Thursday, May 25, 2006

Neuves pensées impensables de Demian West dans la presse du proNetariat



Demian West picks up girly Castin'

à un drouguie qui a vu Laetitia Casta shoper des livres en ville...

Je suis frustré à mort par votre article, quand je déplore que vous n’avez même pas tenté de causViter avec elle, un malenky petit peu...

Ca devait être la tzarrible tempête dans votre tête de gulliver. Mais franchement, votre article me donne l’effet d’une annonce d’un super-match de foot qui se solderait par un match-nul genre rien-du-tout. Surtout que je ne regarde jamais de foot: c’est dire que vous m’avez creusé l’inconscient des vieilles libidos et sans me coller un but du fond bien qu’il ait des filets partouze.

J’aurais préféré que vous nous racontiez votre dernière drague et en ses suites favorables, que j’aurais trouvées plus fameuses ou célèb’, voire people, plutôt que cette histoire de cinoche à grosse caisse avec ses gros souliers à talons emmi (parmi en vieux françois dragueur) la grosse coupure genre: coupez!

Mais c’est juste mon avis de lecteur qui aime lire de belles histoires avec des détours zoum zoum bézoumnis et surprenants.

Je n’ai pu vous commentater hier, car, j’étais pris par tous mes endroits les plus chers: jugez-en. En patientant pour un rendez-vous d’affaires artis’, j’ai pu jouer une dizaine de parties de babyFoot des veilles cantines, avec une top-modello qui boss avec van soi-même. Et, franchement c’était un gouffre d’érotisme vésuvien genre l’Etna fâché, quand elle marquait dans mes filets et que ça critchait plonk’, et que polit’ retenuement, j’allais lui chercher la balle pour remettre ça.

Et en plus elle aimait surtout ma façon de faire tourner mes p’tits footballeux, et nous somme convenus d’ensemble que le flipper ça doit être pas mal du tout aussi, pour des intellos genre artis’...

Demian West th'ClearString Affair

à un journalitoyen qui a vu plein de morts, jetés par la fenêtre et les volets sinon du viokcho cancer, autour des marchés des frégates dans les clairs streamy...

Comme tu peux t’en douter, puisque tu es maître ès-enquêtes, je suis un grand lecteur des aventures de Sherlock Holmes. Et, en suivant sa méthode hypothético-déductive, il devient clair, comme le plus duit des stream, que c’est la faute: d’une part, de l’attraction terrestre qui ne pardonne pas quand on excède ses étages, et d’autre part, aux rayons chimio-trèsRapides. Et incidemment, aux volets qui nous roulent trop par les temps qui frégatent.

J’espère que tu n’auras pas quelque pulsion du casino, à tenter l’escalade de la face nord de ton appartement, ni de tenter d’huiler tes volets paraventure, non-plus que de gagner un week-end si paradisiaque que définitif sur les sites du médecine-man dompteur de crabes & cobras, ces jours proches: car ce serait plus que de la gourmandise, ce serait gastronomique genre la grande bouffe organisée par les services tout ce qu’il y a de plus discrets...

DW Yuro WizVision

à propos du prix de l'Eurovision trash assez cette année et présentés par Micky Drucker des anti-rollin'stona...

De toutes les façons, ce n’est pas Michel des vieilles familles des Drucker que vous voyez à la tivi-foot des salons, mais bien son cloneBrethren.

Car l’original a été momifié dans les ateliers du Kremlin, par les suttle spécialistes qui ont bien-conservé le drouguie Lénine des vieilles stalina, dans le formol des plus sûrs Gogols.

Plus simplement: la zone des nano-cortex, du starrie Micky’, qui est en charge de ses réparties karacho gavaritées au débotté classy, n’est pas encore au top-des-modellos. C’est ce qui lui donne cet air viokcho et un peu du temps d’avant le plastique... qui était plus lent que Nowadaies.

Demian West de la SouissGeneva

à un comentActor raciste qui ose critiquer l'art contemporain de nowadaies...

Joint: le comentActor Scipion des vieilles adolfiques très fâchées qui fait oeuvre malgré van lui-même: d’art contemporain mais surtout des contemporains merdskoïs.

Ce qui est désormais manifeste: c’est que tous ceux, dont vous parlez en liste si bien-documenteuse, s’expriment publiquement, alors que vous n’oseriez pas dire le plus petit slava de votre gueuloir en presse des foules: En public et à découvert.

Car, le Scipionique forlongé nuit à la santé, quand on en a un lopin.

Genre gravure à l’acide des nitriques-matraqueuses électriques et franchement pétochardes.

Slutement

DW th'BigBroth'Translator

La traduction d'après le dico-des-nerfs de DW ...

Traduction à l’usage des bien-entendants.
Scipion (qui se donne son propre genre mal-propre),

J’ajoute: le commentateur actif Scipion qui est manifestement réactionnaire, si qu’il fait oeuvre malgré lui: d’art contemporain mais surtout pour nos contemporains les plus mesquins et misérables.

Ce qui est désormais manifeste: c’est que tous ceux, dont vous parlez en liste si bien-documentée — mais uniquement pour servir votre propos — s’expriment publiquement. Alors que vous n’oseriez pas dire le plus petit mot de votre harangue face à la foule: soit en public et à découvert.

Car, le Scipion insistant nuit à la santé, quand on en a un peu.

Comme le fait la gravure à l’acide nitrique qui cogne comme une matraque électrique dont jouent surtout les faibles plus anxieux.

Cochonnement

DW sert les services discrets

Sur le même sujet du royaume qui n'en est pas un : ni sujet ni royaume...

Chers collés acoués par toutes queues,
Pour une fois der-des-fois: soyons mal-honnêtes.

Reconnaissons ce qui apparaît dans cette suite artificières de commentaires arti-fessiers si révulsés de bonheur, mais tout ce qu’il y a de plus retenuement et polit’.

Nous sommes tous et d’ensemble, comme qui dirait, passés à travers le toit: tellement c’est bon que l’Eurovision se soit explosée en plein vol. Car, elle tournait depuis trop longtemps dans ses approches aéroportées, par très mauvais temps... et gros en plus malgré son régime chwouette-vacher...

Maintenant, il ne s’agit que de convenir, du plus important à dégager de ces événements cas-taudiques: il serait question de déduire l’âge du capitaine, vu qu’il se flinguait à coup de seringue d’extrait de puma addict aux barbus-turques, depuis des carlingues du temps qui tourne tictac tictac.

Moi je pense qu’il avait au moins sept des siècles, genre patriarche vétéro-testamentaire qui cumulait les spousas et leurs copinettes ancillaires.

Encore un bon-coup du Gode-Da-Vinci des neuves conjouissances, orfévri par Dan'Michet Drucker.

Autrement dit des terminaisons à laser: Que cettui qui n’a jamais zappé, me jette la première madeleine.

DW on th'Billard

à un drouguie qui me remercie d'avoir fait la diagnose FreudChienne de Scipion...

Oui! je regrette un peu, car c’est dur d’opérer tout-de-suite une âme si sensible et meurtrie de Scipion.

Mais, j’avais tous mes outils et scalpels dehors, et j’ai fait ça selon les soviets du Doc'Luv’Cigar Freud, qui conseillait la psychanalyse sauvage même sauvageonne un peu.

Et si je vous dis que j’ai fait ça pour aider la société... vous ne vous moquerez pas genre me gronder l’hypocrite?

DW artis'hits th'Cash

à un pseudo-éditeur qui casse le droit d'auteur pour le cash vitement tout-pour-lui...

Vous aussi, vous entrez dans ce bal tragique: de ceux qui parlent au nom des artis’ sans en être partie.

Vous nous faites l’effet de grands frères qui ne laissent aller leur petite soeur que du bout des ongles, vers leur petit buddy genre copain. Tellement vous infantilisez des catégories que vous ne re-connaissez pas.

Le présupposé est infantilisant et donc inadmissible. Occupez-vous donc de prospérer dans vos affaires, plutôt que de disserter sur les nôtres, dont nous savons nous occuper seuls: dans la société de Marché qui réussit aux meilleurs.

Cessez-donc de faire les pleurards pour nous. Vous nous porteriez un certain tort, en tentant de vouloir notre bien, alors que nous ne vous demandons rien du tout de rien néantNoughtNichevo.

DW the Fox in th'NetBox

au même qui osa médire du Grand La Fontaine des vieilles escolioses...

Vous pensez le terme "affaire" peu compatible avec le mot "artiste". Et donc, vous nous dites-là, le plus clairement, la façon dont vous envisagez de traiter les auteurs de votre catalogue, quand il sera bien parfourni, et tout pour vous enrichir.

Il vous suffira de bien-dire à vos artistes et poulains: que les "affaires" c’est pas bien, et l’argent encore moins, si presque sale.

