Il y a des mots intelligents et des mots mécaniques.
Les soucoupes volantes matraquent !
Après une vie sexuelle bien remplie, on aime bien faire la sieste pareille.
Parfois, on est obligé de faire l'amour avant de se marier.
Dilapider tout l'héritage c'est aussi un peu s'éclater !
Why make Ye it so qwaynt, Demy ?
Demian , Hee blowes seeds ov the timeMachine...
Highway to mail !
Le divin Raphaël avait sa Fornarina, Léonardo avait son Isabella d'Este, Dante avait sa Béatrice et Demian est à sa Deila.
Socrate avait sa Diotime, Hölderlin avait sa Diotima, Goethe avait sa Marguerite, Voltaire avait sa Marquise du Châtelet, et Demy est à sa Deila.
Aragon avait son Elsa, Dali avait sa Gala, et Demian est à sa Deila.
C'est un achèvement de l'Art d'assister à la naissance d'une nova Garbo en star mondifiée : Deila.
L'amour offre et assure le rêve éveillé aux amants.
Le nom de Venise vient de Vénus.
Il vaut mieux réussir à Paris, car c'est encore plus dur de se vautrer.
Demian fait son coming out : il n'est pas homosexuel et il présente ses excuses à la famille Sexuelle.
A la télé, dans la Presse, et dans la Politique c'est comme au bureau : On voit toujours les mêmes têtes et depuis 30 ans.
Le pouvoir de l'acteur c'est la monstration du monde dévoilé par la secrète magie très-antique.
Le misanthrope préfère les femmes.
Il faut apprendre à s'aimer, car ça rend moins égoïste.
Pour supporter la promiscuité aux heures de pointe dans le métro, il faut qu'il y ait quelque avantage au centre ville.
La Politique englue, l'Art déglue.
Quand tu les écoutes, les mots se placent d'eux-mêmes autour le milieu serein de la phrase.
Quand tu te réveilles, l'endemain fuit déjà.
Le semblable s'attire et le différent se choque.
Là où il n'y a rien, il y a de la place par-là-même.
La Politique et la Misère sont les parfaits tue-l'amour !
Les yeux, les dents, les perles : La carnation, la nacre.
Quand tu embrasses les cheveux de l'aimée, c'est comme si tu embrassais les dix mille dendrites de sa pensée assez secrète.
Laisse l'air circuler autour la personne que tu aimes : C'est fragrant et favorable !
Si tu sais te faire un ami du meilleur livre, tu ne seras plus jamais seul.
Si tu goûtes l'amour qui flue dans l'air entre-les-choses, tu n'en manqueras jamais.
Le seul cadeau ou preuve d'amour qui vaille, c'est affranchir des angoisses, des grièvetés et des accidents de la vie.
Hier à Paris, j'ai oint Deila de rivières de perles de culture barocco qui se sont animées à vivre par la lumière de son buste et ses yeux-perles-mêmes.
Demian à Deila : C'est grand prodige comme ton amour me verse dans la réalité comme dans l'irréel, simultanément.
Demian à Deila : Je me souviens de nos premiers instants d'amour, et c'est la grande vague de bonheur qui revient inchangée.
La Saint Valentin est une date arrogante et cruelle pour ceux et celles qui sont seuls.
Pour que l'amour dure, il doit toujours être en débord de signes et de preuves.
Demian West
Les jambes de Deila sont les deux colonnes du Monde des Dieux.
Demian ne communique pas avec le langage, il communique avec la poésie.
Monsieur et Madame Tarentino ont un fils : Dum-dum dit le silencieux.
Le silence c'est le gars qui dort sur ses deux oreilles.
♥ D ♥ E ♥ I ♥ L ♥ A ♥.
Demian sait des bienfêteurs et des malfêteurs.
On avait oublié que la Joconde était un tableau.
Tout est dans la tête comme un garage plein en débord.
Quand on voit une explosion au cinéma, il y a beaucoup de boulot derrière.
Cettui qui fait des fautes d'orthographe ne les voit pas.
Une seule femme peut embraser tout l'univers obscur et glacial.
Dans les siècles futurs, on se demandera si une femme comme Grace Kelly a vraiment existé.
L'amour de votre vie envahit tout l'espace même au-dedans de vous, c'est la complétude et la volupté.
La forme du nom secret de Deila c'est : "Destin Océanique".
Le silicone est un sein assez silencieux.
Le silence est la septième lance.
Pour bien entamer une seconde vie, il faut tout oublier de la première...
Une vie c'est juste le temps qu'il faut pour savoir où on a été jeté par hasard.
La plus sûre manifestation de l'amour c'est le rire.
Tu peux connaître assez de l'univers entier en étudiant un seul livre.
Quand tu es mort, tu étais et on ne sait pas si tu es encore...
Demian va composer un long poème épique dans lequel il va décrire tous les êtres invisibles.
Ungeheuer Landskippe, Ungeheuer Schiksal !
Kriminal PoliZeit !
Le téléphone portable et l'ordi sont d'ores et déjà des prothèses de l'homme nouveau.
La politique c'est la foi alliée à l'avidité.
Le métro prend ses otages tous les matins.
Les plus grands hommes meurent les uns après les autres.
Les vieux sages gagnent la faculté de pouvoir décider du maître-instant quand ils quittent le monde.
Si pendant dix ans tu as pris la coutume de ne jamais mentir, tout ce que tu annonceras se réalisera.
Régulièrement, je goûte un mot rare comme un chocolat qui reste éternellement dans la bouche de l'esprit.
Les mots sont l'eau qui met en plant et fait pousser l'âme jamais vue.
Les mots sont les armes les plus camouflées et traversantes.
Demian joue avec les mots qu'il connaît bien dans beaucoup de langues anciennes et modernes.
Deila aime les perruques, les perruches, et les perroquets de toutes les couleurs comme Demy le tiercelet.
Th' Aethelen Knights.
Quand j'étais petit on appelait le recyclage un redoublement.
Au cinéma tout est possible grâce à l'art numériche.
Mick Jagger dans un remake de "La nuit du chasseur".
La guitare de Hendrix était assez émotive comme fille.
Quand Demian voit Deila, il est comme l'enfant devant la première neige et le ciel plein de merveilles dansantes.
Il se trompe d'abord, cettui qui trompe l'autre parce qu'il a peur d'être trompé.
En art, les grandes masses bien-distribuées font le Grand Oeuvre, tout pareil à la complexion des esprits simples et beaux.
Si ça se trouve, on pense avec l'estomac ou peut-être plus infra encore...
Il y a des mots intelligents et des mots mécaniques.
Les soucoupes volantes matraquent !
Après une vie sexuelle bien remplie, on aime bien faire la sieste pareille.
Parfois, on est obligé de faire l'amour avant de se marier.
Dilapider tout l'héritage c'est aussi un peu s'éclater !
Why make Ye it so qwaynt, Demy ?
Demian , Hee blowes seeds ov the timeMachine...
Highway to mail !
Le divin Raphaël avait sa Fornarina, Léonardo avait son Isabella d'Este, Dante avait sa Béatrice et Demian est à sa Deila.
Socrate avait sa Diotime, Hölderlin avait sa Diotima, Goethe avait sa Marguerite, Voltaire avait sa Marquise du Châtelet, et Demy est à sa Deila.
Aragon avait son Elsa, Dali avait sa Gala, et Demian est à sa Deila.
C'est un achèvement de l'Art d'assister à la naissance d'une nova Garbo en star mondifiée : Deila.
L'amour offre et assure le rêve éveillé aux amants.
Le nom de Venise vient de Vénus.
Il vaut mieux réussir à Paris, car c'est encore plus dur de se vautrer.
Demian fait son coming out : il n'est pas homosexuel et il présente ses excuses à la famille Sexuelle.
A la télé, dans la Presse, et dans la Politique c'est comme au bureau : On voit toujours les mêmes têtes et depuis 30 ans.
Le pouvoir de l'acteur c'est la monstration du monde dévoilé par la secrète magie très-antique.
Le misanthrope préfère les femmes.
Il faut apprendre à s'aimer, car ça rend moins égoïste.
Pour supporter la promiscuité aux heures de pointe dans le métro, il faut qu'il y ait quelque avantage au centre ville.
La Politique englue, l'Art déglue.
Quand tu les écoutes, les mots se placent d'eux-mêmes autour le milieu serein de la phrase.
Quand tu te réveilles, l'endemain fuit déjà.
Le semblable s'attire et le différent se choque.
Là où il n'y a rien, il y a de la place par-là-même.
La Politique et la Misère sont les parfaits tue-l'amour !
Les yeux, les dents, les perles : La carnation, la nacre.
Quand tu embrasses les cheveux de l'aimée, c'est comme si tu embrassais les dix mille dendrites de sa pensée assez secrète.
Laisse l'air circuler autour la personne que tu aimes : C'est fragrant et favorable !
Si tu sais te faire un ami du meilleur livre, tu ne seras plus jamais seul.
Si tu goûtes l'amour qui flue dans l'air entre-les-choses, tu n'en manqueras jamais.
Le seul cadeau ou preuve d'amour qui vaille, c'est affranchir des angoisses, des grièvetés et des accidents de la vie.
Hier à Paris, j'ai oint Deila de rivières de perles de culture barocco qui se sont animées à vivre par la lumière de son buste et ses yeux-perles-mêmes.
Demian à Deila : C'est grand prodige comme ton amour me verse dans la réalité comme dans l'irréel, simultanément.
Demian à Deila : Je me souviens de nos premiers instants d'amour, et c'est la grande vague de bonheur qui revient inchangée.
La Saint Valentin est une date arrogante et cruelle pour ceux et celles qui sont seuls.
Pour que l'amour dure, il doit toujours être en débord de signes et de preuves.
Demian West
Wednesday, February 11, 2009
Aphorismes de Demian West : 7
La révolution est le nom romantisé de la guerre civile.
Quand je vois une grande actrice ciné-théâtrale, je vois une petite fille qui joue à la poupée.
Les grandes phrases historiques ne sont vouées qu'à illustrer des événements.
Tu parles toujours à un petit cercle.
Quand tu as peint un beau tableau, tu penses qu'il n'est pas de toi.
Je ne joue jamais au loto, car je laisse la fortune hypothétique aux autres.
Il faut considérer l'écriture pour ce qu'elle n'est pas : illisible.
Aujourd'hui, tout le monde est journaliste quand les journalistes ne sont plus tout le monde.
"Entraînement sexuel sur Nintendo TDS !"
L'écriture est un bon indice de progression, car tu trouves toujours nul ce que tu as écrit hier.
Un autiste est un surdoué mal vu.
Les uns vont à l'hôpital pour renaître, les autres pour mourir.
Au tribunal ou à l'université, c'est le triomphe des grands escaliers qui t'impressionnent à escient.
Apprenez l'anglais en 3 jours et 3 mots !
Il est mort dans son lit dans des circonstances étranges...
"Le gouvernement restreint c'est moi !"
Le Peuple élit celui qu'il veut subir.
La grève éloigne les touristes de la plage.
Le jour qu'on t'entarte, tu peux vraiment prétendre être célèbre et célébré.
Demian West
Quand je vois une grande actrice ciné-théâtrale, je vois une petite fille qui joue à la poupée.
Les grandes phrases historiques ne sont vouées qu'à illustrer des événements.
Tu parles toujours à un petit cercle.
Quand tu as peint un beau tableau, tu penses qu'il n'est pas de toi.
Je ne joue jamais au loto, car je laisse la fortune hypothétique aux autres.
Il faut considérer l'écriture pour ce qu'elle n'est pas : illisible.
Aujourd'hui, tout le monde est journaliste quand les journalistes ne sont plus tout le monde.
"Entraînement sexuel sur Nintendo TDS !"
L'écriture est un bon indice de progression, car tu trouves toujours nul ce que tu as écrit hier.
Un autiste est un surdoué mal vu.
Les uns vont à l'hôpital pour renaître, les autres pour mourir.
Au tribunal ou à l'université, c'est le triomphe des grands escaliers qui t'impressionnent à escient.
Apprenez l'anglais en 3 jours et 3 mots !
Il est mort dans son lit dans des circonstances étranges...
"Le gouvernement restreint c'est moi !"
Le Peuple élit celui qu'il veut subir.
La grève éloigne les touristes de la plage.
Le jour qu'on t'entarte, tu peux vraiment prétendre être célèbre et célébré.
Demian West
Aphorismes de Demian West : 6
Si les journaux disaient la vérité, il parleraient plus souvent de sexe.
J'ai 3 cerveaux : Un dans la tête, l'autre au coeur, et le tierce sous la ceinture, et ils font de grands débats et devis d'ensemble.
L'introspection ignore la reconnaissance.
Nous avons chacun un corps mais avec plusieurs têtes.
J'aurais tellement voulu m'appeler Télévision !
Les crises sont des périodes propices toujours d'inventions.
Désormais le problème est : Qu'allez-vous faire de tout cet argent ?
L'actrice peut jouer un homme et l'acteur peut jouer une femme.
Quand tu regardes comme il convient le cheval, tu es le cheval...pareil pour le chat.
La vraie et grande paix c'est quand tu es sûr de la personne que tu aimes.
Dès lors que tu t'exprimes, tu dis immanquablement ce que tu voulais cacher.
La plus grande activité de la pensée est de cacher ce que les sentiments et les actes dévoilent paraventure.
Je me moque de ce qu'on pense de moi, tout simplement parce que ce n'est pas moi.
Les cimetières sont remplis de gens que la honte n'a pas tués.
C'est la coutume qui rend les illusions cohérentes et parlantes.
La tempête défoule et libère les très-antiques peurs de l'enfance à l'intact.
Les extraterrestres ont surgi des romans.
Observe les signes !
Quand la règle du jeu est conçue pour que tu ne gagnes jamais, quitte le jeu.
