Sunday, December 30, 2007
Après la drogue, Linsday Lohan addict du sexe
Les peoples américains souffrent plus que les couples présidentiels français. Jugez-en ! La starlette Lindsey Lohan vient de sombrer d'une dépendance vers une autre addiction, qui fait des gorges chaudes aux Etats Unis, et même un deep throat par aventure de Presse. Parce que le petit copain de l'actrice, "blondée" à l'hélium, vient de balancer le tout-cash sur "News of the World".
Ils se sont rencontrés pendant une cure de désintoxication à la coke, et non loin des chaînes de la poudreuse de l'Utah où l'on glisse bien. Si bien, que dès la cure qu'on dira achevée, ils montrèrent leurs culs et queues de lapins fuyants, pour assouvir leurs pulsions libidinales qui ravagèrent le premier hôtel planté là par d'antiques pionniers très chrétiens.
Dans le tabloïd, le bad boy Riley Giles s'épanche en des récits d'un halluciné de la love et du cinoche quasi X. Car il raconte des trucs à l'éclate qu'aucun dragueur, même parisien, n'oserait tonitruer et juste pour la frime. Oui ! Lindsay et Riley ont pratiqué l'art de la chambre à coucher, comme si leurs courtes vies en dépendaient, à la fin du concours du meilleur quantième baiseur. Et que ça aurait duré des nuits entières, après le jour, forcément, qui était du même labeur tout pareil. Riley raconte des quatre fois à l'ensuite et sans se fatiguer. Tant l'adrénaline et toute la boutique des endorphines furent dévalisées par ces requins de la love, toutes dents dehors de leurs mâchoires d'or de la libido.
L'hôtel ne tint que par le tremblement. Et à la fin de cette sauvage literie, ils voulurent et se marier et vivre la vie entière genre spousa... Et publier tout ça dans les revues people, comme il convient quand on sait bosser du dur.
Il reste qu'on devine, et c'est le propos de l'article dans "News of the World", que Lindsay aurait soigné sa dépendance à la cocaïne, et 'autres opiacées baudelairiennes, par un usage répété des orgasmes pour remplacer la pointe des états extatiques frauduleusement offerts par la dope. Tant et si bien qu'il lui fallait sa forte dose, et crescendo jusqu'à l'overdose du Riley, qui ne tint plus entre ses coups de reins, et tout pour rien à la fin. Car elle le plaqua tout net, quand il fut épuisé et retourné à la poussière genre morte poudre.
Il fut très déçu par le retour en ville de Lindsay, et parmi ses vieux démons du cinoche. Où Riley Giles n'était certainement pas mis en rôle, car totalement inconnu et sans talent, hormis s'il voulait tenter un truc du genre scénariste de fiction porno. Autrement dit des terminaisons, il se fâcha tout couette, et alla tout dire à la première revue du Monde sur le net, peut-être pour la tune aussi.
Désormais, il se lamente sans fond et erre dans les rues du shopping trashy. Car il a perçu, et avant tout le monde en raison de la grande intimité qui le lie à Lindsay, qu'elle avait tourné à nouveau sa dépendance, mais vers les excès d'achats et toutes dépenses. Elle serait, finalement, tombées d'une dépendance à la cocaïne vers une addiction au sexe galopant et stroboscopique en boîte d'Inuits, et pour finir accoutumée au shopping, qui achève de mettre sa vie à sac mais de grande marque. On se rassure comme on peut, en cette fin d'année extatique du pussy très buzzy.
Demian West
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