Comme vous avez pris la leçon des maîtres du capital, qui ont tous commencé petits et charmants comme vous: tout droit issu du Paradis des arts véritables.

C’est un vieux coup de la pseudo-morale des maîtres du capital: de dire que l’argent est sale pour que quelques naïfs y croient, pour qu’ils le délaissent aussi vite dans le pur esprit de chevalerie, qui est surtout l’esprit de se faire blutter ou se faire avoir. Ce pendant que le maître fédérateur se goinfrera des bénéfices qu’ils lui ont abandonné comme un montjoie.

Relisez La Fontaine et son rusé animal qui sait renauder. Il y en a d’autant sur le net, pour-sûr.

Demian West luvs th'in-law

à un passant qui paume rien à la lingua Demiana du foutur...

Comment pourriez-vous apprendre de moi en ne comprenant pas le sens de mes propos et de mes attitudes liées?

Peut-être en méditant sur l’agacement que vous ressentez : si qu’une chose vous paraîtrait neuve et étrangère comme inattendue dans votre monde, que vous pensiez connaître si bien. Et qu’il serait peut être tantôt si différent.

Pour les horaires de ma plus muette splendeur: sachez que je ne me tais qu’en présence de mon avocate en son alcôve studieuse.

Demian West Gode Da Vinci

à une bonne âme paffée de bonnes intentions meurtrières, mais tout ce qu'il y a paraventure...

Tu es l’ange tombé du ciel, et qu’il rêve tout-éveillé genre j’écris deux trois petites histoires et je vais gagner à la roulette du casino de l’enfer...

Je ne voudrais pas être là, quand tu apprendras dans quel monde tu as été jeté et où nous sommes, genre la vacillité tombe sur le dur.

En attendant cette seconde de vérité, tu as tous mes encouragements.

J’espère qu’on t’a au moins informé que nous tombons malade tantôt, que nous vieillissons certainement, et qu’à la fin nous mourrons et pire encore: sans l’avoir voulu.

Remarque vu comme ça: il ne reste que le rêve: C’est quand qu’on recommence...

Demian West Dark Stuff Publisher

encore des nouvelles nouilles du pseudo-éditeur qui brûle ses auteurs...

Et dire, miniJack, que dans les "gens qui posent au-dessus de leurs moyens", vous avez poussé-fourré tant que vous le pouviez le plus grand La Fontaine. Cettui que chaque enfant du CM2 apprend pour la vie, par coeur, et qu’on donna tantôt à la Comédie Française, dans les sublimes décors de Wilson: que du banal et du trivial de la misère littéraire que vous déplorez, pour la grande prospérité de vos catalogués. On devine aisément la suite de leur notoriété dont vous les préservez comme du gain si caca-boudin...

Vous vous dites mini, peut-être pour bien escacher votre trop haute opination de vous-même, et qu’elle vous écrase comme la grenouille éclata tout son ballon par-devant la grande bête à corne.

DW Business Theatrum

à un Che qui voulait réconcilier les artis et les téléChargez genre pirates du net...

Il est un point obstiné dans vos discours, qui vous englue dans des espoirs vains. Je veux parler de ce présupposé que les artistes seraient de la chair-à-contrôler, ou à ranger dans une boîte propre-en-ordre.

Quelle idée saugrenue et neuve! tellement elle a été éreintée, depuis que le monde s’en est déjeuné, il y a longtemps.

Celui qui voudrait ranger les artistes, ne gagnera qu’à vieillir avant l’âge tellement y a du massyBoulot.

Nul n’y parviendra jamais. Et si vous fréquentiez plus et mieux les artis’: vous le sauriez sans laisser aucun doute dans les coulisses de votre esprit qui y tient quand-même si qu’il s’accroche et glisse. Et, vous voir fabuler sur la comète comme un Cyrano -- qui a certes du panache mais tout pour le théâtre et ses illusions d’effets -- est trèstout plaisant mais pour le fun et jamais pour les affaires qui continuent...

...Si bien que la pièce que vous donnez se joue le temps de l’entr’acte...

Demian West th'Buzzzzzzzzzz...

nous donnions encore des nouvelles des niouzes nouilles...

Quand vous traitez des questions qui voudraient concilier les téléchargeurs et les artistes: personne ne répond ou commente.

Car vos amis, se fichent totalement de la source de leurs jouissances artistiques. Les artistes sont jetables dans leur esprit de consommateurs. Voilà la vérité crue, telle quelle!

Il sont les néo-microKapitalistes et c’est tout. Ceux-là-mêmes qui veulent tout pour rien, et tout-de-suite, sinon c’est la guerre...

Comme une maîtresse-furie disait à Auguste: "soit tu me baises, soit c’est la guerre..."

Sur le net: on ne ment pas c’est le flux-cash-now!

Et pendant ce temps je buzzzzzzzzz...

DW a friendly girl request

à un pirate du net qui menace de boyCoder les artis' de la misère...

Et bien: en lieu de le dire il serait plus explicite que vous le fassiez, et donc que vous cessiez d’acheter: pourtant c’est l’inverse qui se produit et tous les jours qu’ils vous contredisent. Car, il y aura toujours des acquéreurs au vrai prix, qu’on doit mettre pour faire l’acquêt de la qualité... Les autres déflationnistes ne nous intéressent guère, car ils s’affament d’eux-mêmes jusqu’à leur misère qu’ils tentent de nous imposer en système d’échange: pourquoi-pas le troc bientôt.

DW maketh luv'sights

la réponse du disquaire à la téléChargère...

La seule solution que j’estime souhaitable: serait que vous lâchiez la grappe aux artis’ qui savent tirer leur meilleur vin, sans votre concours.
Et l’affaire est close.

DW talk'Designer

à une damozelle qui causVite de design sans vraiment savoir les desseins...

J’en suis désolé pour vous, mais comment pouvez-vous dire cette énormité designesque, qu’avant 1966, les revues d’art ne parlaient pas de design.

Alors que le design existe, depuis les années 20 du Bauhaus, et que des revues d’art on été constituées autour de ce phénomène en soi. A tel point, qu’il a donné tout l’objectal de l’architecture et de l’art contemporain du XX siècle.

Vous retardez des siècles: le XXème.

Plus encore: le principe même en avait été annoncé par Victor Hugo à l’Assemblée quand il parlait des graphismes de Dromard, qui avait illustré le "Portefeuille" de Vaucanson.

C’est bien de vulgariser, mais encore faudrait-il enseigner dequoi nous parlons...du design qui est un des arts plastiques. Mais est-ce seulement votre matière?

S’il suffisait de dire que la photo est devenu un art au début du XXè siècle, quand tout fut dit, alors qu’elle a été inventée dans les années 1830, et juste pour dire un propos qui paraîtrait plus crédible: on n’en tromperait pas moins.

DW disegno design now sign

à la même en plus clair encor' mais tout c qu'il y a de plus gentleman ...

Votre article est de la contre-information an-historique.
Le design a été inventé par Walter Gropius, avec Paul Klee et Kandinsky... un architecte et des artistes...dans les années 20.

Et pour produire des objets à moindre prix, pour tous, et des oeuvres de beauté.

Donc, prétendre que le phénomène de la démocratisation serait récent, et que c’est la rareté qui a fait l’art de l’oeuvre de design, récemment: est une expression soit de l’ignorance soit de la mésinformation, sinon de la désinformation.

Vous avez carrément zappé toute la période historique du design. Et je pense que vous avez mal saisi les propos de vos connaissants et référents, car je ne sache pas que vous ayez découvert le design, bien que vous affirmiez avoir découvert sinon fait un grand designer qui était "inconnu", de vous certainement.

Votre discours est donc en rupture avec ce qui est communément et légitimement admis dans la transmission de cette matière.

Aussi, permettez que le lecteur entende ce design-là.

DW girly design infinite legs

encore une couche de peinture genre vernis hard-rock-metal du design...

Comprenez-moi. Il y a certainement deux niveaux de communication au sujet du design. Et, tantôt un spécialiste dira le phénomène tel que le public le perçoit. Et donc, il le dira dans une façon moins conforme au phénomène du design tel qu’il fonctionne en coulisses: mais plutôt sous l’angle de l’effet de mode qui le rend public.

C’est pour cette raison que je n’expliquerais pas plus à J..., pour quelle raison on a décidé de la naissance historique du design autour du Bauhaus: et avec raison.

Pourquoi ne dit-on pas tout du design? car chaque entreprise qui crée des objets du design, a déjà tout un catalogue des formes à venir. Qui seront lancées selon des vagues de modes successives, pour stimuler l’achat.

Mais tous les designer savent que, depuis le début, tout avait été dit. C’est pourquoi la "DS" était un modèle si achevé d’arrivée, et qu’elle semble encore futuriste aujourd’hui. Je veux dire que la notion de progrès en design, est toute factice et qu’elle est juste-là pour induire qu’il y a nécessité d’acheter pour être dans le coup.