Les coupables sont innocents des crimes qu'ils n'ont pas commis.
Comme nos âmes et sentiments, le ciel change sans laisser.
Les oeuvres aiment être contemplées à reprises.
J'ai 3 cerveaux : Un dans la tête, l'autre au coeur, et le tierce sous la ceinture, et ils font de grands débats et devis d'ensemble.
L'introspection ignore la reconnaissance.
Nous avons chacun un corps mais avec plusieurs têtes.
J'aurais tellement voulu m'appeler Télévision !
Les crises sont des périodes propices toujours d'inventions.
Désormais le problème est : Qu'allez-vous faire de tout cet argent ?
L'actrice peut jouer un homme et l'acteur peut jouer une femme.
Quand tu regardes comme il convient le cheval, tu es le cheval...pareil pour le chat.
La vraie et grande paix c'est quand tu es sûr de la personne que tu aimes.
Dès lors que tu t'exprimes, tu dis immanquablement ce que tu voulais cacher.
La plus grande activité de la pensée est de cacher ce que les sentiments et les actes dévoilent paraventure.
Je me moque de ce qu'on pense de moi, tout simplement parce que ce n'est pas moi.
Les cimetières sont remplis de gens que la honte n'a pas tués.
C'est la coutume qui rend les illusions cohérentes et parlantes.
La tempête défoule et libère les très-antiques peurs de l'enfance à l'intact.
Les extraterrestres ont surgi des romans.
Observe les signes !
Quand la règle du jeu est conçue pour que tu ne gagnes jamais, quitte le jeu.
Les coupables sont innocents des crimes qu'ils n'ont pas commis.
Comme nos âmes et sentiments, le ciel change sans laisser.
Les oeuvres aiment être contemplées à reprises.
Monday, February 09, 2009
Aphorismes de Demian West : 5
La religion a construit des fusées pour aller sur la Lune.
Croissez et multipliez et froissez et pliez des petits papiers.
Quand on te pose le flingue sur la table, c'est qu'on te suggère de partir par la petite porte du trou de balle.
Le monde des enfants est cruel, car la Justice n'y a pas cours.
On ne trouve plus le bolchévisme dans les brochures de voyages.
Pour survivre dans les grands appartements de Napoléon III au Louvre, il fallait être bon acteur et granditeux.
Les conformistes confondent les changements et transformations avec leur mort.
Si tu crains l'amour, tu fuiras la personne que tu aimes.
Parfois on agresse pour créer un climat d'affect résolutoire.
J'ai déjà sorti trois romans par le vide-ordures.
"J'ai beaucoup d'influence dans ma ferme."
La fleur au bout du cunni !
On colorise les vieux films pour qu'on y lise mieux les drapeaux.
Le malentendu est l'adversaire des gens qui s'entr'aiment.
Les politiciens nous offriraient tout, hormis le pouvoir.
J'ai daté mes parents au carbone 14.
Molière serait mort en scène, et l'homme du public serait mort dans la salle.
Quand je suis couché, je regarde le plafond ou le ciel.
Le théâtre de la cruauté d'Artaud voulut détrancher l'acteur en deux pour qu'il mourût deux fois...
L'actrice joue infiniment la femme aux mille visages.
L'acteur est prodigieux quand il se sait jouer la prédestination de ses rôles.
L'acteur ne laisse pas de jouer, dans le silence des coulisses en partement.
Comme le félon, le pur n'ose plus se regarder dans le miroir, mais parce qu'il se sent trop étranger dans ce monde corrompu.
En France, le Parti Centriste n'a plus de centre.
Les journaux sont pleins de faux-bonds.
Les vrais secrets...on ne les connaîtra jamais, ils nous ignorent.
Les mecs avides de pouvoir ont des dents pour sourire, te manger et pour mordre la poussière.
Le manuscrit lavable en machine.
Le chemin de terre et de part et d'autre, le pré et la forêt.
Dans les vieux films on fume.
Les animaux terrestres ont quatre pattes pour marcher vers les quatre points cardinaux.
Notre temps de vie est notre bien le plus précieux, puisque nous le dépensons en totalité.
L'avidité est la chicane, la ravine puis la ruine de la personne et des sociétés.
Ce qui nous attire dans la femme c'est l'empire qu'elle a sur nous.
Quand tu attaques un ange, t'as plus aucun endroit pour te cacher...
Pour ajouter une branche à l'arbre des arts, en préalable il te faut monter tout l'arbre.
Apprends déjà à bien-lisser un mur et le peindre en blanc pour l'effacer.
La religion a été inventée par Dieu, et pour le servir.
Les racines des arbres soulèvent et craquent le bitume.
Albert Camus s'est étrangement crashé en bagnole sur une droite en plein soleil et sans raison.
Il est des très-anciens rois mérovingiens quasiment inconnus.
La pulsion de l'écrivain est d'ajouter une phrase après une phrase et son point final.
Aujourd'hui, pour changer le pays par la politique, il faut d'abord changer la politique par le pays.
Demian se pose souvent la question de savoir s'il irait jusqu'à aimer l'amant de sa femme. Et oui ! puisque c'est Demian lui-même.
La force d'une parole vraie dépasse tous ceux qui l'entendent.
Demian West
Croissez et multipliez et froissez et pliez des petits papiers.
Quand on te pose le flingue sur la table, c'est qu'on te suggère de partir par la petite porte du trou de balle.
Le monde des enfants est cruel, car la Justice n'y a pas cours.
On ne trouve plus le bolchévisme dans les brochures de voyages.
Pour survivre dans les grands appartements de Napoléon III au Louvre, il fallait être bon acteur et granditeux.
Les conformistes confondent les changements et transformations avec leur mort.
Si tu crains l'amour, tu fuiras la personne que tu aimes.
Parfois on agresse pour créer un climat d'affect résolutoire.
J'ai déjà sorti trois romans par le vide-ordures.
"J'ai beaucoup d'influence dans ma ferme."
La fleur au bout du cunni !
On colorise les vieux films pour qu'on y lise mieux les drapeaux.
Le malentendu est l'adversaire des gens qui s'entr'aiment.
Les politiciens nous offriraient tout, hormis le pouvoir.
J'ai daté mes parents au carbone 14.
Molière serait mort en scène, et l'homme du public serait mort dans la salle.
Quand je suis couché, je regarde le plafond ou le ciel.
Le théâtre de la cruauté d'Artaud voulut détrancher l'acteur en deux pour qu'il mourût deux fois...
L'actrice joue infiniment la femme aux mille visages.
L'acteur est prodigieux quand il se sait jouer la prédestination de ses rôles.
L'acteur ne laisse pas de jouer, dans le silence des coulisses en partement.
Comme le félon, le pur n'ose plus se regarder dans le miroir, mais parce qu'il se sent trop étranger dans ce monde corrompu.
En France, le Parti Centriste n'a plus de centre.
Les journaux sont pleins de faux-bonds.
Les vrais secrets...on ne les connaîtra jamais, ils nous ignorent.
Les mecs avides de pouvoir ont des dents pour sourire, te manger et pour mordre la poussière.
Le manuscrit lavable en machine.
Le chemin de terre et de part et d'autre, le pré et la forêt.
Dans les vieux films on fume.
Les animaux terrestres ont quatre pattes pour marcher vers les quatre points cardinaux.
Notre temps de vie est notre bien le plus précieux, puisque nous le dépensons en totalité.
L'avidité est la chicane, la ravine puis la ruine de la personne et des sociétés.
Ce qui nous attire dans la femme c'est l'empire qu'elle a sur nous.
Quand tu attaques un ange, t'as plus aucun endroit pour te cacher...
Pour ajouter une branche à l'arbre des arts, en préalable il te faut monter tout l'arbre.
Apprends déjà à bien-lisser un mur et le peindre en blanc pour l'effacer.
La religion a été inventée par Dieu, et pour le servir.
Les racines des arbres soulèvent et craquent le bitume.
Albert Camus s'est étrangement crashé en bagnole sur une droite en plein soleil et sans raison.
Il est des très-anciens rois mérovingiens quasiment inconnus.
La pulsion de l'écrivain est d'ajouter une phrase après une phrase et son point final.
Aujourd'hui, pour changer le pays par la politique, il faut d'abord changer la politique par le pays.
Demian se pose souvent la question de savoir s'il irait jusqu'à aimer l'amant de sa femme. Et oui ! puisque c'est Demian lui-même.
La force d'une parole vraie dépasse tous ceux qui l'entendent.
Demian West
Saturday, February 07, 2009
Aphorismes de Demian West : 4
Quand les femmes commencent à paniquer : C'est mauvais signe pour la tête de l'Etat.
Les gens de gauche me censurent trop...
Moi, y a que ma copine qui m'intéresse, et la littérature.
Tantôt, tout le monde aura son quart-d'heure de victimisation à la télé.
Aujourd'hui, t'as au moins 5000 lecteurs quand tu publies ta liste de tes courses en caddie au Leroy-Auchan du coin.
"La copie de ton album sur internet ! "
La télé c'est comme les zones commerciales, c'est des endroits pour se paumer.
Désormais, les émissions politiques s'adressent aux militants.
Entre les artistes, c'est une compétition plus impitoyablement jalouse que dans la vie des gens.
Les carnations mangent toutes les toiles des peintres ou des actrices.
A la surface des vieux bronzes, on peut y caresser de vieux coups d'épées.
Demain je vais dormir emmi mes fleurs.
C'est quand la pelote des actions s'est vidée et démêlée que tu comprends les pleins propos du sage assez fou.
Le Maister des Maisters est probablement l'homme le plus obscurci du monde dont même sa femme et ses enfants l'ignorent.
A toutes les critiques de moi-même s'ajoute la mienne, si que je me cache...
L'après-vie c'était mieux avant...
La femme a une bouche et une infra-bouche r'affolées de baisements déhontés.
L'échec libère et la victoire englue.
Les couleurs de l'aura ou du nimbe mandorle sont des sentiments que chacun perçoit aisément dans le coeur de l'air.
Après le bling-bling le billig-billig !
La blogosphère est une planète spirituelle en orbite ou simultanée à la Terre, c'est l'astral qui descend des nues sur nous.
Je suis l'homme qui a vu le hallebardier qui a vu le méchant gentilhomme.
Soit tu dors ! soit tu détranches les pensées avant qu'elles naissent.
Les anges du Paradis étaient si nombreux qu'ils se sont goinfrés le dernier arbre.
La structure hiérarchique télévisuelle est manifestement féodale et diffusée telle quelle.
La structure hiérarchique télévisuelle est manifestement féodale et diffusée telle quelle.
L'état amoureux neutralise des royaumes entiers de la mémoire et la sensation de faim.
Se rebeller c'est monter aux étages inférieurs et descendre aux étages supérieurs.
Les cybernéticiens sont aussi des voyageurs de commerce promptes à nous cyberner.
Les photos et les films en noir & blanc reposent les yeux.
Le dessinateur Silhouette a-t-il connu le préfet Poubelle ?
Pour maigrir, il faut accepter en préalable de perdre un peu de soi-même.
Si tu dis à quelqu'un les erreurs qu'il commet, aussitôt il y plonge plus encore par souci de liberté.
Débattre avec soi-même c'est disposer avec clarté de ses propres idées.
Pour parfournir la tartine, il faut inventer et le pain et la confiture.
Demian West
Les gens de gauche me censurent trop...
Moi, y a que ma copine qui m'intéresse, et la littérature.
Tantôt, tout le monde aura son quart-d'heure de victimisation à la télé.
Aujourd'hui, t'as au moins 5000 lecteurs quand tu publies ta liste de tes courses en caddie au Leroy-Auchan du coin.
"La copie de ton album sur internet ! "
La télé c'est comme les zones commerciales, c'est des endroits pour se paumer.
Désormais, les émissions politiques s'adressent aux militants.
Entre les artistes, c'est une compétition plus impitoyablement jalouse que dans la vie des gens.
Les carnations mangent toutes les toiles des peintres ou des actrices.
A la surface des vieux bronzes, on peut y caresser de vieux coups d'épées.
Demain je vais dormir emmi mes fleurs.
C'est quand la pelote des actions s'est vidée et démêlée que tu comprends les pleins propos du sage assez fou.
Le Maister des Maisters est probablement l'homme le plus obscurci du monde dont même sa femme et ses enfants l'ignorent.
A toutes les critiques de moi-même s'ajoute la mienne, si que je me cache...
L'après-vie c'était mieux avant...
La femme a une bouche et une infra-bouche r'affolées de baisements déhontés.
L'échec libère et la victoire englue.
Les couleurs de l'aura ou du nimbe mandorle sont des sentiments que chacun perçoit aisément dans le coeur de l'air.
Après le bling-bling le billig-billig !
La blogosphère est une planète spirituelle en orbite ou simultanée à la Terre, c'est l'astral qui descend des nues sur nous.
Je suis l'homme qui a vu le hallebardier qui a vu le méchant gentilhomme.
Soit tu dors ! soit tu détranches les pensées avant qu'elles naissent.
Les anges du Paradis étaient si nombreux qu'ils se sont goinfrés le dernier arbre.
La structure hiérarchique télévisuelle est manifestement féodale et diffusée telle quelle.
La structure hiérarchique télévisuelle est manifestement féodale et diffusée telle quelle.
L'état amoureux neutralise des royaumes entiers de la mémoire et la sensation de faim.
Se rebeller c'est monter aux étages inférieurs et descendre aux étages supérieurs.
Les cybernéticiens sont aussi des voyageurs de commerce promptes à nous cyberner.
Les photos et les films en noir & blanc reposent les yeux.
Le dessinateur Silhouette a-t-il connu le préfet Poubelle ?
Pour maigrir, il faut accepter en préalable de perdre un peu de soi-même.
