D'arrivée on se demande si les forums les plus indigestes ont été constitués volontairement, par quelque main directrice et pâtissière. Autrement dit, les concepteurs du site gèrent-ils Agoravox, les pieds dans le plat ? C'est peu probable, comme un coup de bol de la chance qui ne choisit pas où elle nuke tous les cinquante ans.
Car, il y faut, à ces forums, des tribus incontrôlables qui crèchegrottent aux marges de la dicte Citée, c'est-à-dire par-delà les zones d'abattage coquin du périph. Là on y trouve des islamistes de circonstances, soient de bon parisiens de la Chic'Polit qui aiment à porter des tissus tirés dedans la malle des Indes. Aussi des catholos pas modos mais tantôt z'homos et tout ce qu'il y a de plus planqués derrière la fiole du vin de masse, qui coule à flot et des tornado paquebots de l'adversaire désigné autant qu'inventé sinon fantasié.
Dans ce jeu forumique des fourmis de la toile, il y faut attirer ces volailles par quelque article creux du feu aux poudres. Genre la laïcité ce qui est raison suffisante. Il y faut r'ameuter à l'ensuite des viokchos rédacs très dac-o-dac et réacs (c'est facile mais c'est comme ça) . Et surtout qu'on n'a pas besoin de les r'ameuter, puisqu'ils y courrent tous seuls. Et parfois, on y entend même des Patrick Adam revenir d'entre les pas-tout-à-fait-morts.
C'est une donnée dedans le Peuple Fraouncien Flour-de-lice, que la castagne le réveille souventes fois, comme pour la love la plus embesognée. C'est dire que ces gens se toltchokent razedraze et qu'ils se jettent des noms d'archéoptéryx, mais tout ce qu'il y a de plus savamment dégueux-sur-eux. Ce pendant qu'ils savent s'attacher les uns aux autres, comme les pires renards accoués par toutes queues. Si que lorsqu'un d'entre les belligérants manque, ils en sont tristes comme les compères et commères à la fin de la fable du fabuleux.
Certes, ils exagèrent et forcent le trait merdskoï qui est la massue de notre préhistoire du net, où nous nous débattons des troncs. Et le point godwin s'y espace comme une tache lente du goudron qui enlisa les sauriens très antiques. Plutôt qu'on y verrait encore ce minable Check Point Charly de la syphilisation qui pensait avancer. Puisqu'il n'y a plus de mur, et depuis l'attaque du violoncelle de Rostro Nomo.
Bientôt c'est la mêlée de l'équipe qui sait perdre à coup sûr la coupe du Monde de rug bits. Vitement, les têtes à pseudo tombent si détranchées par des avatars qui peuplent les assemblées refoulées du chomdu qui logenttrouillent dans des galetas qui n'ont pas vus de dévochka en nuisette, depuis 1830 qui fut l'année de la grande névrose sexuelle.
Quand on est pauvre ou à la retraite il faut bien passer le temps de la Bérézina, quand on n'a que ça de toile comme collier de sa vie de chien. On notera, que ces parliers des brâveries hâtives tiennent un langage assez recherché, tantôt dans les dico-des-nerfs et tantôt dans les poubelles plus achalandées. Surtout dans les régions du Nord de la France, qui poussent ores et ores à rester au chaud chez soi près de ses études des étiquettes de pinard qui sont de bonnes lectures et de gravures des Relais et Châteaux. Mais point de caviar dans la cave yard.
Mieux encore, on réclame à la mitan du jeu sacré, le jet de troll hors du pourpris des lices. Et quand la nouvelle mouture agoravocienne replie le commentaire du troll et qu'elle sait cacher, dans le même temps, le pict du troll, et bien, on ne le replie plus tant. Car ce qui plaisait le plus outrement dans l'ancienne version d'Agoravox, c'était de voir la tronche vonante et gloupide que faisait le replinicky dont on avait cloué le bois du beclapin. Pour ceux qui ne sauraient pas ce qu'est un troll, il leur suffira de lire les glossy covers sur les saillies de votre serviteur de sa luxuriante splendeur.
Aussi, le chat du nouvel Agoravox a-t-il été inauguré par zéro participant, quand il fut abondamment réclamé comme la planche à billets du salut de la salubrité publique et oblique. Car ces gens-là qui participent ne savent pas ce qu'ils veulent, et plus étrange et fantasié encore, on ne les voit nulle part ailleurs que sur Agoravox qui est le suprême postrême indéfinissable et indicible.
(Par soucis de protection des familles je n'ai pas cité de nom des personnes massivement visées par ce texte novlangagier post-dalinien et pré-Empirenétique. Pour information des meilleurs : Zara Whites est en vacances en Hollande où elle évangélove karacho les grands moulins à frime et les bolche polders malins. Enfin, Quitterie Delmas a su mettre à genoux tout le théâtrum politicon sur Frantenne 2, où elle a explosé la caméra perso de l'audimat en se taisant la plupart du temps avec ses yeux pers d'Athéna-nous-voilà)
Demian West
Saturday, December 15, 2007
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