Comme le design sait user des polymères, pour induire tous matériaux naturels mais sur le mode factice.

Et de la même façon, on occultera aisément les débuts du design, pour induire que c’est neuf et qu’il faut y aller, maintenant. Ainsi, on oublie, volontairement, le succès considérable et populaire du design, jusqu’à même la création de la "Coccinelle" de VolksWagen par le moustachu de-la-famille-des-adolfs-les-plus-fâchés, un peintre moyen (pas si raté comme on l’a dit) et führer paraventure, que je tenterais de ne pas nommer. Lequel avait griffoné une petite esquisse sur un coin de table de cette voiture qui se vend encore. C’est vous dire que le design est partout et accepté, même où on ne l’imaginait pas.

Outre: ce petit peintre amateur de ruines, voulait intégrer le Bauhaus et son design dans la reich de mille ans. Mais, lorsqu’il changea brusquement de politique artistique il persécuta les premiers designers. Lesquels durent fuir aux Etats-Unis où ils diffusèrent la chose, vers le style mondial.

Le design c’est le lieu: où l’art, le business et la politique se rejoignent: et là toutes les manipulations de l’information sont à l’oeuvre: car l’art est de l’information.

Il faut ajouter que le premier design était conçu pour l’usage le plus populaire de la classe ouvrière.
Ce n’étaient pas des objets de collections ou rares, mais des objets de série, les moins chers et pour la classe ouvrière la plus nombreuse. Car, des objets développés dans les trois pays les plus attentifs à leurs masses populaires, et pour cause: l’axe des révolutions de droite et de gauche: l’Allemagne, l’URSS et l’Italie.

Et selon l’art des avant-gardes du début du XX siècle, qui avaient collaboré avec les régimes fascistes et communistes, avant d’être persécutées, quand le retour à l’ordre classicisant ou antiquisant revint.

Demian West ArchSaxon ArchFrench style

en causVitant du français qui était plus souplesse du temps de Montaigne...

Le français n’est pas ce petit îlot rationaliste et doctoral, c’est un continent qui s’étend et s’espace à mesure qu’on avance dans sont flux buissonnant...

Tu n’imagines pas les libertés dans la langue, qui étaient en usance avant le XIXè siècle quand on fixa le français, trop.

Comment au XVIè siècle on construisait les adverbes qu’on voulait en ajoutant, à des adjectifs, des briquettes en terminaisons. Qui ose encore dire: "bellement"?
Alors que c'est joli et charmeresse dans une lettre de la love, adressée à une damozelle qui en pâmera de conjouissance.

La langue était riche de ses écarts et de ses essais qui paraissaient balbutier, alors qu’ils étaient surpris en plein acte de fécondation et pas in-vitement.

Parquoi, tout ça c’est que du cochon qui se vautre dans la liberté.

Bien le bonjour chez toi numéro balbutiant.


DW Phil'Coddy's Testimony

à propos de Philippe de Villiers qui imprime ses livres xénophobiques en Hongrie ...

Je ne voudrais point ajouter à la débandade du très-monté Philippe: mais le hongre n’est-il pas ce cheval castré en pays de la presse hongroise, qui lui donna ce titre fameux après lui avoir bien-détranché ses organes e-jaculatoires, et titre qu’on reprit à l’ensuite, partout ailleurs où l’on ne monte plus de jument?
Ce crois-je...as I guess...

Demian West flashy Villepinik splendour

où l'on reparle de sa Villepinique Splendeur...

C’est le mal français: que tous présupposent que nous soyons égaux, tout en exigeant, dans le même temps, de l’excellence partout.

Ainsi, celui qui voudrait porter ce panache bien-haut, devrait-il, paradoxalement, bien se cacher pour éviter le geste de la faux à détrancher.

Car, le français aime à voir ce panache-là mais jamais son porteur excellent.

C’est si compliqué l’art de la mauvaise foi de Nowadaies.

DW Diddle Daddle

Vill' et Sarx and Co...

Pensez-vous vraiment qu’il était de la plus sage stratégie de tenter de briser Villepin, pour faire le lit de son second, comme pour l’aider à prendre ses aises? C’est ainsi que le petit Chaperon Rouge est allé à Mère Grand' aux grandes dents, et nous ne valons pas mieux à cette cuisine-là.

DW replays Ben Hur

il est même un drouguie qui ose s'appeller "Rage" van soi-même...

Rage sait qu’il est fâché...
Mais mon doux rage, n’oublie pas que not’drouguie a croisé les hormones génésiques de la Casta, il y a peu de cela. Et que ça laisse quelques traces en plein drap. Tout-de-même, O mon frère, aussi je trouve très indiciel que notre auteur des vigueurs en splendeurs — mais tout ce qu’il y a de plus calme et polissé, on le reconnaîtra aisément dans son ton modéré — ait choisi de bien-mal-traiter notre Villepinique splendeur. Et just’après qu’il venait de gloupser la tzarrible damozelle des vieilles explosives corsiques Nations.

Et j’ai donc vu que notre ami aime la Beauté, avant tout, et qu'il aime l’harmonie de not’monde-d’aujourd’hui-on-est-tous-des-frères-et-soeurs, et qu'il joint même celles qui sont pas si top-modello, ça fait rien.

Ne jouais-tu pas tantôt dans le film "Ben Hur" des vieilles caméra obscures, Yea Rage. Et au plein de la fameuse scène de la course de chars, qui est aussi longue que la plus longue demi-heure qui dépasse l’entendement. A la fin, la rage se vit retomber, jusqu’à la prochaine course à bride lâchée à la supérette du coin...
Tu dois avoir une vraie nuée d’admiratrices qui te tournevirent à l’entour, et qui te tricotent des marcels pour l’été: quand tu exploses tes colères de vieux lion en feintise...

Demian West hits th'Titanic

Y a-t-il un sage dans le Titanic qui saoule ?

Vous savez O..., ce qui les dérange un peu chez vous, c’est que le centre de gravité de vos phrases est en leur milieu, ni au début ni à la fin. Et c’est le signe des paroles dites par les sages qui savent faire leur chemin, sans qu’ils se préoccupent des pierres qu’on leur jette pour la montre publique.

Vous verrez comme c’est grand' félicité d’agacer de la meilleure façon.

Demian West th'comin'wasp

à des téléChargez pirates du net et de leur jiznée d'arrivée...

Votre problème profond des poches: c’est que vous aimez l’art qu’il vous fait bander, pendant que vous ne comprenez rien de rien aux artistes et à leurs copinettes canons qui vous font hurler de désir: lesquels artis’, genre votre serviteur de ma luxuriante dé’capotable splendeur, font l’art que vous aimez.

Adonc, c’est nous qui vous tenons par les yarbilles des vieilles familles. Et, nous n’avons qu’à tirer sur la cordelette où vous êtes pendus en grappes de couperosés de provence. Pour r’amasser vos arguments de tueurs qui ratent leurs cibles, quand ils ont le flingue dans la narine.

DW pire toward pire

à la pire mauvaise foi des copieurs pirates du net

Vous répétez à l’infini des tunnels, que vous voulez aidez les artis’, de toute votre splendeur des catholiques orants à clé qui tourne dans le dos et qui fait dingle dingle c’est Noël; Que vous ne visez que les majors alors que les majorettes c’est plus canon comme chacun des crapauds qui aime sa crapaude le sait; Que les artistes sont des Picsou qui s’escachent chez DisneyGLand des Majors à requins affamés scientifiquement dans le Circus Maximumuse; Et surtout, que Demian y fait rien qu’à dire des truCreux qu’il mâche même pas quand il pense son petit rot à pap et mam du XXI siècle qu’on est en plein dedans. Surtout lui, car il a de l’avance...

Autrement dit des viokchos terminaisons: vous êtes des classy Hypocrites: comme on en brisait tantôt des moules dans la pire ère victorienne des Anglois: quand le sexe était interdit après le quatre heure, et que c’était le bordel en pleinairisme sur les boulevards et le bois coquin qu’on joignit à-côté, quand la bourgeoisie savait foutre les bordeaux, genre que c’est le pluriel de bordel...

Ouf ça va mieux quand on le dit...

DW no man's loud

à un cartel du P2Pétrol des téléChargez genre furia francese...

Un tel menace, sur un ton snakySnaky tout de feintise, tant il est prêt à prendre les armes, et à attenter gravement à la jiznée des libres-autrement-que-lui.

Tel autre menace aussi, mais on sait qu’il joue son petit Lénine des cinoches à chaque sortie de piste P2P, quand il sort de route surtout en pleine ligne droite, ce qui est propre en désordre.

Un tierce met dans le mil des parcours flèchés, quand il dit que c’est la guerre des majorettes qui s’arrachent les cheveux. Et, qu’il suffit de relucher pour sortir vainqueur.