Si tu dis à quelqu'un les erreurs qu'il commet, aussitôt il y plonge plus encore par souci de liberté.
Débattre avec soi-même c'est disposer avec clarté de ses propres idées.
Pour parfournir la tartine, il faut inventer et le pain et la confiture.
Demian West
Friday, February 06, 2009
Aphorismes de Demian West : 3
104. Comment un homme peut-il gouverner toute une société !
103. A Babylone, l'astre du jour était la Lune parce que les gens vivaient la nuit en raison de la chaleur dessous le Soleil.
102. Le moteur à explosion a été inventé pendant la Révolution Française.
101. La boue et la gadoue résistent aux inventions de la voiture et des supraconducteurs.
100. Quand je serai mort, je ferai un don massif de mes organes prothétiques.
99. La redevance est le meilleur moyen pour te vendre des daubes qui n'ont pas encore été tournées.
98. Les animateurs d'émissions telly autour de minuit sont très amochés et envieillis le matin.
97. Quand tu es Président de la République, fais le moins et ne dis rien pour ne pas r'éveiller les critiques.
96. C'est une chance que les Juges ne rendent pas leurs décisions de Justice avant qu'ils aient pris leur petit déjeuner.
95. Ton voyant peut te dire la couleur de ta carte bleue.
94. L'art monte des fleuves qui coulent vers le haut.
93. Le réalisme et l'idéalisme sont des "ismes" tout pareils à l'alccolisme.
92. A la Saint Valentin j'aime tes seins amandins.
91. Les Universités cachées enseignent leur ménage crypté.
90. Un chapitre c'est un livre dedans le livre.
89. Quand la femme a peur de l'homme, l'ordre cosmique est rompu et tout devient désordre et chaos, maleplace et malechance.
88. Les femmes inouïes ont fait l'Histoire par le truchement des grands hommes.
87. Quand un homme te trahit, un autre homme te sauve.
86. La mort est l'angoisse d'elle-même, et l'amour est la joie de lui-même.
85. Souvent on confond la douleur d'autrui avec une colère contre nous, et c'est cause de malentendus définitifs.
Demian West
103. A Babylone, l'astre du jour était la Lune parce que les gens vivaient la nuit en raison de la chaleur dessous le Soleil.
102. Le moteur à explosion a été inventé pendant la Révolution Française.
101. La boue et la gadoue résistent aux inventions de la voiture et des supraconducteurs.
100. Quand je serai mort, je ferai un don massif de mes organes prothétiques.
99. La redevance est le meilleur moyen pour te vendre des daubes qui n'ont pas encore été tournées.
98. Les animateurs d'émissions telly autour de minuit sont très amochés et envieillis le matin.
97. Quand tu es Président de la République, fais le moins et ne dis rien pour ne pas r'éveiller les critiques.
96. C'est une chance que les Juges ne rendent pas leurs décisions de Justice avant qu'ils aient pris leur petit déjeuner.
95. Ton voyant peut te dire la couleur de ta carte bleue.
94. L'art monte des fleuves qui coulent vers le haut.
93. Le réalisme et l'idéalisme sont des "ismes" tout pareils à l'alccolisme.
92. A la Saint Valentin j'aime tes seins amandins.
91. Les Universités cachées enseignent leur ménage crypté.
90. Un chapitre c'est un livre dedans le livre.
89. Quand la femme a peur de l'homme, l'ordre cosmique est rompu et tout devient désordre et chaos, maleplace et malechance.
88. Les femmes inouïes ont fait l'Histoire par le truchement des grands hommes.
87. Quand un homme te trahit, un autre homme te sauve.
86. La mort est l'angoisse d'elle-même, et l'amour est la joie de lui-même.
85. Souvent on confond la douleur d'autrui avec une colère contre nous, et c'est cause de malentendus définitifs.
Demian West
Thursday, February 05, 2009
Aphorismes de Demian West : 2
84. Alexandre le Grand craignait les lièvres avant la bataille.
83. C'est grand vanité de courir après un aigle.
82. Entre le matin et le serein avant la nuit, la journée est une dernière folie.
81. Il est permis d'avoir honte de ses propos, une fois qu'on les a tenus.
80. Les décennies sont des illusions d'optique.
79. Le néant est chaud et contenté.
78. Le sexe est une pratique de l'Eternité dans le quotidien.
77. Vieillir c'est se préparer à la mort en tant qu'apaisement.
76. N'intervenez jamais dans la vie des autres, et laissez-les faire les erreurs qu'ils aiment.
75. L'inspiration est une expression de l'individu global et espacé à son environnement le plus lointain.
74. En art comme en amour, le choix est déjà création.
73. Tu es plus que tu es.
72. Pour être un bon jardinier, il faut savoir détrancher les pousses qui étouffent la rose au centre.
71. Le monde aima bien dire du Rock d'Elvis Presley ou de la République Islamique d'Iran qu'ils ne dureraient qu'une saison et courte.
70. C'est l'esprit en nous qui décide de ce qui est et de ce qui n'est pas.
69. Sur le net, on peut cacher son âge mais pas son inconscient.
68. Pour laquelle raison les types qui citent Montaigne ont-ils toujours des bureaux en bois exotiques et dorures ?
67. Il est d'étranges femmes convenues qui, voyageant dans le Monde entier, rapportent toujours une cravate à leur chéri.
66. Les cheveux blancs se voient plus aisément sur le costard gris ou la moquette colorée...
65. L'hygiène tend au génocide des bactéries, virus et animalcules.
64. Souventes fois, on est malheureux, parce qu'on veut changer de vie.
63. En amour, la dissimulation équivaut à la monstration tôt ou tard...
Demian West
83. C'est grand vanité de courir après un aigle.
82. Entre le matin et le serein avant la nuit, la journée est une dernière folie.
81. Il est permis d'avoir honte de ses propos, une fois qu'on les a tenus.
80. Les décennies sont des illusions d'optique.
79. Le néant est chaud et contenté.
78. Le sexe est une pratique de l'Eternité dans le quotidien.
77. Vieillir c'est se préparer à la mort en tant qu'apaisement.
76. N'intervenez jamais dans la vie des autres, et laissez-les faire les erreurs qu'ils aiment.
75. L'inspiration est une expression de l'individu global et espacé à son environnement le plus lointain.
74. En art comme en amour, le choix est déjà création.
73. Tu es plus que tu es.
72. Pour être un bon jardinier, il faut savoir détrancher les pousses qui étouffent la rose au centre.
71. Le monde aima bien dire du Rock d'Elvis Presley ou de la République Islamique d'Iran qu'ils ne dureraient qu'une saison et courte.
70. C'est l'esprit en nous qui décide de ce qui est et de ce qui n'est pas.
69. Sur le net, on peut cacher son âge mais pas son inconscient.
68. Pour laquelle raison les types qui citent Montaigne ont-ils toujours des bureaux en bois exotiques et dorures ?
67. Il est d'étranges femmes convenues qui, voyageant dans le Monde entier, rapportent toujours une cravate à leur chéri.
66. Les cheveux blancs se voient plus aisément sur le costard gris ou la moquette colorée...
65. L'hygiène tend au génocide des bactéries, virus et animalcules.
64. Souventes fois, on est malheureux, parce qu'on veut changer de vie.
63. En amour, la dissimulation équivaut à la monstration tôt ou tard...
Demian West
Wednesday, February 04, 2009
Aphorismes de Demian West : 1
62. Poste le portrait de ton Patron dessus ton bureau, pour bien voir où va ton temps et ta vie...
61. Profite de tes voyages dans le métro, pour méditer sur ta vie sans but.
60. La boîte aux lettres est la ravine du pauvre.
59. Si tu vis uniquement la nuit pour t'escacher, les factures te r'attrapent quand même.
58. Lol ita est.
57. On a retrouvé l'ADN du Père Noël sur un cadeau en décomposition.
56. Il faut mettre toute sa science à ne jamais rompre le Grand Lien.
55. Etre déçu, ce n'est que retourner violemment à un état antérieur.
54. La Presse n'a plus de pouvoir, elle s'est dissoute dans son lectorat.
53. Demian aimait bien la pointe souplesse des plumes sergent-major.
52. Bientôt écrire sera aussi banal et creux que commenter sur le net.
51. Quand on a les moyens, l'espace s'ouvre...
50. Demian voudrait donner le visage de Deila à quelques portraits de femmes éminentes au Louvre...Qui doit-il convaincre ?
49. Demian voudrait dormir avec Deila dans le lit de Louis XVIII au Louvre...Qui doit-il corrompre ?
48. Demian est comme la perle dans l'huître chez lui.
47. Demian orfévrit des évanouissements poétiques à Deila.
46. L'actance c'est un truc de l'actrice douce comme le lait.
45. Si on devait passer un permis avant de se marier, il y aurait moins d'accidents et de victimes féminines et moins de mariages aussi.
44. L'acteur joue devant la nuit, qui est la salle, le public, la libido, la mort, l'autre moitié du Monde.
43. Le seul intérêt collectiviste est la distraction.
42. Le crédit est une forme équivoque de handicap.
41. Qui dort dîne, et qui vote avale des couleuvres.
40. A la fin, les monarques et puissants sont en cherche d'immortalité, aussi tout vient à leur manquer.
39. Quand tu comprends que tes paroles nourrissent ton ennemi, tu cesses de l'alimenter...
38. Les mots gagnent les esprits par surprise et harmonie.
37. Pour la bonne gouvernaille de ta vie, il sied que ton centre commande à tes extrémités.
36. Quand l'esprit avance, c'est le paysage ou la rue qui bougent...
35. Quand tu penses tout le temps à quelqu'un c'est qu'il (elle) pense tout le temps à toi : C'est chimique !
34. Les films muets parlaient avec les yeux, tout comme les films parlants..
33. Demian ne répond jamais aux messages des groupes politiques sur Facebook, il les supprime avant même de les lire.
32. Dans la foule, quand le sage muet te regarde, tu es fier et r'assuré car enfin c'est te voir toi-même.
31. La vie est un théâtre. Oui mais l'entr'acte c'est quand ?
30. Improviser c'est nier jusqu'au bout qu'on est en train de jouer.
29. Demian aime les comédiens car ils montrent la vie comme elle est : pré-écrite selon un scénario imparable et génial.
28. L'Amour ne vieillit pas ni qu'il disparaît : Il se transforme.
27. Dans le métro dans la rue, les amoureux sont nimbés de l'éclat amoureux qui attire les personnes désenchantées.
26. Les dirigeants de droite comme de la gauche paient l'impôt sur la fortune : Cherchez l'erreur !
25. Le "no life" c'est le chaînon manquant de l'évolution future.
24. Si vos troubles de l'élection durent depuis plus de trois mois, parlez-en à votre médecin !
23. Bientôt l'Homme pourra aller sur Mars : Qu'il y reste !
22. "Tout condamné à mort aura la tête branchée".
21. Un honnête homme ne sort jamais sans son livre.
20 L'Homme est un loup pour la soupe populaire.
19. En fait, Ministre c'est juste un boulot. Rien de plus aujourd'hui...
18. Demian est l'air doux entre la soie et Deila.
17. On appelle "souris" l'espace compris entre le pouce et l'index.
16. Il faut ressusciter quand on est encore en vie, après c'est plus dur genre sioux !
15. Pour rire, faut pas toujours être drôle.
14. Pour être Président de la République, il faut commencer avant l'âge de trois ans.
13. Pour bien manger, il faut se constituer du temps.
12. Pour bien guérir, il faut menacer le médecin.
11. Pour bien lire, il faut avoir le bon livre.
10. Pour bien écrire il faut avoir un bon fauteuil.
9. Tout le monde a regardé l'investiture d'Obama comme on avait regardé l'homme marcher sur la Lune: deux spectacles qui ne changent rien dans le fond.
8. Demian est déçu par l'investiture de Obama, il n'a pas vu le ciel s'entrouvrir et les anges descendre...
7. Cettui qui évolue dans trois dimensions paraît un sage et un roi dans Flatland qui n'a que deux dimensions.
6. L'humour ajoute de l'espace et fait circuler l'air dans le presque visible.
5. Liberté - Egalité - Sensibilité.
4. Quand nous nous connectons, nous cherchons les petits coups d'adrénaline ou strokes qui stimulent et sont nécessaires au sentiment de vivre...
3. Les politiques sont là pour effacer ce que les génies ont conçu.
2. Etudiez l'histoire pour vous espacer dans le temps et vivre plus longtemps.
1. Le peintre se défoule sur la toile, voilà la vérité !
Demian West
61. Profite de tes voyages dans le métro, pour méditer sur ta vie sans but.
60. La boîte aux lettres est la ravine du pauvre.
59. Si tu vis uniquement la nuit pour t'escacher, les factures te r'attrapent quand même.
58. Lol ita est.
57. On a retrouvé l'ADN du Père Noël sur un cadeau en décomposition.
56. Il faut mettre toute sa science à ne jamais rompre le Grand Lien.
55. Etre déçu, ce n'est que retourner violemment à un état antérieur.
54. La Presse n'a plus de pouvoir, elle s'est dissoute dans son lectorat.
53. Demian aimait bien la pointe souplesse des plumes sergent-major.
52. Bientôt écrire sera aussi banal et creux que commenter sur le net.
51. Quand on a les moyens, l'espace s'ouvre...
50. Demian voudrait donner le visage de Deila à quelques portraits de femmes éminentes au Louvre...Qui doit-il convaincre ?
49. Demian voudrait dormir avec Deila dans le lit de Louis XVIII au Louvre...Qui doit-il corrompre ?
48. Demian est comme la perle dans l'huître chez lui.
47. Demian orfévrit des évanouissements poétiques à Deila.
46. L'actance c'est un truc de l'actrice douce comme le lait.
45. Si on devait passer un permis avant de se marier, il y aurait moins d'accidents et de victimes féminines et moins de mariages aussi.
