Depuis deux semaines, tous dispositifs de modération sont testés sur AgoraVox, le journal citoyen. Tout d'abord, la direction a tenté d'imposer des modes de votes des commentaires qui font suite aux articles, selon des critères icôniques et en des termes aussi simples que frappants. Les modérateurs ont placé des pouces baissés ou levés afin que les lecteurs, qui le voudraient, puissent descendre ou appuyer le commentaire, en tant qu'ils le jugeraient pertinent ou impertinent.
Puis, on en vint à demander au lecteur qu'il dénonce les commentaires qui seraient hors-sujet. Mais, sans plus le recours aux icônes des pouces qui furent retirés.
Durant tous ces essais in vivo, des contributeurs se sont opposés à ces dispositifs qui leurs paraissaient des simulacres de votes, lesquels, selon eux, ne sauraient installer plus de citoyenneté par des biais si favorables à la constitution de votes hasardeux quant à leur représentativité réelle ; sinon de voir des votes groupés et orientés pour discréditer tel adversaire d'une idéologie quelconque.
Il faut ajouter, que les commentaires désignés, et jugés défavorablement par les lecteurs, sont masqués à la lecture. Bien que le lecteur garde toute liberté et moyen de les faire apparaître, comme l'indique le texte apposé en place du commentaire : "montrer le texte".
Ce dispositif devait, selon la modération et selon l'avis des contributeurs les plus favorables à cette forme de modération : limiter les intrusions dans le fil de lecture des commentaires, afin de rendre plus de lisibilité au texte et tout leur confort aux lecteurs du journal.
A la vérité : grâce à ce nouveau dispositif, on put lire plus aisément le fil des commentaires, malgré les suites de "montrer le texte" qu'il fallait sauter jusqu'à trouver, à nouveau, des propos en clair ou décryptés. Aussi, certains commentaires disparaissaient-ils pour réapparaître, selon les vagues de votations presque poétiques dans leur manifestations si mouvantes. Ce qui induisait aussi, que pour prendre réellement connaissance des commentaires, qui avaient été jugés favorablement même pour un temps très furtif : il fallait forcément tout déplier et tout lire. Aussi, un bouton avait-il été ajouté à cet effet.
D'ailleurs, des votes sur des commentaires qui atteignaient des "moins 30" ou plus : signifiaient bien, que ces commentaires avaient probablement été lus, même s'ils étaient cachés au lecteur passant et peu averti de ces nouveaux dispositifs de modération par le lecteur même.
En revanche, il est apparu, dès les premiers jours, un déséquilibre d'opinion qui manifestait ce qu'on pourrait nommer un vice de lecture même, dans le dispositif. Car, il menait à la lecture arbitraire et manifestement non-conforme à la vocation de cette modération citoyenne.
En effet, des commentaires indéniablement hostiles au monde musulman, sous toutes ses dénominations qu'il ne nous revient pas de déterminer, et sur un ton violent assez, atteignaient des scores si favorables, et donc défavorables à la culture musulmane, qu'ils induisaient des stratégies de groupes qui parvenaient à en imposer cette lecture intolérante.
A tout le moins, ces commentaires excessifs gagnaient-ils, ainsi, l'avantage manifeste sur les commentaires cachés qui s'opposaient au caractère incivil des propos non-repliés. Pourtant, ce déséquilibre fut amené par un dispositif de vote qui était à prétention "démocratique" dans ses termes mêmes. Et quand, les civilités et la loi considèrent que l'incitation à la haine et à la discrimination sont illicites et non-républicaines.
Il suffirait de parcourir le journal dans ses pages quotidiennes les plus récentes, pour que chacun y trouve ces commentaires non-modérés, malgré la nouvelle modération : pour que tous y constatent leur nombre et leur insistance, qui seraient indiciels d'un déséquilibre propice à l'arbitraire dans la lecture même qui est offerte. Et laquelle serait donc encline à orienter l'opinion dans un sens défavorable, par le fait.
C'est pourquoi, il nous semble nécessaire et nous suggérons que cet aspect de la nouvelle modération sur AgoraVox et donc sur le Journal Citoyen, et malgré les avantages confortables que ce dispositif aurait installés, puisse être débattu, à nouveau, et réparé le cas échéant dans son vice qui ne saurait point faire une citoyenneté si évidente.
Demian West
Puis, on en vint à demander au lecteur qu'il dénonce les commentaires qui seraient hors-sujet. Mais, sans plus le recours aux icônes des pouces qui furent retirés.
Durant tous ces essais in vivo, des contributeurs se sont opposés à ces dispositifs qui leurs paraissaient des simulacres de votes, lesquels, selon eux, ne sauraient installer plus de citoyenneté par des biais si favorables à la constitution de votes hasardeux quant à leur représentativité réelle ; sinon de voir des votes groupés et orientés pour discréditer tel adversaire d'une idéologie quelconque.
Il faut ajouter, que les commentaires désignés, et jugés défavorablement par les lecteurs, sont masqués à la lecture. Bien que le lecteur garde toute liberté et moyen de les faire apparaître, comme l'indique le texte apposé en place du commentaire : "montrer le texte".
Ce dispositif devait, selon la modération et selon l'avis des contributeurs les plus favorables à cette forme de modération : limiter les intrusions dans le fil de lecture des commentaires, afin de rendre plus de lisibilité au texte et tout leur confort aux lecteurs du journal.