Un autre fait la pluie et le beau temps, car il suit bien l’histoire fabuleuse du Demian, de la vieille famille des West, qui joue car c’est Noël tous les jours à la cantora.

Et un quarte pirate défile carrément avec ses majorettes ennemies devant le bolchoï Kremlin, les larmes aux yeux, car demain le monde sera avec nous: et donc nous pourrons lui demander: pourquoi faire? On note, au passage devant le mausolée de la momie de Lénine, que ce majoret parle un slova estranger, probablement des sud-moluques, avec Demian que nous connaissons bien.

Et tout ça sur l’Agora des voksal...

Thursday, May 18, 2006

Pensées impensables de Demian West comentActor AgoraFox


Extraits de puma des meilleuses pires réponses flashies de DW à des internoughts passants du journal cityOuane AgoraVox des vieilles Foxys.
Suivi de près du dico-des-nerfs de la novLangue de Demian West ès-cathédrant.

Demian West Code Slut
le Da Vinci Code fait le bide plein de rien

De toutes les façons, le film "Da Vinci Code" n’a aucune chance de pass’through th’roof genre crever le plafond, s’il a fait l’économie de la scène de love torride et gloupsitude, des maîtresses prophétesses et professes, entre Jésus et sa Marie-Madeleine des castings quoi! qu’il annonce quand-même un peu en ses titres ès-blasphèmes.
Quand on fantasme: c’est pas vraiment de la meilleure santé, de se limiter dans ses visions de la débauche autorisée genre droit d’auteur. Le cinéma c’est la vérité dans les glazes, qui sont la part la plus sexy de notre brainyBrainy.

Autrement dit des terminaisons gloupides: quand tu dis au cinoche des vieilles lumières, que Jésus a fait grimper Marie-Madeleine aux rideaux blanc-bleu: tu le montres et avec des webCams dans tout le bastringue des gros-plans genre slut.

Sinon: t’es l’imposteur de la débande. Et le spectActor se décloue de son fauteuil et tout fout le camp et les romains de la syphilisation, avec... BienFait MalFait!

Demian West soli-solo

à un drouguie qui demande des preuves si qu'il prie les sondages...

D’après le Da Vinci Code: Jésus à culBoycodé la Marie des Madeleines de Proust, genre j’me souviens j’y étais: et c’est un drouguie qui luv' les sondages qui a bien-tendu la chandelle des vieux micros, pour les sondages futurs qui gagnent avec des chiffres genre deux mille.
Voilà la vraie preuve du Code DW : Demian West est méta, car il prouve qu’il existe surtout quand il affirme des copules et sans preuve.

on th'run

à un téléChargez qui pirate sa vie d'abord...

Tout ce que tu démontres: c’est que, pour toi, les artistes ne sont que des produits pour ton big-mic-mac de ta démo-soli-solo.

Et donc je comprends que tu n’en connais aucun des artis’ des nouilles.

Tu ne peux donc imaginer combien quantième plus: les gens ont besoin de nous. Et tout ton montage textofourre est à vocation de nous vendre de la poudre de rien. De celle dont tu te fais des petits phares pas alexandrins ni sexy du tout.

Demian West Code getaway

à un donneur de leçon qui a fuit l'escoliose des vieux collèges...

Vous: il faudrait vous faire passer un code et un permis d’écrire, car vous causez genre l’accident de la route biturée des pires carambouilles à chaque virage.

Car là: c’est plus du français maman, c’est de la découpe du faux-filet en soupirs tranchants chez le boucher à la hache des ortho-lentes.

Rassurez-vous si les élections démocratiques se sont postées de la façon si risquée la der-des-fois, je n’y étais pas plus impliqué que chacun des Français dont je suis, comme vous...

Alors dépassez votre chemin inconsidérable passant.


th'ArchPsy

au même de sa luxuriante idem...

Freud a aussi expliqué dans son "Introduction à la Psychanalyse" que la névrose qui s’étend dans le champ social, en devient dès lors une psychose: c’est-à-dire qu’elle provoque un certain désordre qui exige une intervention (de l’homme blanc).
Aussi, il a bien su dégager que la paranoïa est un phénomène essentiellement masculin: quand un individu fait une fixation obsessionnelle sur un autre homme, qu’il va considérer comme le responsable de tous ses malheurs et frustrations. Et ceci pour la raison plus obscure ou pulsionnelle et inconsciente: qu’il éprouve, pour cet objet de sa fixation, une attirance de type homosexuel qu’il refoule et qu’il refuse donc de l’assumer.

Par ailleurs, je ne sais pas ce qu’en disent ni Wiki ni Pédia étant donné que je ne connais ni l’une ni l’autre.

Honky-Tonk Man

toujours lui le robotnicky...

J’admire votre innocence coupable quand vous prenez le lecteur à témoin de votre si puissant esprit, et du mien si éreinté.
Que puis-je faire pour vous aider à sortir de votre nuit impavide?

DW Horny

et encore c'est pas vrai tu-le-crois-pas...

Vous me faites tellement rire...
Vous êtes adorable de fraîcheur genre yaourt enrichi à la génétique du brainyBrainy numérisé: c’est donc vous.

DW antiSeductionMaster

J’ai beaucoup travaillé — Ooops je voulais dire oeuvré — dans ma jiznée de vie. Car, j’ai dû entretenir ma luxuriante splendeur à la montre publique, à celle fin de séduire beaucoup de femmes, qui sont la richesse du monde.

C’est la voie, O petit scarabée, pour atteindre le grand Portail de l’Or azuréen, qu’il est loooiiiinnnn.


wisyWisy

à un fossoyeur du droit d'auteur qui veut appauvrir les artistes pour leur bien ...

La Vie est très habile pour nous montrer que: il ne sert à rien de tenter d’empêcher ceux qui ont décidé de se jeter dans l’errance et l’erreur, quand ils ont choisi de le faire.

Vous manifestez une tendance qui veut niveler l’art; et il ne sert à rien de vous dire que: vous serez tous nivelés comme vous avez nivelé.

C’est votre choix.

Et quand vous vous en plaindrez, je serais un peu plus loin, et j’y verrais grand merveille de la Nature qui est notre Maître, avec le temps.

Ce goût pour la dévoration numérique, n’est qu’une neuve manifestation de l’arrogance de l’occident et...

... avec le temps: La Nature nous plie tous, les uns à l’ensuite des autres.

Maketh Apocalypse Sight

à un drouguie qui causVite d'Iran et qui cherche la warrie...

Sous d’autres latitudes plus freudiennes, les nôtres, ont appelle ça la pulsion de mort: qui revient vitement aux mêmes dégâts et ruines si propices à la méditation sur notre néant; et que nous sommes, et si proclives à le démontrer.

Nous avons aussi nos sectes des plus renfrognés, et genre dégât des eaux, en Occident, on sait défaire un maxiMassy boulot de la vieille besogne. As I guess!

Journalism'Opine

à un journalitoyen d'opination...

C’est grave, il a du parti-pris et qu’il ose balancNocher comme ça! C’est carrément la warrie des vieilles tivi-foot-familles.

Vite: faut retourner au discours bien-gomme-il-faut, cettui qu’on donne dans le genre logique: Bien-fait bienVu bienVu — aw ow — pas-vu-pas-pris.

Sinon: c’est les vieilles attaques contre th’Demian West Code, des neuves bibales genre dolby-stéréo.

C’est du journalisme d’opination: il a dit du Bonnet.

Californicator

le même très cool et fashion...

WOW! ma copine top-modello californicatrice, qui s’appelle Stinky Toes tellement elle est le pied postrême des suprêmes, trouve que je r’assemble à Steve Nashe des Phoenix Sun de la NBA.

Mais Stinky-&-mézigue c’est de la drague à Outrance-en-France.

DW is a cloneBrethren

à un maister des téléChargez qui veut qu'on tranche la taxe sur les dvd...

L’honnêteté exigerait qu’on ne supprime pas cette taxe, étant donné que les utilisateurs de ces supports revendiquent qu’ils continuent de copier et de pirater malgré l’interdiction imposée par la loi.
Le fil de toute votre politique est la consommation au moindre coût. C’est le capitalisme fragmenté ou fractalisé, si propre à l’ère numérique. Et vous êtes un des moteurs, seconds, de cette dialectique qui est "marchande", un point c’est tout!

Vous n’êtes pas le proNetariat mais le "NetKapital" fractalisé.

La liberté n’est qu’un prétexte, que vous agitez, pour obtenir la chose for free. Et le droit d’auteur est un prétexte corollaire que vous touillez paraventure au fond du pot de la sauce moutarde.

DW is a boredome

le droit d'auteur et la copie illégale papa-rase-gratis...

Dans cette affaire très complexe, il faut aborder les questions de façon multiverse, si je puis dire. Car, on veut toujours nous faire avaler la médecine avec d’autres corollaires qui annulent les effets de cette médecine.