44. L'acteur joue devant la nuit, qui est la salle, le public, la libido, la mort, l'autre moitié du Monde.
43. Le seul intérêt collectiviste est la distraction.
42. Le crédit est une forme équivoque de handicap.
41. Qui dort dîne, et qui vote avale des couleuvres.
40. A la fin, les monarques et puissants sont en cherche d'immortalité, aussi tout vient à leur manquer.
39. Quand tu comprends que tes paroles nourrissent ton ennemi, tu cesses de l'alimenter...
38. Les mots gagnent les esprits par surprise et harmonie.
37. Pour la bonne gouvernaille de ta vie, il sied que ton centre commande à tes extrémités.
36. Quand l'esprit avance, c'est le paysage ou la rue qui bougent...
35. Quand tu penses tout le temps à quelqu'un c'est qu'il (elle) pense tout le temps à toi : C'est chimique !
34. Les films muets parlaient avec les yeux, tout comme les films parlants..
33. Demian ne répond jamais aux messages des groupes politiques sur Facebook, il les supprime avant même de les lire.
32. Dans la foule, quand le sage muet te regarde, tu es fier et r'assuré car enfin c'est te voir toi-même.
31. La vie est un théâtre. Oui mais l'entr'acte c'est quand ?
30. Improviser c'est nier jusqu'au bout qu'on est en train de jouer.
29. Demian aime les comédiens car ils montrent la vie comme elle est : pré-écrite selon un scénario imparable et génial.
28. L'Amour ne vieillit pas ni qu'il disparaît : Il se transforme.
27. Dans le métro dans la rue, les amoureux sont nimbés de l'éclat amoureux qui attire les personnes désenchantées.
26. Les dirigeants de droite comme de la gauche paient l'impôt sur la fortune : Cherchez l'erreur !
25. Le "no life" c'est le chaînon manquant de l'évolution future.
24. Si vos troubles de l'élection durent depuis plus de trois mois, parlez-en à votre médecin !
23. Bientôt l'Homme pourra aller sur Mars : Qu'il y reste !
22. "Tout condamné à mort aura la tête branchée".
21. Un honnête homme ne sort jamais sans son livre.
20 L'Homme est un loup pour la soupe populaire.
19. En fait, Ministre c'est juste un boulot. Rien de plus aujourd'hui...
18. Demian est l'air doux entre la soie et Deila.
17. On appelle "souris" l'espace compris entre le pouce et l'index.
16. Il faut ressusciter quand on est encore en vie, après c'est plus dur genre sioux !
15. Pour rire, faut pas toujours être drôle.
14. Pour être Président de la République, il faut commencer avant l'âge de trois ans.
13. Pour bien manger, il faut se constituer du temps.
12. Pour bien guérir, il faut menacer le médecin.
11. Pour bien lire, il faut avoir le bon livre.
10. Pour bien écrire il faut avoir un bon fauteuil.
9. Tout le monde a regardé l'investiture d'Obama comme on avait regardé l'homme marcher sur la Lune: deux spectacles qui ne changent rien dans le fond.
8. Demian est déçu par l'investiture de Obama, il n'a pas vu le ciel s'entrouvrir et les anges descendre...
7. Cettui qui évolue dans trois dimensions paraît un sage et un roi dans Flatland qui n'a que deux dimensions.
6. L'humour ajoute de l'espace et fait circuler l'air dans le presque visible.
5. Liberté - Egalité - Sensibilité.
4. Quand nous nous connectons, nous cherchons les petits coups d'adrénaline ou strokes qui stimulent et sont nécessaires au sentiment de vivre...
3. Les politiques sont là pour effacer ce que les génies ont conçu.
2. Etudiez l'histoire pour vous espacer dans le temps et vivre plus longtemps.
1. Le peintre se défoule sur la toile, voilà la vérité !
Demian West
Thursday, January 29, 2009
Manifestation de censeurs
Comme c'est la coutume les jours de manifs, Demy a manifesté mais pas où on l'attendait. Aujourd'hui le 29 janvier, je suis allé faire un tour sur la page Facebook de Pierre Moscovici du Parti Socialiste. Bien sûr, il s'est passé très peu de temps avant que j'ai lancé un commentaire qui se voulait dérangeant, comme une seconde nature qui est devenue ma nature entière. Il faut ajouter pour ma défense en manière de mauvaise foi, que tous les intervenants ne laissaient que des chiffres des manifestants à Perpignan, à Limoges ou encore à Paris mais vu du balcon.
C'était drôle de voir le socialisme réduit à cette posture d'observateur du défilé de lui-même où il n'était pas tant. J'ai tout de suite subi une volée de bois vert de la part des deux ou trois fanatiques des années 80 mitterrandiennes, comme un revival du rockabilly du pire mauvais goût. Quand je suis dans une telle quelle escarmouche des mots, je me sens en des aises trop espacées. Car c'est trop facile de faire mordre la poussière à ceux qui ne répètent que les antiennes de leur jeunesse, qu'ils ont apprises par coeur quand ils faisaient la grève de la pensée personnelle.
Je n'avais qu'à dérouler les errances du socialisme, qui a fait l'histoire des dernières années du XXème siècle. Elles pèsent lourd dans les mémoires traumatisées des nostalgiques de la grandeur de l'idéal chrétien du socialisme, c'est ainsi que je l'appelle, car j'aime la précision des contradictions. Entre des lancers de "con" ou d'autres termes voués à qualifier ma personne, qui osait tout de même exprimer une opinion inverse à la poussée des eaux dans la rue qui manifeste, j'eus quand même quelques beaux échanges avec des femmes réellement désespérées. Peut-être étaient-elles ces parents isolés avec un enfant, qui sont les personnes les plus vulnérables en France...
Bref ! les hommes m'ont injurié amplement, c'est-à-dire systématiquement. Et les femmes ont tenté de me séduire et de m'emporter dans leur camp certainement plus tendre et dialogueur. Il reste que ça donnait l'air d'une fichue pagaille, tout comme dans la manif en France, qui parlait plus en nombre qu'en revendication bien exprimée. C'est probablement la grande manif contre la crise, sans responsable puisque mondiale, et finalement contre le mal de vivre.
A la fin de la journée, je parvins quand même à faire dire à mon interlocutrice : Qu'elle avait choisi d'entre les socialistes "le moins pire" selon ses propres termes, elle parlait de Moscovici. Je rappelais qu'à l'inverse de Plenel l'autoritaire idéologue, Moscovici n'avait pas encore censuré sur sa page Facebook. Et aussitôt, c'est ce qu'il fit. Pour tomber dans le même piège que le moustachu gendarme Plenel. Moscovici m'a interdit l'accès à sa page Facebook, pour que le débat s'arrêtât-là.
Je suppose que Plenel craignait que je lui fasse perdre une part de sa clientèle d'abonnés pour son journal "Médiapart". Ce qui ne laisse pas augurer d'une charpente bien solide de sa boutique de Presse. Me donner tant d'importance ou à mon vopisque en me censurant si vitement, c'est dire son aveu public de grande faiblesse. Quant à Moscovici, il cédait à la même panique. Comme si j'étais le renard dans le pouillis socialiste de la ferme moscoviciste, et que j'avais dévoré tout du long de la journée des manifs toutes les poules de sa clientèle politique.
Et ce sont des personnes de cette eau-là qui englue, qui devraient gouverner et garantir nos libertés ? Quand ceux qui les défendent finissent par dire qu'ils n'ont pas trouvé mieux, et qu'ils s'en contentent... Et que nous obtenons pour toute réponse dans un débat sur un forum tout ce qu'il y a de plus normal : La fermeture de toutes les vitrines et les sacs de sable derrière lesquels les Plenel et Moscovici se cachent pour ne pas descendre dans le débat avec votre humble narrateur.
Manifestement, ils n'ont pas encore compris ce qu'est le net, qui n'est pas un outil de censure mais d'expression libérée. Car aucune censure ne peut parvenir à ses fins dans l'espace de ce médium. Tout ceci est explicitement indiciel que nous assistons à la fin d'un monde ou d'une culture française en déclin, certes : mais qu'il s'agit seulement du déclin de la culture des maîtres autoritaires loin du Peuple, qui ont peur dès lors qu'ils mettent un grand pied sur le net; pour en être boutés hors et par leurs propres recours à la censure, qui voudrait détrancher les idées adverses et ceux qui les expriment.
Ils ont peur de la lettre et de l'esprit, qui coulent toujours. Comme l'eau qui va sa pente naturelle et qu'elle sait user toutes les vieilles pierres les plus brutalement fixes et fermes.
Demian West
C'était drôle de voir le socialisme réduit à cette posture d'observateur du défilé de lui-même où il n'était pas tant. J'ai tout de suite subi une volée de bois vert de la part des deux ou trois fanatiques des années 80 mitterrandiennes, comme un revival du rockabilly du pire mauvais goût. Quand je suis dans une telle quelle escarmouche des mots, je me sens en des aises trop espacées. Car c'est trop facile de faire mordre la poussière à ceux qui ne répètent que les antiennes de leur jeunesse, qu'ils ont apprises par coeur quand ils faisaient la grève de la pensée personnelle.
Je n'avais qu'à dérouler les errances du socialisme, qui a fait l'histoire des dernières années du XXème siècle. Elles pèsent lourd dans les mémoires traumatisées des nostalgiques de la grandeur de l'idéal chrétien du socialisme, c'est ainsi que je l'appelle, car j'aime la précision des contradictions. Entre des lancers de "con" ou d'autres termes voués à qualifier ma personne, qui osait tout de même exprimer une opinion inverse à la poussée des eaux dans la rue qui manifeste, j'eus quand même quelques beaux échanges avec des femmes réellement désespérées. Peut-être étaient-elles ces parents isolés avec un enfant, qui sont les personnes les plus vulnérables en France...
Bref ! les hommes m'ont injurié amplement, c'est-à-dire systématiquement. Et les femmes ont tenté de me séduire et de m'emporter dans leur camp certainement plus tendre et dialogueur. Il reste que ça donnait l'air d'une fichue pagaille, tout comme dans la manif en France, qui parlait plus en nombre qu'en revendication bien exprimée. C'est probablement la grande manif contre la crise, sans responsable puisque mondiale, et finalement contre le mal de vivre.
A la fin de la journée, je parvins quand même à faire dire à mon interlocutrice : Qu'elle avait choisi d'entre les socialistes "le moins pire" selon ses propres termes, elle parlait de Moscovici. Je rappelais qu'à l'inverse de Plenel l'autoritaire idéologue, Moscovici n'avait pas encore censuré sur sa page Facebook. Et aussitôt, c'est ce qu'il fit. Pour tomber dans le même piège que le moustachu gendarme Plenel. Moscovici m'a interdit l'accès à sa page Facebook, pour que le débat s'arrêtât-là.
Je suppose que Plenel craignait que je lui fasse perdre une part de sa clientèle d'abonnés pour son journal "Médiapart". Ce qui ne laisse pas augurer d'une charpente bien solide de sa boutique de Presse. Me donner tant d'importance ou à mon vopisque en me censurant si vitement, c'est dire son aveu public de grande faiblesse. Quant à Moscovici, il cédait à la même panique. Comme si j'étais le renard dans le pouillis socialiste de la ferme moscoviciste, et que j'avais dévoré tout du long de la journée des manifs toutes les poules de sa clientèle politique.
Et ce sont des personnes de cette eau-là qui englue, qui devraient gouverner et garantir nos libertés ? Quand ceux qui les défendent finissent par dire qu'ils n'ont pas trouvé mieux, et qu'ils s'en contentent... Et que nous obtenons pour toute réponse dans un débat sur un forum tout ce qu'il y a de plus normal : La fermeture de toutes les vitrines et les sacs de sable derrière lesquels les Plenel et Moscovici se cachent pour ne pas descendre dans le débat avec votre humble narrateur.
Manifestement, ils n'ont pas encore compris ce qu'est le net, qui n'est pas un outil de censure mais d'expression libérée. Car aucune censure ne peut parvenir à ses fins dans l'espace de ce médium. Tout ceci est explicitement indiciel que nous assistons à la fin d'un monde ou d'une culture française en déclin, certes : mais qu'il s'agit seulement du déclin de la culture des maîtres autoritaires loin du Peuple, qui ont peur dès lors qu'ils mettent un grand pied sur le net; pour en être boutés hors et par leurs propres recours à la censure, qui voudrait détrancher les idées adverses et ceux qui les expriment.
Ils ont peur de la lettre et de l'esprit, qui coulent toujours. Comme l'eau qui va sa pente naturelle et qu'elle sait user toutes les vieilles pierres les plus brutalement fixes et fermes.
Demian West
Tuesday, January 13, 2009
Molière n'est pas mort sur scène
C'est un lieu commun de la Presse soit de littérature hâtive et du tout-venant, qu'elle donne une image des artistes en martyrs se jetant dans le malheur en chantant comme dans le brasier de leur nature sensuelle. Tout ceci est une sorte de fabrique d'images d'Epinal aussi grossières que fausses ou fautives, mais bien utiles à quelque dessein caché.
Par exemple : Van Gogh n'a jamais subi la pauvreté, puisqu'il a vécu entretenu par son frère qui était aussi son marchand. Mieux encore : Van Gogh n'a jamais été enferré dans un asile, car il demandait lui-même d'y être retenu probablement pour se retirer du monde, en quelque sorte. Il se savait assez un danger pour lui-même, et pour cause.
Modigliani n'a pas vécu cette vie dissolue que le cinéma hollywoodien a mise en des couleurs toutes conformes à l'idéal bourgeois de la bohême. Aussi, comment un artiste pourrait-il produire de si belles oeuvres en étant ivre du matin au serein, tout en sachant garder la rigueur unique de son trait qui est encore manifeste dans tout bon musée fervent de la Jeanne Hebuterne ?