A la vérité : grâce à ce nouveau dispositif, on put lire plus aisément le fil des commentaires, malgré les suites de "montrer le texte" qu'il fallait sauter jusqu'à trouver, à nouveau, des propos en clair ou décryptés. Aussi, certains commentaires disparaissaient-ils pour réapparaître, selon les vagues de votations presque poétiques dans leur manifestations si mouvantes. Ce qui induisait aussi, que pour prendre réellement connaissance des commentaires, qui avaient été jugés favorablement même pour un temps très furtif : il fallait forcément tout déplier et tout lire. Aussi, un bouton avait-il été ajouté à cet effet.
D'ailleurs, des votes sur des commentaires qui atteignaient des "moins 30" ou plus : signifiaient bien, que ces commentaires avaient probablement été lus, même s'ils étaient cachés au lecteur passant et peu averti de ces nouveaux dispositifs de modération par le lecteur même.
En revanche, il est apparu, dès les premiers jours, un déséquilibre d'opinion qui manifestait ce qu'on pourrait nommer un vice de lecture même, dans le dispositif. Car, il menait à la lecture arbitraire et manifestement non-conforme à la vocation de cette modération citoyenne.
En effet, des commentaires indéniablement hostiles au monde musulman, sous toutes ses dénominations qu'il ne nous revient pas de déterminer, et sur un ton violent assez, atteignaient des scores si favorables, et donc défavorables à la culture musulmane, qu'ils induisaient des stratégies de groupes qui parvenaient à en imposer cette lecture intolérante.
A tout le moins, ces commentaires excessifs gagnaient-ils, ainsi, l'avantage manifeste sur les commentaires cachés qui s'opposaient au caractère incivil des propos non-repliés. Pourtant, ce déséquilibre fut amené par un dispositif de vote qui était à prétention "démocratique" dans ses termes mêmes. Et quand, les civilités et la loi considèrent que l'incitation à la haine et à la discrimination sont illicites et non-républicaines.
Il suffirait de parcourir le journal dans ses pages quotidiennes les plus récentes, pour que chacun y trouve ces commentaires non-modérés, malgré la nouvelle modération : pour que tous y constatent leur nombre et leur insistance, qui seraient indiciels d'un déséquilibre propice à l'arbitraire dans la lecture même qui est offerte. Et laquelle serait donc encline à orienter l'opinion dans un sens défavorable, par le fait.
C'est pourquoi, il nous semble nécessaire et nous suggérons que cet aspect de la nouvelle modération sur AgoraVox et donc sur le Journal Citoyen, et malgré les avantages confortables que ce dispositif aurait installés, puisse être débattu, à nouveau, et réparé le cas échéant dans son vice qui ne saurait point faire une citoyenneté si évidente.
Demian West
2 comments:
«mini-spam» ---> SÉPARATISME EN EUROPE
--- Il y a plusieurs IDIOTS... que ne comprennent pas ceci: n'existe pas aucune invasion!
--- Une Invasion est une action hostile!...
--- Ce qu'arrive en Europe c'est... une Gestion de l'entrée des immigrés... pour que les personnes marche dans le 'Jouir-Parasite'... c'est-à-dire, la majorité des Européens [... le 'Parasite-Blanc']:
-1- ils prétendent jouir main d'oeuvre servile immigrée à 'prix de la pluie';
-2- ils prétendent jouir l'existence de personnes qui payent les Pension de Retraite [ malgré... ils ne constituer pas une Société où se procède au Renouvellement Démographique!!!]
--- Ne soyez pas des IDIOTS!!!
--- Le chemin à poursuivre... n'est pas 'Lécher-les-Bottes' à la majorité des Européens!...
--- Le chemin à poursuivre... c' est le SÉPARATISME ETHNIQUE AUTOCHTONE (la division des pays):
[... avant c'est tard excessivement... ]
1) un espace (50%) de Concurrence Globale (pour les 'globalisation-Lovers');
2) autre espace (50%) de Réserve Naturelle : pour la conservation des Identités Ethniques Autochtones.
{{voir : separatism-50-50 }}
REMARQUE : Pour le 'Parasite-Blanc' (la majorité des Européens) "les mauvais" sont tous ceux qui se opposent à le 'Jouir-Parasite'...... en conséquence...... il est INTOLÉRANT envers l'existence d'États Ethniques -> pour la conservation des Identités Ethniques Autochtones.
Post de Falloujah sur Agora
Soutien à Démian West
Je demande à tous nos Amis sur chaque article posé de poster un mot de soutien à Démian West par solidarité, et marquer par ce fait notre forte désapprobation, quant à l’éviction, et l’interdiction qui lui est faite, de poster des commentaires non seulement nous subissons la censure éditoriale" par des refus de publications dont les arguments eu égard à la qualité des articles proposés, se ridiculisent par eux mêmes" mais de plus, l’emblême même D’agora vox notre Démian west au pinceau plumitif fort talentueux est interdit, lui qui n’a jamais tenu de propos allant à l’encontre de la politique éditoriale prônée par Carlo Revelli, mais qui s’est insurgé, et à juste titre sur la nouvelle politique de notation et de délégations de censures qui ne profitent qu’à l’arbitraîre.
Cette insurrection à laquelle je m’associe par solidarité et conviction envers mon Ami Démian West.
Falloujah
Post a Comment