Le droit des auteurs est multiple, et il recouvre aussi les arts plastiques outre les arts lyriques. Et il est toujours aisé de le prendre comme alibi en le tirant par une de ses queues qu’il aime à laisser traîner.

Mais, pour ma part, en tant que théoricien des arts, et très attaché à leur libre exercice, je n’oublie jamais les fondamentaux et principes qui en assurent cet exercice-là.

Et donc, je travaille et j’oeuvre à dénoncer et à démonter tous les présupposés qui annonceraient tous pièges qui rendraient vulnérable le droit d’auteur; à la place qui est mienne, avec mon autorité et sans en demander le droit à quiconque ni à aucune Instance, autre que la loi elle-même et le droit des auteurs qui est le bien de tous les artistes, dont je suis.

Demian West ov th'genteel Sainte-Nitouch'

à un drôle genre hostile aux artistes célèb'

Et tant qu’affaire des affaires: pourquoi pas châtrer les Cézannes (s’il était encore vivant)? et les salauds d’artistes qui sont bons. Et puis vitement on s’ra tous des pareils-au-même genre vot’société des clones qui se font tondre par la panurgique des urgences en pannes.

Vive la misère: voilà vot’crédo tondus sur le dos.

Misérables et consorces, et si peu hugolien comme ton.

DW Major National

à un drouguie qui paume rien à DW qui écrit son dico-des-nerfs...

C’est bizarre du bidule un major national de sa promo genre mention-excellent-double-cursus de sa luxuriante splendeur, et qui dirait comme ça que des trucs que les plus calés d’entre vous ne paument pas même une maltchiki ptitza lettre.
Et, qu’ils n’y boivent que de la bouillie, peut-être parce qu’ils n’ont pas de dents à-eux pour bien-m’astiquer.

"Tout vrai langage est incompréhensible" Antonin Artaud le Momo DADA DADA DADA.

J’suis assez dac O dac avec le frèro Momo. Beau gosse d’ailleurs genre sexySexy...

Th'Buzz SexToys

de la liberté des artis' les plus furia francese...

Cettui qui prétendra à contrôler de vrais artistes, aura certainement les yeux rougis genre chauffés à blanc, peut-être par mon habile cat’s skilly predatory. Et cela-même avant qu’il soit né de sa jiznée, si qu’elle serait déjà finie. Comme l’a bien-confirmé not’ drouguie du Arch Maister Einstein: j’veux causViter du Ludwig Broglie des vieilles quanta-soi à proton, tu sais avec ses deux glaçons des familles.

Autrement dit des terminaisons: le truc habile serait de se brouiller avec les pistes, et jusque même dans les lambris et les ors de la République dont les orbites sont des golfes et des streams qui sont clairs... à ce qu’on dit tantôt.

Donc, brouiller des manipules, en toutes circonstances où la liberté serait coincée dans un peep-show tzarrible avec de naughty viochkos, qui se laisseraient aller à la manipuler avec leurs doigts gloupides de la neuve chevalerie païenne.

C’est pourquoi les sages furieux anciens dirent: ProNétaires de toutes payes munissez-vous...

Flashi Fizz Quantik

le maister des téléChargez malephilosophe car il est calé en quantique...

Franchement: r’assembler les troupes de la physique quantique des vieilles marseillaises, et highJacker au passage la bande à Rosnay et tout le bastringue de la joyeuse Agora des foxyLadies (bonjour Monsieur Hendrix Jimy), et tout ça pour nous servir, à nouveau des encore, que la loi du méchant ministère des munsters du cultes... elle est qu’à nous faire des misères m’dam Ouin, "maîtresse maîtresse".

Franchement: c’est beau comme mon chat qui retombe toujours sur ses pattes de la vieille épate pendant la der-étape du Tour d’errance.

Bravo! Brava! Braverie!

RolePlayers only

à un journalitoyen de la warrie contre l'Iran du harem des nukes...

C’est la warrie des grand’Guignolesques et des rocambolages abracadramentombesques: C’est l’info genre carica-du-dur qui frappe à la porte des Chic’dehors.
C’est la guerre j’vous dis: et tout-de-suite sinon c’est la frappe préventive des inventions à la carte des pressés.

Héraclite d’Ephèse, qui n’était pas un clown du cirque maxima en prime tivi, a dit: "La guerre est la mère de toutes choses" et il aurait chuchoté pour faire épaule à son propos: "elle est contre l’avortement en plus".

Par ailleurs, je suis certain que Socrate a dit "Arrêtez les conneries avant de déconner".

I run I ran

au même très fâché...

Vous avez la trouille, ou c’est un dispositif narratif qui sait faire monter la passion des plus grandes et tzarribles incertitudes genre cinoché-du-chasseur.

Ah oui! Y a franchement du cinéma dans ces grands cris autour des puissants qui ont la bombe depuis longtemps dans leur sac-à-roulette-russe-des-emplettes, pour faire des courses à l’armement quoi quoi!

A mon nimble avis: il doivent déjà se partager les zones de tirs genre dégroupé haut-débit, et tout ce qu’il y a de plus: pour se laisser les coudées franches et bousiller surtout du collatéral: car il est en promo au rayon busherie O mes frères et soeurs, cette année de toute l’année; sauf pendant les fêtes de l’Amouuuur-univer’sell qui doux-fleure le sapin des boîtes à pieds-devant.

Trop c’est trop Alain qui en fête trop! Il faudrait calmer votre je, et lui faire lever le pied-devant. Sinon vous aller faire un accident oriental avec votre arme de service, bien qu’elle soit discrète comme le gyrophare d’Alexandrie.

Insane th'Sam

à Sam qui n’aime pas les célèb’, parce qu'il ne l'est pas...

Tu pensais te retrouver entre obscures sur l’Agora.

Tu imaginais que seuls les escachés disent des trucs.

Tu t’es dit comme ça demain on s’ra tous inconnus.

Tu rêves sans doute de la ptitza maison sam’syphilis.

Tu crois que c’est genre l’honneur de pas êt’connu.

Tu y mets même toute ta contention de tes complexions.

Tu y arriveras gloups de n’être personne mais attention.

Tu te fais trop remarquer avec tes prétentions de néant.

Tu ferais mieux de traquer les pires céléb’ par hasard.

Tu sais ceux qui disent de telles conneries et si vite.

Demian West qui t’a vu Sam...

Demian West is under watch

à un drouguie qui paume rien au Demian qui va publier son dico-des-nerfs ici...

Le truc que tu comprends le mieux dans ta jiznée de vie, c’est quand un blaze patronymique t’annonce ton licenciement ou quand un kent genre avocat de sa luxuriante splendeur te slapp’ton placage par ta moitié genre femme ès-spousa, très stalina...
Là tu comprends O mon Frère limpide. Et donc t’es content genre proNetariat du précariat vite, vite.

Quel beau siècle du long temps glaciaire! Wyyypppiiie!

Bravo! Brava! Braverie!

overdose ov girly dalliance

à propos des femmes qui sont la prikrasnaye jiznée de ma vie...

C’est pas ça! je suis d’une parfaite mauvaise fois en cette matière sexy, car je collabore déjà avec les forces du futur. J’y vois quelque avantage. Hyper-malhonnête mais trop bonbon.

De toutes les façons elle sont nos maîtresses ès mauvaise foi: et je crois bien que je les aime pour ça: genre freud m’a opéré tout-de-suite.

Autrement dit: on a déjà perdu la lose.

huge overdose ov a T-random

à un généalogiste qui nous remonte nos gègènes jusqu'aux vieilles famines des T-rexs...

A te lire, on sent bien quelque parfum de rouge krasiv genre sang, qui nous suinterait comme qui dirait, que chez toi les centres de l’attraction sexySexuelle ont dû se brouiller tout-rouge avec les centres de la dévoration de tes contemporains des dino-qui-sortent en ville.

over snaky

au même qui aime le krasiv genre sanguin quoi...

Ton texto qui dépasse son format vers tous périls: C’est ce qu’on appelle, une pensée captieuse et toute controuvée. Attention, encore un peu et tu feras de l’art, et les femmes t’aimeront, ce qui te calmera ton reptile snakySnaky.

Voilà donc, une suite en vraie pensée naturelle toute de bon sens.

over snooze

encore lui les mâchoires d'or de sa libido...

Il faut voir comme le racisme est un "isme" qui fait outre très "connardisme"; et que la xénophobie est un faubourg qui fait très sous-préfecture des vieilles intrigues qui rigolent pas.

Et que ces deux hypertrophiques chattières nous gonflent les forums anciens.

Sarx and Coconut

Sarx and Co: "S’il y en a que cela gêne d’être en France, qu’ils ne se gênent pas pour quitter un pays qu’ils n’aiment pas.”

DW: S’il y en a que cela génère d’être en France, qu’ils ne se gênent pas pour glisser un pays qu’ils n’ahanent pas.