Rimbaud n'a jamais été cet adolescent sorti de rien et qui aurait versé une poésie toute d'invention et venue de l'ailleurs sans référent terrestre. Non ! il était un élève surdoué qui maîtrisait le latin et les belles lettres avant tous ses camarades de toute sa génération et même de son siècle, hormis un Baudelaire.
Molière n'est pas mort sur scène mais après un malaise pendant qu'il jouait sur le fauteuil encore exposé à la Comédie Française, s'il s'agissait bien du même siège. Certes, un homme comme Molière devait nécessairement mourir sur les tréteaux ou hors de scène, comme une porte doit toujours être ouverte ou fermée, on en conviendra aisément. Comme le dirait l'Histoire : il n'est pas mort sur scène ! et l'histoire populaire en a dit le contraire, mais ce n'est pas totalement faux, puisque Molère en fut sorti à cause de son agonie.
La liste est longue des approximations romanesques de l'histoire, qui ont pour vocation d'arranger les politiques. Roland n'est pas mort à Ronceveaux tué par les Sarrasins, mais par les Basques. Dans ce cas, il s'agit de propagande orfévrie dans le métal de la couronne de Charlemagne, et pour des motifs politiques qui devaient servir l'urgence de son époque ou son goût pour l'hégémonie. Et paraventure, cette fausse histoire est répétée aujourd'hui à l'envi quand des fins hasardeuses et xénophobes flirtent avec l'erreur judiciaire.
En revanche, quand il s'agit d'artistes ou d'hommes dont la vie confine au mythos, il s'agit plus manifestement de constituer des icônes destinées à étamper le fond d'oeil des neuves générations, pour qu'elles suivent ces exemples. Les très-antiques Romains avaient leurs exemples de vertus, que le "vir" devait imiter pour être vraiment "viril" et libre. Mais la réalité est souvent bien plus prosaïque, contingente et banale que cet héroïsme de guéroï soviétique en monstration de force virile désintéressée et inconsciente de soi.
Jeanne d'Arc a reculé avant d'aller au bûcher quand elle a renié sa cause un tant soit peu, et je ne vois là rien autre que de bien normal ; mieux encore, devant la mort, le Christ lui-même a douté de son père céleste qui était Dieu quand-même et que ça la fichait mal pour la frime : Ce qui est comme de dire que les héros ont souventes fois la trouille, sinon toujours. Comme tous ceux qui allèrent au front en 14 et justement parce qu'ils avaient peur. Voilà la vraie raison qui fait les héros surhumains, certes après l'abnégation et l'amour d'autrui.
Ces images, d'hommes et de femmes en acier trempé et anesthésiés dans la douleur et la pauvreté, sont en réalité manipulatoires. Car elles dictent indirectement ou directement des comportements, qui sont souvent irréalistes ou excessifs. La réalité aime la nuance. Que dire d'un Gandhi qui incitait à la plus grande pauvreté, et que dans le même temps, la mise en scène de cette pauvreté exemplaire engageait des dépenses voluptuaires pour l'Inde de l'époque ; et quand on considère la très grande pauvreté du Peuple qui devait suivre cet exemple à double emploi, car il le vivait déjà amplement ou misérablement au quotidien.
C'est un peu l'image très esthétisante du dépouillement zen, mais dans un très grand luxe du design contemporain. Les plus belles images sont irréelles car elles sont l'oeuvre des plus grandes contradictions qui se savent nous faire rêver d'un monde à construire, plutôt qu'il serait à subir. Finalement, le vrai héros serait cet homme qui nous serait très-étranger, et dont on invente sa vie pour la magnifier plus encore : comme une projection de notre plan de vie qu'on ne réalisera pas, car la vie est plus généreuse que nos pensements d'exemples à suivre. La vie buissonnante prévoit toujours tout autre chose pour nous, et bien plus unique.
Demian West
Par exemple : Van Gogh n'a jamais subi la pauvreté, puisqu'il a vécu entretenu par son frère qui était aussi son marchand. Mieux encore : Van Gogh n'a jamais été enferré dans un asile, car il demandait lui-même d'y être retenu probablement pour se retirer du monde, en quelque sorte. Il se savait assez un danger pour lui-même, et pour cause.
Modigliani n'a pas vécu cette vie dissolue que le cinéma hollywoodien a mise en des couleurs toutes conformes à l'idéal bourgeois de la bohême. Aussi, comment un artiste pourrait-il produire de si belles oeuvres en étant ivre du matin au serein, tout en sachant garder la rigueur unique de son trait qui est encore manifeste dans tout bon musée fervent de la Jeanne Hebuterne ?
Rimbaud n'a jamais été cet adolescent sorti de rien et qui aurait versé une poésie toute d'invention et venue de l'ailleurs sans référent terrestre. Non ! il était un élève surdoué qui maîtrisait le latin et les belles lettres avant tous ses camarades de toute sa génération et même de son siècle, hormis un Baudelaire.
Molière n'est pas mort sur scène mais après un malaise pendant qu'il jouait sur le fauteuil encore exposé à la Comédie Française, s'il s'agissait bien du même siège. Certes, un homme comme Molière devait nécessairement mourir sur les tréteaux ou hors de scène, comme une porte doit toujours être ouverte ou fermée, on en conviendra aisément. Comme le dirait l'Histoire : il n'est pas mort sur scène ! et l'histoire populaire en a dit le contraire, mais ce n'est pas totalement faux, puisque Molère en fut sorti à cause de son agonie.
La liste est longue des approximations romanesques de l'histoire, qui ont pour vocation d'arranger les politiques. Roland n'est pas mort à Ronceveaux tué par les Sarrasins, mais par les Basques. Dans ce cas, il s'agit de propagande orfévrie dans le métal de la couronne de Charlemagne, et pour des motifs politiques qui devaient servir l'urgence de son époque ou son goût pour l'hégémonie. Et paraventure, cette fausse histoire est répétée aujourd'hui à l'envi quand des fins hasardeuses et xénophobes flirtent avec l'erreur judiciaire.
En revanche, quand il s'agit d'artistes ou d'hommes dont la vie confine au mythos, il s'agit plus manifestement de constituer des icônes destinées à étamper le fond d'oeil des neuves générations, pour qu'elles suivent ces exemples. Les très-antiques Romains avaient leurs exemples de vertus, que le "vir" devait imiter pour être vraiment "viril" et libre. Mais la réalité est souvent bien plus prosaïque, contingente et banale que cet héroïsme de guéroï soviétique en monstration de force virile désintéressée et inconsciente de soi.
Jeanne d'Arc a reculé avant d'aller au bûcher quand elle a renié sa cause un tant soit peu, et je ne vois là rien autre que de bien normal ; mieux encore, devant la mort, le Christ lui-même a douté de son père céleste qui était Dieu quand-même et que ça la fichait mal pour la frime : Ce qui est comme de dire que les héros ont souventes fois la trouille, sinon toujours. Comme tous ceux qui allèrent au front en 14 et justement parce qu'ils avaient peur. Voilà la vraie raison qui fait les héros surhumains, certes après l'abnégation et l'amour d'autrui.
Ces images, d'hommes et de femmes en acier trempé et anesthésiés dans la douleur et la pauvreté, sont en réalité manipulatoires. Car elles dictent indirectement ou directement des comportements, qui sont souvent irréalistes ou excessifs. La réalité aime la nuance. Que dire d'un Gandhi qui incitait à la plus grande pauvreté, et que dans le même temps, la mise en scène de cette pauvreté exemplaire engageait des dépenses voluptuaires pour l'Inde de l'époque ; et quand on considère la très grande pauvreté du Peuple qui devait suivre cet exemple à double emploi, car il le vivait déjà amplement ou misérablement au quotidien.
C'est un peu l'image très esthétisante du dépouillement zen, mais dans un très grand luxe du design contemporain. Les plus belles images sont irréelles car elles sont l'oeuvre des plus grandes contradictions qui se savent nous faire rêver d'un monde à construire, plutôt qu'il serait à subir. Finalement, le vrai héros serait cet homme qui nous serait très-étranger, et dont on invente sa vie pour la magnifier plus encore : comme une projection de notre plan de vie qu'on ne réalisera pas, car la vie est plus généreuse que nos pensements d'exemples à suivre. La vie buissonnante prévoit toujours tout autre chose pour nous, et bien plus unique.
Demian West
Monday, January 12, 2009
Sunday, January 11, 2009
Vous êtes l'individu qui sauvera le monde
La grande question qui s'impose à chacun immergé dans le flot des informations contemporaines est de savoir comment se créer une pensée vraiment personnelle. C'est-à-dire qu'elle ne serait pas guidée ni dictée par des grandes masses de l'opinion toute-faite.
Certes, pour se construire en société et pour y être intégré, il faut correspondre à des programmes culturels ou à des savoir-faire, qui nous apportent un métier et une façon de trouver notre subsistance. Le passage-à-bac et l'université font des petits soldats, qui font finalement corps avec leur discipline, et c'est d'abord une bonne chose. Puisque ceci induit forcément un abandon de la position trop-personnelle, qui souvent paraît une paresse qui se complaît dans l'ignorance. La culture, c'est se construire et adopter des modes de vies, aussi se tourner vers les autres et devenir un autre soi-même.
Toutefois, quand on fait corps avec sa discipline, on finit par ne plus penser qu'en des briques assemblées au préalable. Et assez bêtement, on répète ses connaissances tout du long des décennies, même quand le savoir a changé. C'est qu'on y tient au savoir appris, car on se rend vite compte qu'il est la colonne vertébrale de notre autorité, sans laquelle, nous devrions à nouveau nous battre comme les fauves au plein de la jungle du réel du Marché.
Pis encore, on finit un jour subit par devoir défendre ce savoir acquis contre toute la neuve science des jeunes, qui ont cette insolence d'en savoir plus, parce qu'ils sont nés de la saison et donc bien après nous. Ils savent leur temps, quand nous ne le connaissons qu'au-travers des livres anciens, qui le prophétisaient en des images d'Epinal si ridicules que mensongères et effacées.
En d'autres termes, s'accrocher à son savoir et à ses postes acquis : c'est vitement contredire tous ses idéaux premiers dès la première poudre avec les temps nouveaux. Les exemples sont nombreux : la gauche française qui s'est suicidée par le recours à la corruption quand elle était au pouvoir et après ; aussi, la valse des acteurs célèbres qu'on jette dans le fleuve de l'oubli et qu'ils reviennent en gloire avec de belles cicatrices filmiques, comme un Gérard Lanvin ; les films qu'on dit des nanars et qu'on méprise pendant dix ou vingt ans et qu'ils deviennent cultes, à l'instar du cinoche d'Audiard ou de Bourvil-Le Funès et les Fernandelleries ; encore, les journalistes qui diffusent de grands courants de pensée pré-digérée par le frèro du Clown MacDo sur le mode gauchiste-très gauche "tout-sauf-Sarko", qui installent finalement Sarkozy pour dix ans.
C'est le paradoxe : plus on voit une idée diffusée et répétée à l'envi dans les mainstream médias, et plus l'homme normal de la foule y trouve quelque collectivisme de la débilité, qui s'entremime comme le feraient les singes ; lesquels sont probablement plus intelligents que ça, car ils ne nous imitent pas encore sur ce point.
C'est forcément louche ! quand on se croit bien-inscrit dans une belle pensée et qu'elle correspond en tous points à la pensée formelle d'un appareil politique ou scientifique, et pis encore quand il s'agirait d'un appareil artistique. Par exemple, ceux, qui ont inventé l'art abstrait, on réellement fait avancer les arts. Mais ceux qui les suivirent, et qu'ils voulurent faire montre d'un tel zèle qu'ils décidèrent de ruiner tout l'art préalable et réaliste, étaient plus des vandales que des amants de l'art. Quelle pauvre idée aurait-on d'aller visiter un musée dont toutes les oeuvres seraient une même toile répétée infiniment, sur quelques modulations pour faire série et pour la forme ? ou que diraient les visiteurs devant des cimaises composées de deux toiles répétées sans fin sur le mode misérablement schismatique : les "pour" et les "contre".
-- : "De la daube !"
Quand dans les musées, chaque toile est différente et unique, irremplaçable et qu'on ne peut jamais la superposer aux autres. Tout le registre va du plus profond bordel buissonnant et tantôt obscur, vers les éclats lumineux des l'indéfinissables suprêmes et mystérieux, jamais certains. Tout comme l'esprit dedans et autour chaque individu, et serait-il le plus méconnu et misérable.
C'est la leçon de liberté que nous disent ces oeuvres, et que les autorités en chargent de nos pensées collectives ne savent plus nous la dire. A moins que ces instances n'aient jamais voulu trop les dire, et pour cause, hormis dans quelques rares chapelles des universités cachées du Monde.
Il est quelque chose dans l'individu qui reste immanquablement rétif à tous ces donneurs d'ordre de la pensée. Et c'est dans ce sanctuaire rebelle, que se trouve le vrai noyau de notre liberté individuelle, et la clé de nos comportements les plus favorables à notre destin : Quand nous nous affranchissons de la pensée commune, et que par ce biais heureux, nous ne sommes plus mus par des fils et manoeuvres. Et finalement, que nous vivons notre vie intensément, plus qu'elle serait vécue par d'autres qui nous dirigeaient par la force fabriquée de leur pensée qui n'est pas la nôtre : "qui n'est pas la mienne".
Demian West
Certes, pour se construire en société et pour y être intégré, il faut correspondre à des programmes culturels ou à des savoir-faire, qui nous apportent un métier et une façon de trouver notre subsistance. Le passage-à-bac et l'université font des petits soldats, qui font finalement corps avec leur discipline, et c'est d'abord une bonne chose. Puisque ceci induit forcément un abandon de la position trop-personnelle, qui souvent paraît une paresse qui se complaît dans l'ignorance. La culture, c'est se construire et adopter des modes de vies, aussi se tourner vers les autres et devenir un autre soi-même.
