Tout d'abord : Nul ne saurait apprécier un jugement, sans avoir en préalable pris une connaissance complète du dossier "Denis Robert/Clearstream". Ce à quoi, seuls les avocats et donc les parties adverses elles-mêmes, puis ultimement les juges sont les seuls autorisés à le faire.
Tout le reste ne serait que dissertation à propos de l’homme qui aurait vu la fusée de la comète...
Toutefois, on me permettrait encore de dire, que je trouve, dans le débat dépité -- qu'on put lire dans "AgoraVox" autour de cette décision dite "incompréhensible" -- qu’on y confondrait aisément : la justice en tant que technique contractuelle entre intérêts divergents et la Justice Divine qui est éthique et insoupçonnable.
Aussi, qu’on confondrait: Une opinion que chacun est en droit de se constituer à l’aide de toutes sources, comme il voudra, et les débats des décisions de Justice qui se font en des recours multiples et gradués: Quand on les poursuit en appel puis en cassation, et enfin d’aller devant le Juge d’exécution des peines qui recule encore l’échéance.
Vrai aussi, que la justice est une technique qui peut être utilisée comme une arme par une partie adverse. Et la procédure est souvent le plus éprouvant préjudice, comme on peut s’en rendre compte dans le cas de Robert. Mais, ce sont les risques de son métier dont il avait certainement pris connaissance avant d’écrire.
Toutefois, cette conception technicienne de la Justice voudrait dire aussi, que cette décision de Justice ne signifie pas que Robert aurait tort et qu’il serait teinté de quelque immoralité ou déchéance morale, mais que: force fut au Juge de constater que le dossier de la partie adverse était plus solide que le dossier de Robert. Peut-être est-ce aussi raison de ce jugement exécutoire.
Pour autant, l’affaire n’en est qu’à son début et donc sera-t-elle jugée à nouveau. Et sans jamais que nos considérations, aussi affectueuses et sentimentales qu’elles seraient véritablement, ne sauraient bouger un tant soit peu l’air des tribunaux qui inspire les Juges en haut-siège présupposé incorruptible.
Demian West
Tout le reste ne serait que dissertation à propos de l’homme qui aurait vu la fusée de la comète...
Toutefois, on me permettrait encore de dire, que je trouve, dans le débat dépité -- qu'on put lire dans "AgoraVox" autour de cette décision dite "incompréhensible" -- qu’on y confondrait aisément : la justice en tant que technique contractuelle entre intérêts divergents et la Justice Divine qui est éthique et insoupçonnable.
Aussi, qu’on confondrait: Une opinion que chacun est en droit de se constituer à l’aide de toutes sources, comme il voudra, et les débats des décisions de Justice qui se font en des recours multiples et gradués: Quand on les poursuit en appel puis en cassation, et enfin d’aller devant le Juge d’exécution des peines qui recule encore l’échéance.
Vrai aussi, que la justice est une technique qui peut être utilisée comme une arme par une partie adverse. Et la procédure est souvent le plus éprouvant préjudice, comme on peut s’en rendre compte dans le cas de Robert. Mais, ce sont les risques de son métier dont il avait certainement pris connaissance avant d’écrire.
Toutefois, cette conception technicienne de la Justice voudrait dire aussi, que cette décision de Justice ne signifie pas que Robert aurait tort et qu’il serait teinté de quelque immoralité ou déchéance morale, mais que: force fut au Juge de constater que le dossier de la partie adverse était plus solide que le dossier de Robert. Peut-être est-ce aussi raison de ce jugement exécutoire.
Pour autant, l’affaire n’en est qu’à son début et donc sera-t-elle jugée à nouveau. Et sans jamais que nos considérations, aussi affectueuses et sentimentales qu’elles seraient véritablement, ne sauraient bouger un tant soit peu l’air des tribunaux qui inspire les Juges en haut-siège présupposé incorruptible.
Demian West
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