S’il y en a que cela gêgêne d’être en transe, qu’ils ne se gèlent pas pour kiffer un pays qu’ils n’hainent pas.

S’il y en aqueuse glazieuse d’être en France, qu’ils ne se génient papa leur guitarHero du pays qu’ils Hendrixent Wouah.

S’il y en a que slash-jean retro intrance, qu’ils ne se génuflexent pas pour glisser un pays qu’ils n’énervent pas.

S’il y en a queu-leu-leu que sale gène traître-en-France, qu’ils ne se geignent pas de kisser en pays qu’ils n’éteignent pas.

Demian West elect'd

à un contempteur de sa villepinique splendeur de la chic'Polit des Présid' Mazette...

Votre article semble trop le nez collé à la réalité: ce pendant que ce sont les fantasmes électifs aussi, qui régissent le théâtre de la chic’Polit à mazette.

Et Villepin van Savillepinique-Splendeur a un pouvoir attractif si people, qu’il peut venir en jean crade à la réception chez l’ambassadeur du Chic’élyséen, sans perdre de sa luxuriante splendeur.

En plus quantième y causVite en langage très panaché genre Cyrano qu’il-est-le-plus-beau: c’est donc du fantasme dequoi je vous parle et qu’il est la réalité qu’on couche sur la réalité. Aussi, je crois me souvenir que les femmes aiment à voter dans not’pays des beautés farouches qui aiment la poésie légère, et qui finit par peser le plus massyLourd.

Demian West London netWork

le programme chic'polit'de Demian West le chic'Présid Beauteous...

Mon proGramme Polit’ est tout ce qu’il y a de plus quantième: simplesse.
Il faut que chaque citoyen et citoyenne, et donc tous réalisent une extase sexySexuelle satisfaisante par jour du mandat, ainsi tous seront heureux et ce sera la paix sur not’monde-de-demain-on-sera-tous-des-lovers.

Vautrez pour moi de ma luxuriante splendeur.

Demian West mad overBookin'

à propos des parlementaires qui cadrent les recherches des historiens, par toutes formules de lois...

Cette démarche, toute tissée de bons sentiments, jette pourtant le renard dans le pouillis. Je veux dire que, désormais, toute personne ou groupe qui voudra harceler un historien, qui oserait un malenky début de théorie contradictoire, n’aura qu’à diligenter un procès contre cet intellectuel, si vite accusé d’être atteint de la dernière folie.
Et le préjudice sera commis, sans même qu’on ait à préjuger de la décision du juge, à terme. Et, bientôt, tous les chercheurs auront compris qu’il est des zones de la recherche qui seraient, d’une certaine façon soit de toutes les façons, consacrées comme des sanctuaires non-plus du savoir, mais de la neuve religion et à couvert...ou si peu, car assistée par le droit.

Alors que, dans le même temps et depuis des lustres, la société civile des bibales et des librairies est surBookée de bouquins à propos de la délectation de tous mensonges et piperies, genre Code-da-éVincer si scientifiquement diffusé dans toutes les supérettes à essence des autoroutes totalittéraires.

DW wanna bang ye pussy

MiniJack a dit que l'internet n'est qu'un tuyau...

MiniJack dit des jack-a-dit très pertinents, à mon nimbe avis.
Mais, je prétends qu’il fait une analyse trop prosaïque du bidule-à-net, et ceci après nous avoir avalancher la plus tzarrible beauté des déclarations d’amour pour les artis’: qu’il comprend manifestement dans leurs ressorts les plus secrets.

L’internet ce n’est pas un être vivant: c’est un système qui avale la vie et qui en devient un pur simulacre de vie: si qu’il paraîtra vivant et qu’il en deviendra donc vivant et très karacho...

Et l’indice le plus r’assurant de ce genre golem robotnicky serait que le Verbe l’anime et le maîtrise: et non-plus l’image qui fut, en quelque sorte, le viokcho prépa-internet de l’homo artifex, depuis plusieurs millénaires tictac tictac. Etant donné que le texte ou le Verbe aura toujours été réservé à l’élite. Quoi qu’on tente d’en dire au fond de la classe de l’escoliose.

DW King nuke Lear

à un journalitoyen en manque de pétrole iranien...

C’est très intéressant ton rapport exquis sur la menace qui pointe ses ogives comme un oursin qui darde de partouzeNucléarisée.

Mais, je me souviens avoir lu tantôt not’bon viokcho Guy Debord, tu sais le "situationniste" (j’ai pas dit sionniste!) qui disait que l’arme nucléaire était surtout conçue par des dirigeants qui en usaient d’abord pour menacer leur propres populations.

Autrement dit des terminaisons : la guerreWarry calme les ardentes révoltes, chez soi aussi!

Et, j’irais plus loin dans ce promenoir galant et tranquille... en supposant, très calmement, que si l’Iran avait l’arme nucléaire, elle prendrait un coup de vieux subit-comme-la-mort: genre t’es adulte et tu dois faire un peu gaffe maintenant à tes-enfants-que-tu-as-à-manger-à-table.

Et, que ce pays où la syphilisation est née, quand je n’étais que poussière imprévisible, n’a probablement pas envie de mourir si jeune. Puisqu’il serait, à ce qu’on nous dit aux flashInfos, comme retombé en enfance à cause de son plus grand âge.

Enfin, je veux dire qu’il n’ y a pas de bon âge pour mourir. Là on m’suis j’suis sûr!

Par ainsi, ai-je résolument décidé de ne plus m’inquiéter de ces évolutions vers la cata-qui-n’aura-pas-lieu et de tous les errements provoqués par autrui, et dont je n'ai aucune raison de me sentir coupable, comme Epictète me l’a enseigné parce que j’étais beau gosse.

Enfin, tu m’as foutu le frisson avec tes histoires, quand-même! Et, c’est clair! pas d'erreur ! philosopher c’est apprendre à mourir.


Demian West maketh luv' not th' warrie

à un va-t'en-guerre contre l'Orient...

J’ai relu votre article à reprises. Et, chaque fois, il m’appert que vous dites le contenu de votre discours, qui semble apparemment à vocation de maintenir une paix des ménages des nations cryptées, mais toujours sur votre ton si tranchant et tout-défavorable à l’adversaire, que vous auriez en commun avec une des parties la plus puissante.

Et donc, vous dites que tout est incertain quant aux fins de cette affaire de guerre. Alors que dans le même temps: vous dites que les idéologies seraient arrêtées et depuis longtemps. Et, surtout que la morale serait bien-placée en son maître-lieu qu’est l’Occident avec tous ses intérêts.

Par ainsi: vous diffusez ce discours qui semble vouloir humilier un adversaire, puisqu’il y parvient si aisément, quand vous le chargez de tous les mots les plus avilissants: "forcené", "tyranneau" , si même parquoi "mollah" en devient-il, chez vous, une injure à peine couverte par votre ton qu’on entend presque malgré nous. Tellement il y est inscrit, et à entendre, dans vos suites de mots acharnés à la perte d’une autre religion que la vôtre.

Ainsi, vous incitez, à votre degré certes faible, aux mêmes dispositifs qui ont poussé des puissances passées à la guerre, pour être, certainement et vite, brisées par la puissance dominante. Et tout ceci par un dispositif qui oblige le plus faible à résister au plus fort, mais, simplement et naturellement, pour la seule raison qu’un Etat ne saurait perdre la face.

Votre discours n’est pas de la diplomatie, ni de la pensée sereine ou même souveraine: C’est tout simplement la guerre que certains préparent. Voilà la vérité crue! Vous dites la guerre, parquoi vous tentez de la mettre en oeuvre dans les esprits.

Si l’on veut la paix, vraiment, on la commence et on l’entretient unilatéralement: d’arrivée, en changeant nos conceptions et nos présupposés quand ils seraient défavorables à l’adversaire. Et, si notre force est assez persuasive — et comment ne le serait-elle pas avec le passé si lumineux de l’Occident? — nous trouverions naturellement un champ pour l’entente et non-plus pour nous en battre, jusqu’à ce que le hasard en décide de la victoire. Laquelle est paradoxalement humiliante assez, à notre époque; et pour des raisons qui devraient vous retenir dans vos enthousiasmes.

Et, si l’Occident était vraiment fort: il convaincrait autrement que par la menace, surtout quand on sait que la charge punitive irait à rebours tout contre nos entreprises à court terme, cette fois comme les précédentes fois. En Occident, ne savons-nous donc plus prendre les leçons de l’histoire sinon de la guerre, et tout quand nous-nous prétendons les plus sages des plus sages-orientaux?