Toutefois, quand on fait corps avec sa discipline, on finit par ne plus penser qu'en des briques assemblées au préalable. Et assez bêtement, on répète ses connaissances tout du long des décennies, même quand le savoir a changé. C'est qu'on y tient au savoir appris, car on se rend vite compte qu'il est la colonne vertébrale de notre autorité, sans laquelle, nous devrions à nouveau nous battre comme les fauves au plein de la jungle du réel du Marché.
Pis encore, on finit un jour subit par devoir défendre ce savoir acquis contre toute la neuve science des jeunes, qui ont cette insolence d'en savoir plus, parce qu'ils sont nés de la saison et donc bien après nous. Ils savent leur temps, quand nous ne le connaissons qu'au-travers des livres anciens, qui le prophétisaient en des images d'Epinal si ridicules que mensongères et effacées.
En d'autres termes, s'accrocher à son savoir et à ses postes acquis : c'est vitement contredire tous ses idéaux premiers dès la première poudre avec les temps nouveaux. Les exemples sont nombreux : la gauche française qui s'est suicidée par le recours à la corruption quand elle était au pouvoir et après ; aussi, la valse des acteurs célèbres qu'on jette dans le fleuve de l'oubli et qu'ils reviennent en gloire avec de belles cicatrices filmiques, comme un Gérard Lanvin ; les films qu'on dit des nanars et qu'on méprise pendant dix ou vingt ans et qu'ils deviennent cultes, à l'instar du cinoche d'Audiard ou de Bourvil-Le Funès et les Fernandelleries ; encore, les journalistes qui diffusent de grands courants de pensée pré-digérée par le frèro du Clown MacDo sur le mode gauchiste-très gauche "tout-sauf-Sarko", qui installent finalement Sarkozy pour dix ans.
C'est le paradoxe : plus on voit une idée diffusée et répétée à l'envi dans les mainstream médias, et plus l'homme normal de la foule y trouve quelque collectivisme de la débilité, qui s'entremime comme le feraient les singes ; lesquels sont probablement plus intelligents que ça, car ils ne nous imitent pas encore sur ce point.
C'est forcément louche ! quand on se croit bien-inscrit dans une belle pensée et qu'elle correspond en tous points à la pensée formelle d'un appareil politique ou scientifique, et pis encore quand il s'agirait d'un appareil artistique. Par exemple, ceux, qui ont inventé l'art abstrait, on réellement fait avancer les arts. Mais ceux qui les suivirent, et qu'ils voulurent faire montre d'un tel zèle qu'ils décidèrent de ruiner tout l'art préalable et réaliste, étaient plus des vandales que des amants de l'art. Quelle pauvre idée aurait-on d'aller visiter un musée dont toutes les oeuvres seraient une même toile répétée infiniment, sur quelques modulations pour faire série et pour la forme ? ou que diraient les visiteurs devant des cimaises composées de deux toiles répétées sans fin sur le mode misérablement schismatique : les "pour" et les "contre".
-- : "De la daube !"
Quand dans les musées, chaque toile est différente et unique, irremplaçable et qu'on ne peut jamais la superposer aux autres. Tout le registre va du plus profond bordel buissonnant et tantôt obscur, vers les éclats lumineux des l'indéfinissables suprêmes et mystérieux, jamais certains. Tout comme l'esprit dedans et autour chaque individu, et serait-il le plus méconnu et misérable.
C'est la leçon de liberté que nous disent ces oeuvres, et que les autorités en chargent de nos pensées collectives ne savent plus nous la dire. A moins que ces instances n'aient jamais voulu trop les dire, et pour cause, hormis dans quelques rares chapelles des universités cachées du Monde.
Il est quelque chose dans l'individu qui reste immanquablement rétif à tous ces donneurs d'ordre de la pensée. Et c'est dans ce sanctuaire rebelle, que se trouve le vrai noyau de notre liberté individuelle, et la clé de nos comportements les plus favorables à notre destin : Quand nous nous affranchissons de la pensée commune, et que par ce biais heureux, nous ne sommes plus mus par des fils et manoeuvres. Et finalement, que nous vivons notre vie intensément, plus qu'elle serait vécue par d'autres qui nous dirigeaient par la force fabriquée de leur pensée qui n'est pas la nôtre : "qui n'est pas la mienne".
Demian West
Saturday, January 10, 2009
N'ayez pas peur !
Demian de sa luxuriante splendeur s'est fait engueuler par Edwy Plenel. Et pour la seule raison que l'éminent journaliste de la libre pensée ligueuse s'est jeté à pieds joints dans la censure renfrognée. En effet, ce n'est pas moins que deux commentaires qu'il a su effacer, et qu'ils inauguraient un forum sur sa page Facebook et sur la nouvelle loi dépénalisant la diffamation.
Mes commentaires disaient juste mon étonnement que des journalistes, dont Plenel, se postaient contre cette loi, puisqu'elle empêchait la victime de retrouver les diffuseurs anonymes de diffamations sur le net. Quand ces journalistes-mêmes se sont assez r'alliés au "Journalisme Citoyen", qui est manifestement le plus grand propagateur de rumeurs et de diffamations sur le net. Et j'ajoutais même que les journalistes seraient certainement d'accord avec mon propos, mais qu'ils ne l'avoueraient jamais. Puisque leur lectorat se confond assez ou qu'il est simultané du "Tout-sauf-Sarko" et du "Journalisme Citoyen". Ils seraient donc pris en otage par ces deux tendances simultanées, et ce n'est pas une bonne situation pour la liberté d'expression.
Et Plenel et son "Médiapart" est dans cette mouvance, puisque aussitôt dans le fil qui suivit, ses affidés ne cessèrent de lancer toutes saillies avilissantes, qui s'achevèrent par un soviet suprême me conseillant "de peindre mon cul, après avoir peint le portrait de Bush et de Carla Bruni."
Je peins ce que je veux et j'ai même peint le portrait de Lénine, pour des raisons plastiques qui me reviennent et qui ne sont pas le sujet du débat, mais on me comprendra.
Il reste que Plenel n'est pas intervenu dans ce débat et même pour dire à ses troupes de modérer leurs formulations de la haine, qu'ils manifestaient pour tout ce qui semblait hors du "Tout-sauf-Sarko". A tel degré, qu'en fin de journée j'en suis venu à m'interroger sur la vacuité derrière sa page Facebook, et j'en déduisis que ce fut quelque larbin ou attaché de blog qui avait effacé mes commentaires. Comme on se doute d'une coutume évidente qui prévaut sur les pages des très-grandes-célébrités, qui ont autre chose à faire qu'à répondre à leurs admirateurs en panne dans le désert des peoples.
Là, on vit surgir à découvert le Plenel dans toute sa fureur huppée. J'eus droit à un commentaire d'une violence verbale si affirmée et autoritaire, qu'on vit bien que ma parole avait trouvé toute son efficience. La preuve : après la censure Plenel m'a tout simplement coupé le sifflet définitivement en m'interdisant le forum et sa page Facebook. Alors que j'ai exprimé tout mon saoul dans une politesse exemplaire, qui a été perçue comme une manifestation d'aigreur et de cynisme, par des intervenants fous de rage de ne pouvoir me prendre en défaut de langage. Et Plenel tomba dans ce piège grossier.
En effet, nul ne pouvait plus ignorer qu'il était l'auteur de la censure. Pis encore, des commentateurs se sont jetés dans l'auto-censure en effaçant leurs propres commentaires, en anticipant le souhait du censeur autoritaire. Ils agissaient mus par la trouille... mais de quoi ? Ils ne travaillent pas pour lui et ne dépendent pas de son autorité.
Aussitôt, sur ma page Facebook je vis survenir des demandes d'ajout à une liste d'amis et de la part de personnes qui m'avaient chicané sur le forum de Plenel, et je les acceptai. Car l'histoire de ce forum leur avait bien démontré l'aliénation qu'ils subissaient de la part de ces autorités de la Presse, qui laissent entendre leur pouvoir comme une manière cryptée de menace d'être réduit au silence, si l'on n'obéissait pas à leurs idées.
Où l'on voit encore que ceux, qui exigent le plus la liberté d'expression, et qu'ils jouent tantôt à faire tomber les puissants, sont les premiers et seconds à craindre et à combattre toute expression vraiment libérée qui oserait s'en prendre à leur statue de parangon de la libre expression. Somme : des imposteurs et de vulgaires censeurs dont je fais l'économie avantageuse de ne jamais plus les lire. N'ayez pas peur !
Demian West
Mes commentaires disaient juste mon étonnement que des journalistes, dont Plenel, se postaient contre cette loi, puisqu'elle empêchait la victime de retrouver les diffuseurs anonymes de diffamations sur le net. Quand ces journalistes-mêmes se sont assez r'alliés au "Journalisme Citoyen", qui est manifestement le plus grand propagateur de rumeurs et de diffamations sur le net. Et j'ajoutais même que les journalistes seraient certainement d'accord avec mon propos, mais qu'ils ne l'avoueraient jamais. Puisque leur lectorat se confond assez ou qu'il est simultané du "Tout-sauf-Sarko" et du "Journalisme Citoyen". Ils seraient donc pris en otage par ces deux tendances simultanées, et ce n'est pas une bonne situation pour la liberté d'expression.
Et Plenel et son "Médiapart" est dans cette mouvance, puisque aussitôt dans le fil qui suivit, ses affidés ne cessèrent de lancer toutes saillies avilissantes, qui s'achevèrent par un soviet suprême me conseillant "de peindre mon cul, après avoir peint le portrait de Bush et de Carla Bruni."
Je peins ce que je veux et j'ai même peint le portrait de Lénine, pour des raisons plastiques qui me reviennent et qui ne sont pas le sujet du débat, mais on me comprendra.
Il reste que Plenel n'est pas intervenu dans ce débat et même pour dire à ses troupes de modérer leurs formulations de la haine, qu'ils manifestaient pour tout ce qui semblait hors du "Tout-sauf-Sarko". A tel degré, qu'en fin de journée j'en suis venu à m'interroger sur la vacuité derrière sa page Facebook, et j'en déduisis que ce fut quelque larbin ou attaché de blog qui avait effacé mes commentaires. Comme on se doute d'une coutume évidente qui prévaut sur les pages des très-grandes-célébrités, qui ont autre chose à faire qu'à répondre à leurs admirateurs en panne dans le désert des peoples.
Là, on vit surgir à découvert le Plenel dans toute sa fureur huppée. J'eus droit à un commentaire d'une violence verbale si affirmée et autoritaire, qu'on vit bien que ma parole avait trouvé toute son efficience. La preuve : après la censure Plenel m'a tout simplement coupé le sifflet définitivement en m'interdisant le forum et sa page Facebook. Alors que j'ai exprimé tout mon saoul dans une politesse exemplaire, qui a été perçue comme une manifestation d'aigreur et de cynisme, par des intervenants fous de rage de ne pouvoir me prendre en défaut de langage. Et Plenel tomba dans ce piège grossier.
En effet, nul ne pouvait plus ignorer qu'il était l'auteur de la censure. Pis encore, des commentateurs se sont jetés dans l'auto-censure en effaçant leurs propres commentaires, en anticipant le souhait du censeur autoritaire. Ils agissaient mus par la trouille... mais de quoi ? Ils ne travaillent pas pour lui et ne dépendent pas de son autorité.
Aussitôt, sur ma page Facebook je vis survenir des demandes d'ajout à une liste d'amis et de la part de personnes qui m'avaient chicané sur le forum de Plenel, et je les acceptai. Car l'histoire de ce forum leur avait bien démontré l'aliénation qu'ils subissaient de la part de ces autorités de la Presse, qui laissent entendre leur pouvoir comme une manière cryptée de menace d'être réduit au silence, si l'on n'obéissait pas à leurs idées.
Où l'on voit encore que ceux, qui exigent le plus la liberté d'expression, et qu'ils jouent tantôt à faire tomber les puissants, sont les premiers et seconds à craindre et à combattre toute expression vraiment libérée qui oserait s'en prendre à leur statue de parangon de la libre expression. Somme : des imposteurs et de vulgaires censeurs dont je fais l'économie avantageuse de ne jamais plus les lire. N'ayez pas peur !
Demian West
Thursday, January 08, 2009
La guerre "sublime"
Autour de la neuve guerre israélo-palestinienne, on reçoit à nouveau le déluge d'infos et de débats de tous ceux qui ont les méthodes qui mènent à droit fil vers la paix et sans que les instances supérieures n'y parviennent jamais. C'est le grand manège média qui refait un tour for free et pour les enfants. Et de l'autre main, on écarte ou on oublie ceux que ça gave jusqu'au débord.
C'est une bonne façon de remettre le pied à l'étrier pour commencer une année sur un grand pied de guerrier. C'est clair ! pas d'erreur ! ça donnerait quelque énergie qui nous manquait il y a peu, l'année dernière et dans les premiers jours de 2009. En revanche, il semble peu probable que nous soyons réellement concernés par cette guerre de cent ans qui ne dit pas son chiffre.
Regardez, comme les flux médias nous cooptent, en quelque sorte, pour nous jeter dans des histoires qui ont pour seul avantage de remplacer la politique vernaculaire et franchouillarde le long des tablées disputeuses avec nos proches. Somme : Tout ceci fait partie de la grande scène des distractions, entre soldes bien utiles, et régimes pour perdre son surpoids qu'on s'est embesogné à l'acquérir pendant les fêtes et tout pour le perdre.