Somme: On sent trop, dans votre (vos) discours, des accents exaltés des religions qui se savent attendre leur bonne heure, pour se montrer à découvert avec tout leur appareil de contraintes, au moment opportun. Comme il y a du sermon, à la Savonarole, dans votre (vos) article ou votre impatience: qu’on y sent si fort un parfum qui monte à la tête: et qu’il nous inspirerait que, bonnement une guerre sainte soit vite engagée entre les forces chrétiennes et les autres... soit l’enfer. Carrément: tel qu’il est dépeint sur la Sixtine: mais en vos fortes teintures aux couleurs ténébreuses, comme arabiques et mauresques. Ou comme si vous vous revanchiez d’une autre religion et de ses faux prophètes ou mollahs, si l’on vous entend bien, et à cause d’une fantasmatique définitive qui doit beaucoup à l’engagement chrétien qu’on vous présuppose à-certes.

Mais il reste, que ce type de langage ne fait pas et ne fera point, l’unanimité en Occident. Car, la civilisation qui vient, et qui saura mêler les conceptions occidentales aux sagesses orientales, adviendra, probablement, quand vos règlements de comptes anciens auront eu la peau de notre intérêt-d’un-oeil, soit quand ils nous ennuiront tous. C’est-à-dire quand les personnes du sens commun ne prêteront même plus la moindre attention à ces va-t’en-guerre. Car nous voulons prospérer avec nos enfants, et tous vivants, dans un monde qui semble déjà difficile assez, pour que vous jugiez utile de nous charger la barque de nos terreurs. Enfin, dans peu de temps, nous n’irons plus à vos débats, ou vos ébats, que d’une seule fesse avant de quitter ce lit trop martial à notre goût, qui est plus vénusien et doux comme le lait: si bien qu’il attire mieux.


Le Dico-des-nerfs de Demian West:


la gloupsitude :une attitude genre avide de tous les baisements et liquides de l'amour.
professes : mot du vieux françois, genre mitterrandien, qui veut faire le professeur, dragueur en heures sup'.
les glazes : les tas de beaux yeux tu sais...
brainyBrainy : le cerveau, et parfois sauce intello délirant des artis'.
autrement dit des terminaisons : pour en finir avec les mots hypocrites qui cachent sexe.
gloupide : malfamé et dégueu-sur-lui.
des vieilles familles : bien-installé dans la culture. Sûr et bien-connu.
grimper aux rideaux blanc-bleu : monter au septième ciel en première classe.
bastringue : tout l'appareil du toutime.
l'escoliose : l'école qui nous assied mal.
ortho-lente : orthographe malhabile.
der-des-fois : c'était bien mais ne recommencez pas.
robotnicky : type mécanique genre travailleur esclave doulos.
jiznée : vie.
luxuriante splendeur : belle petite gueule.
warrie : la guerre.
proclive : enclin en vieux françois.
massy : énorme.
secte des renfrognés : épicuriens genre bouddhistes et tous intégristes.
la besogne : le travail ; et aussi entreprendre la love.

à suivre genre survie...

Demian West

Sunday, May 07, 2006

IRAN-USA : th'war-game



En mai entre Boston et Washington DC, la fameuse revue des intellectuels américains, "The Atlantic Monthly" met la main au plus profond dans le panier de crabes du Proche-Orient, et de ses sites en progressions nucléaires essaimés, sinon bientôt éclatés. James Fallows y fait une brillante analyse du piège dans lequel l’Occident semble ferré. Dans son article, intitulé "Le Pouvoir nucléaire à-côté de l’Irak", il rappelle que, dès 2004, "The Atlantic" avait mis en oeuvre un "war-game", bien que la revue soit très-éloignée du genre. Mais, elle voulait observer et étudier toutes les options prospectives qui se présenteraient aux belligérants du futur conflit qu’on attend entre les USA et l’Iran.

Autour d’une table ou d’un vrai théâtre de ce jeu de vilains, on sut donc réunir des experts dont Sam Gardiner qui est un colonel à la retraite de l’"US Air Force", et qui participa à des war-games, en vrai, au Pentagone et pendant la première guerre du Golfe. On partit donc depuis les positions rigides — on le reconnaîtra aisément — de Ahmed Ahmadinedjad qui veut rayer de la carte tout l’Etat d’Israël : par un discours qu’il tenait, avant même qu’il soit le président iranien. Et après ce postulat — qui frappe du poing sur la table et fait trembler les pions — les experts en jeu se posèrent cette question : "Et maintenant, ce sera quoi ?" Certes, une bonne question, mais surtout quand on la pose, l’arme au poing.

Comme il convient, ils divergèrent sur d’autres points, mais ils furent unanimes sur un point si surprenant, qu’il contredit toutes poses médiatiques : car selon eux, il serait de la plus aventureuse fantaisie, que les USA ou Israël tentent de détruire les sites de la progression nucléaire en Iran, et par des attaques militaires. Etonnant non ?

Tout d’abord, parce que l’Iran a pris la leçon des attaques préventives du F-16 israélien sur l’Osirak de Saddam, en 1981. Ainsi, l’Iran a-t-elle essaimé ses installations sensibles en plus de 12 sites. De plus, ils sont mal-localisés par les USA. Plus avant : les USA seraient trop dépendants du fait que les Shiites irakiens sont les alliés de l’Iran, quand les USA les ont placés au gouvernement irakien. Et donc, que les Shiites " peuvent faire de l’Irak un enfer" dixit Kenneth Pollack, qui est expert de la "Brooking Institution". Pire encore : le choc pétrolier, qui suivrait une quelconque attaque sur l’Iran, atteindrait le plus grand importateur soient les USA eux-mêmes. Et, finalement, une blitzkrieg sur l’Iran aurait un sûr effet de retardement, qui aggraverait les tensions de toutes natures verbeuses, pendant que l’Iran gagnerait, à sa montre, assez de temps pour protéger ses installations en les diversifiant.

Aussi et avec raison, les experts au war game ont su entrevoir une proche revendication des pays du Proche-Orient à se constituer leurs armes nucléaires respectives : pour l’Arabie Saoudite, puis pour l’Egypte, etc. Et, d’une autre main, on pressent la progression des actions terroristes, car désormais elles seraient bien-couvertes par la nouvelle arme iranienne, en manière de menace ultime. Comme on entend déjà les USA y répondre très-diplomatiquement, c’est-à-dire de la façon, cryptée ou codée, des meilleurs gentlemen qui disent : "Toutes options restent ouvertes". Ce qui laisse habilement entendre le meilleur comme le pire à venir. Et, ce qui veut surtout dire que, nul ne saurait plus prévoir de quoi serait fait notre bel avenir. Dans une phrase revendiquée par Bush, et par toutes les présidences US futures, que celles-ci viendraient de John Mc Cain ou de Hillary Clinton. Quant à Israël, ce discours y est encore plus frappant, puisqu’il encourage à la pire option. Et, seuls les Russes donnent un son si inattendu qu’on le nomme délicieusement "la corrélation des forces", comme une formule qui signifierait en fait : parler le double langage pour tous avantages marchands à court terme.

En réalité, les experts ont diagnostiqué que tout ce théâtre serait enferré dans une sorte de double lien : car quoi qu’on fasse, de part et d’autre, on est pris dans un piège. Et, l’Iran en profite pour savoir jouer la montre, et pour aller tout-droit vers sa capacité à résister aux USA : comme le fait la Corée du Nord qui est son modèle. Ainsi, il y avait 12 sites sensibles en Iran, en 2004, quand aujourd’hui, ils sont 25 à tout le moins. Dans le même temps, les alliances shiites, entre l’Irak et l’Iran, vont-elles leur meilleur train : quand le leader shiite Muktada-al-Sadr a laissé échapper pour qu’on l’entende bien, que, si les USA attaquaient l’Iran, ce serait sa farouche armée du Mahdi qu’il laisserait échapper cette-fois, et furieusement pour le coup !

Tous experts en war-game et intervenants semblent, donc, avoir compris que les USA et Israël blufferaient. Quand ils s’attaquent verbalement au gouvernement iranien, pour éviter les vrais débats des intelligences en oeuvre. Et, donc pour ne pas répondre à la question dans laquelle les services de l’intelligence iranienne, si l’on ose dire, veulent les piéger : "Qui voudrait la guerre ?"

Aussi devrait-on comprendre que : le théâtre de la guerre ne se poserait plus en des termes d’attaques militaires, mais en des termes de manipulations médiatiques, qui paraissent certes grossières quand elles sont publiques, mais qui ont des arrières-plans plus subtils, car on y tendrait des discours en toiles d’araignées tissés de double-liens pour piéger les plus puissants et visibles adversaires. Pour qu’ils s’y prennent les pieds dans le tapis, quoi !