Ces distractions fumeuses vont jusqu'à montrer des enfants morts en grappes pour dire l'exceptionnel de l'horreur qu'on banalise aussitôt. Car l'image est forcément désincarnée et inframince. Puisqu'elle est véhiculée par un médium de la distraction, qui donne toujours cette teinture à l'info. Le spectateur est projeté dans ce que le XVIIIème siècle appelait "le sublime" et qu'il s'opposait au "pittoresque". Par exemple, lorsqu'on est bien accroché au bord de la ravine et qu'on regarde en bas, on ressent vigoureusement cette impression du sublime qui nous dépasse, et bien loin de la vision idyllique et picturale de la bergerie de Marie-Antoinette à Versailles.
C'est ainsi que les petits Louis XIV de la petite bourgeoisie d'aujourd'hui s'égaient et se distraient de leurs contingences quotidiennes si répétitives que rassurantes. Ce sont ces mêmes petits-bourgeois qui disent aux puissants ce qu'ils devraient faire pour arrêter le conflit. Mais on se doute bien, qu'il ne s'agit que de bavardages parliers en hâtiveté de braverie. Car si le conflit cessait la distraction en serait éteinte aussitôt. Et que tout ces entregents diplomatiques, saupoudrés sur le champ social des cafés et des forums du web, épuiseraient l'alimentation en palabres. Comme on tarirait la gazoduc sibérien, et pour faire parler ultimement de cet épuisement.
Nul ne douterait plus qu'après la fin du monde, et quand il n'y aurait plus rien et même pas une mobylette, il se trouverait encore un journaliste média, ne serait-ce qu'un homme-tronc dont le bas aurait beaucoup souffert de l'Armageddon, et pour qu'il nous dise cette dernière nouvelle que le monde n'est plus. Comme jadis, la 5 s'était éteinte dans une sorte de "couic" dont les parasites électroniques sur l'écran agonisant semblaient des façons de galaxies crunchées et vite remplacées par un zapping furieux vers autre chose.
Demian West
C'est une bonne façon de remettre le pied à l'étrier pour commencer une année sur un grand pied de guerrier. C'est clair ! pas d'erreur ! ça donnerait quelque énergie qui nous manquait il y a peu, l'année dernière et dans les premiers jours de 2009. En revanche, il semble peu probable que nous soyons réellement concernés par cette guerre de cent ans qui ne dit pas son chiffre.
Regardez, comme les flux médias nous cooptent, en quelque sorte, pour nous jeter dans des histoires qui ont pour seul avantage de remplacer la politique vernaculaire et franchouillarde le long des tablées disputeuses avec nos proches. Somme : Tout ceci fait partie de la grande scène des distractions, entre soldes bien utiles, et régimes pour perdre son surpoids qu'on s'est embesogné à l'acquérir pendant les fêtes et tout pour le perdre.
Ces distractions fumeuses vont jusqu'à montrer des enfants morts en grappes pour dire l'exceptionnel de l'horreur qu'on banalise aussitôt. Car l'image est forcément désincarnée et inframince. Puisqu'elle est véhiculée par un médium de la distraction, qui donne toujours cette teinture à l'info. Le spectateur est projeté dans ce que le XVIIIème siècle appelait "le sublime" et qu'il s'opposait au "pittoresque". Par exemple, lorsqu'on est bien accroché au bord de la ravine et qu'on regarde en bas, on ressent vigoureusement cette impression du sublime qui nous dépasse, et bien loin de la vision idyllique et picturale de la bergerie de Marie-Antoinette à Versailles.
C'est ainsi que les petits Louis XIV de la petite bourgeoisie d'aujourd'hui s'égaient et se distraient de leurs contingences quotidiennes si répétitives que rassurantes. Ce sont ces mêmes petits-bourgeois qui disent aux puissants ce qu'ils devraient faire pour arrêter le conflit. Mais on se doute bien, qu'il ne s'agit que de bavardages parliers en hâtiveté de braverie. Car si le conflit cessait la distraction en serait éteinte aussitôt. Et que tout ces entregents diplomatiques, saupoudrés sur le champ social des cafés et des forums du web, épuiseraient l'alimentation en palabres. Comme on tarirait la gazoduc sibérien, et pour faire parler ultimement de cet épuisement.
Nul ne douterait plus qu'après la fin du monde, et quand il n'y aurait plus rien et même pas une mobylette, il se trouverait encore un journaliste média, ne serait-ce qu'un homme-tronc dont le bas aurait beaucoup souffert de l'Armageddon, et pour qu'il nous dise cette dernière nouvelle que le monde n'est plus. Comme jadis, la 5 s'était éteinte dans une sorte de "couic" dont les parasites électroniques sur l'écran agonisant semblaient des façons de galaxies crunchées et vite remplacées par un zapping furieux vers autre chose.
Demian West
Sunday, January 04, 2009
Les journaux meurent comme les civilisations
Qu'on se souvienne ! Il y a peu, autour des élections présidentielles en 2007, on pouvait entendre dans la blogosphère des tentatives de mouvement de masse pour créer une sorte de 5ème pouvoir. Il s'agissait d'une manière de rassemblement de volontés assez jeunes pour constituer un contrepoint collectif aux médias traditionnels, et pour en démontrer les manoeuvres perverses et manipulatrices.
Ce qui frappait d'abordée dans ces manifestations sur le mode journalistique, ce fut la posture radicale et nommément "révolutionnaire". Mais, toute avancée par des personnes à teinture de bourgeoisie et la plupart du temps bien-vêtues d'habits tout semblables à ce qu'elles prétendaient dénoncer.
Il y avait le journal du net "Agoravox" et d'autres satellites, qui singeaient tous les systèmes cosmiques qu'on voit dans les médias traditionnels, entre télévision, journalisme et conférences de la Presse qui se dit plus grosse que le boeuf, comme la grenouille de la fable. En d'autres termes, le ton et les apparences à la tribune n'étaient pas neufs mais plus de la pantomime, qui se sait entrer dans les vieux habits ou vieilles chaussures des trop grands rôles pour en obtenir tous les avantages.
Certes, le principe de ce 5ème pouvoir était de donner la parole à tous. A l'inverse de l'architecture d'un "Facebook", chacun pouvait visiter le forum et y lâcher sa bombe qu'il voulait juste pour voir l'effet que ça faisait de se moquer d'un intellectuel ou de traiter un artiste de sybarite efféminé, ce qu'on comprendra bien signifier une sorte d'injure.
L'avantage de ce dispositif c'est qu'il attire le plus grand nombre et que pour paraître un gros boeuf c'est la méthode. Hormis que les boeufs n'ont du pouvoir que dans les bouseries malodorantes. Et que ce populisme est depuis longtemps perçu par nos philosophes, comme une utopie qui verse vite dans la dictature du n'importe qui.
C'est ce qui se produisit dans ce mouvement que ses fondateurs avaient appelé la "Révolution du pronétariat". Une belle formule qui s'est achevée en ce seul jeu de mot tout pour néant, quand la concurrence de "Rue89" ou "LePost" réduisirent l'espace de cette idéologie étrange. Alors, dans les colonnes de cette agora des pronétaires, on n'y vit plus que palabres grossiers et règlements de comptes en guise de forums, et partout le monochrome idéologique du tout-sauf-Sarko.
Plus récemment, cette Presse groupusculaire inventa et voulut imposer une sorte de critère ou label d'information véritable. Deux ou trois enseignes se sont donc accouées par toutes queues, pour créer une sorte de groupe de pression qui saurait nous dire ce qu'il faut comprendre comme étant la vraie info libre et bien balancée. Mais, qui dira le critère en préalable des référents, qui doivent ensuite dire la qualité de l'info ? N'était-ce pas le lecteur qui devait en juger a fortiori, selon l'énoncé du projet-même ? et ce lectorat ne devait-il pas exprimer son jugement et les référents de la bonne info dans les forums ?
Cette volonté du sommet pronétaire de dire les référents de l'info semble donc une sorte de velléité d'hégémonie sur toute la Presse du net. Ce semble une tentative d'O.P.A., mais jetée par ceux-là-mêmes qui voient leur espace journalistique se réduire en peau de chagrin. Et donc, la tentative dégage tout le parfum d'une dernière folie de braverie, qui paraît au lecteur froid assez désespérée. Et dans ce sens, c'est une entreprise autoritaire et sans moyen, certainement vouée à l'échec et d'arrivée.
Le journal "Agoravox" et "Bakchich", entre autres, voudraient rallier tous les journaux citoyens pour se laisser accroire encore un peu de temps, qu'ils auraient quelque chance et bonheur miraculeux de se constituer unilatéralement en seuls référents de l'info sur le net. Alors que c'est la grande liberté et sur le mode assez libéral, qui règne dans la blogosphère. Le plus fort et le plus vif, ou le plus attentif à son public gagne ! Tout comme dans le monde d'avant.
Et ne nous y trompons pas, ce sont les mêmes nerfs de l'ultra-libéralisme et du profit qui agitent ces journaux qui se voudraient des parangons de la parole collective, et tout pour leur profit de quelques-uns peu nombreux au sommet. Finalement, "Info-Vox" est voué à l'échec et il suffit de lire les espaces vides des forums de ces journaux pour saisir que, sur le net, la modernité va vitement et qu'un train de retard peut vous faire perdre toute la ligne et finalement le réseau entier.
Les journaux tout comme les civilisations naissent et meurent. Et plus sûrement, quand ils se coupent de leur public et des jugements des lecteurs... qui ont tout de même comme première qualité de savoir lire.
Demian West
Ce qui frappait d'abordée dans ces manifestations sur le mode journalistique, ce fut la posture radicale et nommément "révolutionnaire". Mais, toute avancée par des personnes à teinture de bourgeoisie et la plupart du temps bien-vêtues d'habits tout semblables à ce qu'elles prétendaient dénoncer.
Il y avait le journal du net "Agoravox" et d'autres satellites, qui singeaient tous les systèmes cosmiques qu'on voit dans les médias traditionnels, entre télévision, journalisme et conférences de la Presse qui se dit plus grosse que le boeuf, comme la grenouille de la fable. En d'autres termes, le ton et les apparences à la tribune n'étaient pas neufs mais plus de la pantomime, qui se sait entrer dans les vieux habits ou vieilles chaussures des trop grands rôles pour en obtenir tous les avantages.
Certes, le principe de ce 5ème pouvoir était de donner la parole à tous. A l'inverse de l'architecture d'un "Facebook", chacun pouvait visiter le forum et y lâcher sa bombe qu'il voulait juste pour voir l'effet que ça faisait de se moquer d'un intellectuel ou de traiter un artiste de sybarite efféminé, ce qu'on comprendra bien signifier une sorte d'injure.
L'avantage de ce dispositif c'est qu'il attire le plus grand nombre et que pour paraître un gros boeuf c'est la méthode. Hormis que les boeufs n'ont du pouvoir que dans les bouseries malodorantes. Et que ce populisme est depuis longtemps perçu par nos philosophes, comme une utopie qui verse vite dans la dictature du n'importe qui.
C'est ce qui se produisit dans ce mouvement que ses fondateurs avaient appelé la "Révolution du pronétariat". Une belle formule qui s'est achevée en ce seul jeu de mot tout pour néant, quand la concurrence de "Rue89" ou "LePost" réduisirent l'espace de cette idéologie étrange. Alors, dans les colonnes de cette agora des pronétaires, on n'y vit plus que palabres grossiers et règlements de comptes en guise de forums, et partout le monochrome idéologique du tout-sauf-Sarko.
Plus récemment, cette Presse groupusculaire inventa et voulut imposer une sorte de critère ou label d'information véritable. Deux ou trois enseignes se sont donc accouées par toutes queues, pour créer une sorte de groupe de pression qui saurait nous dire ce qu'il faut comprendre comme étant la vraie info libre et bien balancée. Mais, qui dira le critère en préalable des référents, qui doivent ensuite dire la qualité de l'info ? N'était-ce pas le lecteur qui devait en juger a fortiori, selon l'énoncé du projet-même ? et ce lectorat ne devait-il pas exprimer son jugement et les référents de la bonne info dans les forums ?
Cette volonté du sommet pronétaire de dire les référents de l'info semble donc une sorte de velléité d'hégémonie sur toute la Presse du net. Ce semble une tentative d'O.P.A., mais jetée par ceux-là-mêmes qui voient leur espace journalistique se réduire en peau de chagrin. Et donc, la tentative dégage tout le parfum d'une dernière folie de braverie, qui paraît au lecteur froid assez désespérée. Et dans ce sens, c'est une entreprise autoritaire et sans moyen, certainement vouée à l'échec et d'arrivée.
Le journal "Agoravox" et "Bakchich", entre autres, voudraient rallier tous les journaux citoyens pour se laisser accroire encore un peu de temps, qu'ils auraient quelque chance et bonheur miraculeux de se constituer unilatéralement en seuls référents de l'info sur le net. Alors que c'est la grande liberté et sur le mode assez libéral, qui règne dans la blogosphère. Le plus fort et le plus vif, ou le plus attentif à son public gagne ! Tout comme dans le monde d'avant.
Et ne nous y trompons pas, ce sont les mêmes nerfs de l'ultra-libéralisme et du profit qui agitent ces journaux qui se voudraient des parangons de la parole collective, et tout pour leur profit de quelques-uns peu nombreux au sommet. Finalement, "Info-Vox" est voué à l'échec et il suffit de lire les espaces vides des forums de ces journaux pour saisir que, sur le net, la modernité va vitement et qu'un train de retard peut vous faire perdre toute la ligne et finalement le réseau entier.
Les journaux tout comme les civilisations naissent et meurent. Et plus sûrement, quand ils se coupent de leur public et des jugements des lecteurs... qui ont tout de même comme première qualité de savoir lire.
Demian West
Pourquoi les acteurs se mettent-ils en rôles ?
Depuis Aristote, on sait le rôle cathartique du théâtre. En effet, sur la scène on vit par procuration des comédiens les drames que l'on voudrait éviter dans la vie, mais pour les vivre tout par la pensée. Et les théoriciens présupposent aisément par-là que ces actions fatales seraient ainsi bien-écartées de la scène du monde. Ce qui est peut-être vrai mais pas criant d'évidence. Si l'on considère le théâtre de violence dont le monde se déjeune tous les jours à l'heure des informations, qui sont plus dramatiques que toute pièce jouée même dans l'excès.
Par ailleurs, on comprend mieux qu'il s'agit, en quelque sorte, de mettre en scène la vie des Dieux, que l'on sait des archétypes invisibles. Et qu'il faut donc en faire toute monstration par des incarnations ou des émanations corporelles et des sens bien conformes au règlement en vigueur dans les Olympes ou les Paradis respectifs des cultures. Les Romains créaient ainsi des "lectisternes" ou des repas des Dieux dans leurs maisons. Ils r'assemblaient des statues modelées et peintes hyperréalistement dans des scènes orfévries de repas avec de vrais viatiques pour ces statues factices, auxquelles il ne manquait que la voix et les chansons à boire.
Au dehors, la pantomime était un art du simulacre et le masque de l'acteur était une "persona" d'où dérive certainement le concept de notre personnalité de surface. Depuis la psychanalyse et peut-être bien avant, on sait bien que cette personnalité cache mal un océan de désirs et d'appétence de vie qu'il est vain de tenter d'assouvir. Et c'est forcément cause de toutes ces contestations entre les appétits mutuels qui s'entrechoquent dans des pièces au vif qui ne font pas de quartier aux plus faibles.
On le voit bien dans le théâtre élisabéthain, qui est une débauche de raffinement ourlé de formules grasses et vulgaires pour bien montrer la réalité la plus rude du monde, laquelle est assez écossaise avec des "r" roulés et grasseyants comme ceux d'un Gabin plus tard dans la banlieue. On s'y trahit sans retenue dans ce théâtre et sans ressource d'en survivre. Mais c'est une bonne école pour tout adolescent voulant encore croire en d'angéliques contes de fées, qui virent aussitôt en autant de nighthags manipulatrices des rois assassins de la vieille Englond.
Ce pendant qu'à Paris on persistera à montrer ce sourire de l'ange du portail gauche de la cathédrale de Reims. Dans les pièces du théâtre baroque qui sait jeter le théâtre dans le théâtre, comme le monde des Dieux dans la cour à Versailles. Et pour se moquer le plus souvent des granditeux et frimeurs les moins habiles, en d'autres termes, les moins aristocrates naturellement. Car même le roi se mettait en rôle, ainsi qu'il était en place centrale dans le public : exactement apposté au point duquel on pouvait voir toutes les perspectives de la scène comme dans un tableau à point central perspectif de la Renaissance. En revanche, sur les grandes places royales on pouvait voir sa statue équestre depuis le lointain des grandes perspectives radioconcentriques des routes, qui partaient en étoile depuis leur centre solaire.
La grande affaire des comédiens est qu'ils se mettent en rôle par vocation et pour vivre autant de vies qu'ils le pourraient dans une seule : depuis la vie du plus grand monarque alexandrin jusqu'à la vie du sage errant tel un clochard qui monte et descent l'échelle de l'évolution et sidérale. Ils apprennent des textes par coeur pour bien se laver d'eux-même dans leurs tripes de cerveau. Et l'on pourrait aisément penser que ça fait du bien d'être autrui pour un temps. Comme Rimbaud disait : "je est un autre" ou mieux encore : "la vraie vie est ailleurs". Car ainsi on se dépayse par force de nouvelle habitude et de créance qu'on serait un autre réellement, puisque "homologué" par un public qui vous reconnaît comme tel. Et que ça marche même lorsqu'on sait bien qu'un tel est sous le nouveau masque; parfois c'est le fils du père illustre.
Dans le théâtre de la modernité et ses décors fragmentés à la Lugné-Poë, tous les arts plastiques se conjoignent pour faire éclater le réel dans une sorte de vortex d'opéra total post-wagnérien et tantôt viscontien. A la pointe, les avant-garde du XXème siècle ont su tout redistribuer des cartes de la scène primitive et très raffinée des nouvelles contructions abstraites. La cruauté primitiviste d'un Artaud a poussé d'aucuns acteurs vers des passages à l'acte excessifs d'une résurgence cannibalique, plus originée que la catharsis légitimée par la "Poétique" d'Aristote. Il faut dire que c'était un siècle des excès en cruauté et du confort, mais tout ce qu'il y a de plus réservé à certains privilégiés de la rive gauche du monde soit l'Occident.
Et la scène s'est accélérée par le biais du cinéma et de la telly des mainstream médias. Assez pour que chacun d'entre nous puisse vivre autant de vies que de passages de films dans l'écran tout chaud sorti du four du théâtre. Imaginons le nombre de films et de vies vécues par procuration par un adolo incarnant le nouvel homme du XXème siècle, qui est greffé à son fauteuil devant sa telly, comme chacun le sait sans avouer en être.
Et c'est comme le dévoilement de la mise en abyme de ce qu'est le théâtre vraiment, en guise du sens de la vie des acteurs qui se mettent en rôle. N'y aurait-il pas là quelque réalisation des anciens ou très-antiques pouvoirs des sages védiques ou des premiers shamans, qui pensaient que l'homme saurait vivre plusieurs vies infiniment ?
Tout commes nous portons nos téléphones portables qui sont des façons d'organes prothétiques de fonctions quasi télépathiques et prophétisées par les textes et imaginations anciennes, les acteurs seraient des figures des dieux que nous sommes devenus au XXIème siècle : des persona qui transmigrent au gré des visions et des mises en rôles que nous vivons par le biais des acteurs qui les jouent pour nous. Finalement, ils seront bientôt numérisés en des apparences d'être parfaits dans lesquels nous projetterons tous nos fantasmes les plus animaux et divins, forcément conjoints dans l'inconscient et le préconscient qui siègent effrontément avec nous dans le sofa et qu'ils prennent toute la place.
Nous serions donc constitués de vies innumérables que nous vivons par le biais de la telly greffée à notre vision. Ce que le paysan médiéval ne se savait pas vivre ; hormis quand il entrait dans la cathédrale et qu'il voyait les vitraux historiés de lumières mouvantes qui savaient, par le biais des arts, donner la vie aux archétypes illustrés et forcément bibliques.
Par ainsi, plus que de restituer le réel, la mise en rôle se sait briser le réel et, dans le même temps, le multiplier en d'innombrables bulles du temps, semblables à ces "multiverses" que les astrophysiciens imaginent comme la structure ultime du monde. Nous serions perdus dans un coin d'un univers résolu où chaque potentialité serait vécue et jamais achevée dans une bulle du temps parallèle aux autres bulles des potentialités en reste.
Ainsi, y aurait-il quelque couloir du temps et de l'espace dans lequel Elvis Presley et Marilyn seraient encore vivants. Certes, je confirme que ce n'est pas dans notre couloir où nous sommes encore enfermés pour un temps. S'il n'y avait les acteurs et les actrices pour jeter sur le soyle de parterre les masques pipés de la réalité opaque.
Demian West
Par ailleurs, on comprend mieux qu'il s'agit, en quelque sorte, de mettre en scène la vie des Dieux, que l'on sait des archétypes invisibles. Et qu'il faut donc en faire toute monstration par des incarnations ou des émanations corporelles et des sens bien conformes au règlement en vigueur dans les Olympes ou les Paradis respectifs des cultures. Les Romains créaient ainsi des "lectisternes" ou des repas des Dieux dans leurs maisons. Ils r'assemblaient des statues modelées et peintes hyperréalistement dans des scènes orfévries de repas avec de vrais viatiques pour ces statues factices, auxquelles il ne manquait que la voix et les chansons à boire.
Au dehors, la pantomime était un art du simulacre et le masque de l'acteur était une "persona" d'où dérive certainement le concept de notre personnalité de surface. Depuis la psychanalyse et peut-être bien avant, on sait bien que cette personnalité cache mal un océan de désirs et d'appétence de vie qu'il est vain de tenter d'assouvir. Et c'est forcément cause de toutes ces contestations entre les appétits mutuels qui s'entrechoquent dans des pièces au vif qui ne font pas de quartier aux plus faibles.
On le voit bien dans le théâtre élisabéthain, qui est une débauche de raffinement ourlé de formules grasses et vulgaires pour bien montrer la réalité la plus rude du monde, laquelle est assez écossaise avec des "r" roulés et grasseyants comme ceux d'un Gabin plus tard dans la banlieue. On s'y trahit sans retenue dans ce théâtre et sans ressource d'en survivre. Mais c'est une bonne école pour tout adolescent voulant encore croire en d'angéliques contes de fées, qui virent aussitôt en autant de nighthags manipulatrices des rois assassins de la vieille Englond.
Ce pendant qu'à Paris on persistera à montrer ce sourire de l'ange du portail gauche de la cathédrale de Reims. Dans les pièces du théâtre baroque qui sait jeter le théâtre dans le théâtre, comme le monde des Dieux dans la cour à Versailles. Et pour se moquer le plus souvent des granditeux et frimeurs les moins habiles, en d'autres termes, les moins aristocrates naturellement. Car même le roi se mettait en rôle, ainsi qu'il était en place centrale dans le public : exactement apposté au point duquel on pouvait voir toutes les perspectives de la scène comme dans un tableau à point central perspectif de la Renaissance. En revanche, sur les grandes places royales on pouvait voir sa statue équestre depuis le lointain des grandes perspectives radioconcentriques des routes, qui partaient en étoile depuis leur centre solaire.
La grande affaire des comédiens est qu'ils se mettent en rôle par vocation et pour vivre autant de vies qu'ils le pourraient dans une seule : depuis la vie du plus grand monarque alexandrin jusqu'à la vie du sage errant tel un clochard qui monte et descent l'échelle de l'évolution et sidérale. Ils apprennent des textes par coeur pour bien se laver d'eux-même dans leurs tripes de cerveau. Et l'on pourrait aisément penser que ça fait du bien d'être autrui pour un temps. Comme Rimbaud disait : "je est un autre" ou mieux encore : "la vraie vie est ailleurs". Car ainsi on se dépayse par force de nouvelle habitude et de créance qu'on serait un autre réellement, puisque "homologué" par un public qui vous reconnaît comme tel. Et que ça marche même lorsqu'on sait bien qu'un tel est sous le nouveau masque; parfois c'est le fils du père illustre.
Dans le théâtre de la modernité et ses décors fragmentés à la Lugné-Poë, tous les arts plastiques se conjoignent pour faire éclater le réel dans une sorte de vortex d'opéra total post-wagnérien et tantôt viscontien. A la pointe, les avant-garde du XXème siècle ont su tout redistribuer des cartes de la scène primitive et très raffinée des nouvelles contructions abstraites. La cruauté primitiviste d'un Artaud a poussé d'aucuns acteurs vers des passages à l'acte excessifs d'une résurgence cannibalique, plus originée que la catharsis légitimée par la "Poétique" d'Aristote. Il faut dire que c'était un siècle des excès en cruauté et du confort, mais tout ce qu'il y a de plus réservé à certains privilégiés de la rive gauche du monde soit l'Occident.
Et la scène s'est accélérée par le biais du cinéma et de la telly des mainstream médias. Assez pour que chacun d'entre nous puisse vivre autant de vies que de passages de films dans l'écran tout chaud sorti du four du théâtre. Imaginons le nombre de films et de vies vécues par procuration par un adolo incarnant le nouvel homme du XXème siècle, qui est greffé à son fauteuil devant sa telly, comme chacun le sait sans avouer en être.
Et c'est comme le dévoilement de la mise en abyme de ce qu'est le théâtre vraiment, en guise du sens de la vie des acteurs qui se mettent en rôle. N'y aurait-il pas là quelque réalisation des anciens ou très-antiques pouvoirs des sages védiques ou des premiers shamans, qui pensaient que l'homme saurait vivre plusieurs vies infiniment ?
Tout commes nous portons nos téléphones portables qui sont des façons d'organes prothétiques de fonctions quasi télépathiques et prophétisées par les textes et imaginations anciennes, les acteurs seraient des figures des dieux que nous sommes devenus au XXIème siècle : des persona qui transmigrent au gré des visions et des mises en rôles que nous vivons par le biais des acteurs qui les jouent pour nous. Finalement, ils seront bientôt numérisés en des apparences d'être parfaits dans lesquels nous projetterons tous nos fantasmes les plus animaux et divins, forcément conjoints dans l'inconscient et le préconscient qui siègent effrontément avec nous dans le sofa et qu'ils prennent toute la place.
Nous serions donc constitués de vies innumérables que nous vivons par le biais de la telly greffée à notre vision. Ce que le paysan médiéval ne se savait pas vivre ; hormis quand il entrait dans la cathédrale et qu'il voyait les vitraux historiés de lumières mouvantes qui savaient, par le biais des arts, donner la vie aux archétypes illustrés et forcément bibliques.
Par ainsi, plus que de restituer le réel, la mise en rôle se sait briser le réel et, dans le même temps, le multiplier en d'innombrables bulles du temps, semblables à ces "multiverses" que les astrophysiciens imaginent comme la structure ultime du monde. Nous serions perdus dans un coin d'un univers résolu où chaque potentialité serait vécue et jamais achevée dans une bulle du temps parallèle aux autres bulles des potentialités en reste.
Ainsi, y aurait-il quelque couloir du temps et de l'espace dans lequel Elvis Presley et Marilyn seraient encore vivants. Certes, je confirme que ce n'est pas dans notre couloir où nous sommes encore enfermés pour un temps. S'il n'y avait les acteurs et les actrices pour jeter sur le soyle de parterre les masques pipés de la réalité opaque.
Demian West
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