En effet, les USA ne pourraient laisser indéfiniment des troupes en Irak ; mais dans le même temps, si l’armé US quittait le terrain, ce serait le désordre, et pour l’usage qu’elle veut faire du pétrole : ce serait "pain at th’pump" soit la douleur à la pompe. Pareillement, les USA ne pourraient indéfiniment laisser des prisonniers à Guantànamo Bay ; mais dans le même temps, ils ne saurait y avoir de procès sans que les tortures, pratiquées contre les prisonniers, y seraient dévoilées pour dénoncer l’idéal US devant son public même, américain et international. Enfin, les USA ne pourraient accepter que l’Iran serait en charge d’une arme nucléaire ; mais dans le même temps, aucune attaque militaire ne serait envisageable avec raison. Ce que le war-game du "Atlantic" et Sam gardiner a démontré. Et, faudrait-il encore évoquer une opinion américaine qui irait à la guerre à reculons, comme elle révise à-rebours les mensonges de Rumsfeld au sujet des pseudo-armes de destructions massives qui firent l’alibi pour envahir l’Irak. Et, manipulations qui alimentent, ces jours-ci le scandale public sur les "Evening CBS News".

Aussi, à l’issue de cette bataille manipulatoire ou war-game-media, ce serait le basculement de la prééminence occidentale, vers tous ponts jetés entre la Russie et la Chine vers le Proche-Orient, qui se dessinerait en suivant les nouveaux Marchés du pétrole...ainsi que la nouvelle donne des cartes géopolitiques. Nous serions donc, déjà, en plein XXIè siècle quoi !

Et nous constatons : que ces conclusions contrediraient les annonces prospectives mais affolées du fameux historien de Harvard : Niall Ferguson qui fit paraître son article sur la future guerre mondiale et nucléaire, qu’il prévoyait pour 2007 jusqu’en 2011, dans le "Telegraph". En effet, selon ses recherches prospectives, cette guerre mondiale devrait débuter en août 2007, par des échanges de tirs de charges nucléaires, à l’issue d’une crise du war-game entre l’Iran et les USA et Israël. Un jeu de la guerre qui évoquerait la Crise des missiles de Cuba, entre les USA et l’URSS des sixties, et qui s’achèverait en un replay du pire choix que fit Truman contre le Japon : quand la guerre, entre l’Iran et les USA, sortirait du jeu en sortant son jeu.

Mais, n’est-ce pas une spécificité des analyses d’historiens, qu’elles ne répètent souvent que les exemples prélevés dans l’histoire, et sans tenir compte de l’élément inattendu ? Puisque par le fait, il n’est pas encore advenu pour être inscrit dans l’histoire. Il serait donc plus probable : que l’arme nucléaire iranienne servirait de bouclier, et de prétexte à toutes actions terroristes bien-couvertes, plutôt qu’elle prépare le théâtre d’une guerre classiquement ouverte si même nuclaire, et dont personne ne voudrait au fond. Souvenons-nous de la sagesse des peuples babyloniens, qui conseillait de ne pas se méfier du chien qui aboie, mais plutôt de celui qui n’aboie pas : où dirions-nous, aujourd’hui, par où il n’aboie pas, car il tiendrait quelque niche plus sournoise pour lancer son attaque perfide.

Demian West

Thursday, May 04, 2006

Les USA en partition d'Irak




La plus puissante armée du monde ne sait plus comment s’extraire du bourbier, dont elle a pourtant pris l’habitude d’y aller d’elle-même. Lundi dernier, on fêtait le troisième anniversaire de l’annonce par Bush, sur le USS Lincoln, de la fin des opérations militaires majeures en Irak. Et, Harry Reid, le sénateur leader des démocrates en charge de discours, se garda bien d’évoquer les échecs récents, qui n’étaient plus de saison pour la foule acquise à la cause, et qui était là pour entendre d’autres sons du canon.

Au même moment, Joe Biden, le sénateur du Delaware, qui est un grand critique de la politique et de la diplomatie étrangère de l’appareil Bush, donnait son discours au "World Affairs Council" à Philadelphie ; puis, il ajouta des communications au "Washington Times", ainsi qu’il confia quelques réflexions à David S. Broder, qui en fit son éditorial du" Washington Post" du 4 mai.

Joe Biden est également un démocrate du "Comité des Relations Etrangères du Sénat". Il dit craindre non-moins qu’une guerre civile en Irak, entre forces shiites et sunnites. Il faudrait donc revoir, et au plus vite, toute la stratégie et les buts que se seraient fixés les USA en Irak, et pour l’Irak aussi. Il propose donc, d’abandonner l’idée d’un gouvernement unifié sous domination shiite. Et, pour engager une sorte de partage de l’Irak en trois régions : au nord, les Kurdes qui réclament, pour eux, la plus grande indépendance ; au centre, les Sunnites qui préfèrent actuellement le désordre, plutôt qu’un pays sous contrôle des Shiites ; et enfin, au sud, les Shiites qui veulent conserver leur leadership gouvernemental, soient la défense, les affaires étrangères et le contrôle des ressources pétrolières.

La question majeure restant au partage de ces revenus pétroliers, qui couvent puis jettent toutes étincelles pour allumer ces communautés ethniques, entre-elles. Biden considère que si 20 % des revenus étaient réservés aux Sunnites, à confiner dans un territoire au centre de l’Irak : chacun resterait enfin chez soi, sans plus agresser l’autre. Et les USA pourraient, alors, songer à quitter cette poudrière ou ces sables mouvants, comme on voudra, et dès 2008.

Il insiste sur le fait, qu’il ne s’agirait pas d’une partition, bien qu’il évoque ce risque à mots couverts.

La constitution irakienne autorise cette nouvelle cartographie, des 18 provinces, en trois grandes régions fédérales. Mais, il faudrait laisser, dans la place encore chaude, une force résiduelle de type "over-the-horizon", et un "Groupe de contact" : pour s’assurer du bon-respect des engagements pris par toutes parties contractuelles, et pour s’assurer que les minorités incluant les femmes soient préservées.

En fait, il est très savoureux d’entendre que Biden va jusqu’à comparer ce processus, aux débats qui firent les "Articles de la Confédération", quand les 13 premiers Etats ont posé les jalons de la Constitution du gouvernement fort et central. On comprend qu’il ne saurait mieux tenter de convaincre son auditoire US, par toutes ses fibres les plus nationalistes. Et, dans le même temps, Biden assure qu’il s’agit d’un dispositif proche des " Accords de Dayton" qui surent mettre fin à la guerre des Balkans, vers une Bosnie unifiée.

Mais, comme la queue du chien sait toujours reprendre sa forme, il laisse échapper ses craintes d’un gouvernement irakien qui s’affaiblirait par un tel dispositif, et qui entérinerait une tri-partition de l’Irak. Ce qui est déjà une réalité sur le terrain, et qui justifie ces visions de l’avenir de l’Irak, selon les propres termes de Biden.

En conséquences, et à y regarder de plus loin, pour mieux voir ou plus vastement sur ce coup de dé, on entend bien quelque air de sauve-qui-peut que nous chanterait l’habile Biden. Cependant, que l’administration Bush s’exhibe à toutes caméras utiles des CBS et des CNN de toutes les heures et minutes, en ses danses hésitantes au sujet des plans A ou B ou C, tous vers l’Iran : si bien qu’on ne sait plus précisément quels seraient les deux termes de l’alternative.

Nous en sommes donc à la proposition Biden, qui ne dit pas qu’elle pourrait mener à la partition de l’Irak... ni que tout ce théâtre de la politique, se jouerait peut-être pour sauver, le plus habilement, les meubles sinon la face de l’aigle.

Demian West

Wednesday, May 03, 2006

Les Etats-Unis veulent gagner la France





A Washington DC, on s’inquiète de savoir si l’aigle américain n’a pas deux têtes qui agiraient chacune à l’inverse de l’autre, tant la politique étrangère apparaît schizoïde. En effet, les élites s’interrogent, comme on manifeste dans la rue à New York, sur le bien-fondé des faucons US qui, après l’invasion au rouleau compresseur sur l’Irak, mettent en place des régimes démocratiquement élus, ce qui serait bien, s’ils ne s’empressaient, aussitôt, de faire le lit, dans leurs textes constitutionnels, à la shariah ou la loi islamique.

L’article 2 de la Constitution irakienne stipule que : " Aucune loi qui contredirait les prérogatives de l’islam ne saurait être établie" . Et Sayyed Ayad est un membre libéral du Parlement irakien qui demande la séparation de la mosquée et de l’Etat ; et, pourtant, il n’a exprimé aucun doute, pendant son voyage aux Etats-Unis, sur le choix pro-shariah que ferait bientôt le peuple irakien. Et, que l’Irak testerait, au moins pour dix ou vingt ans, cette formule de loi islamique. Comme il en fut en Afghanistan, et désormais tantôt en Irak. Aussi, aux Etats-Unis, on pense ardemment aux suites de ce contournement des voies démocratiques, qui a contraint, il y a peu, l’apostat devenu chrétien, Abdul Rahman à s’expatrier en Italie pour fuir les exercices si définitifs de la shariah, qui se décident soit au tribunal soit à la rue.

Aux Etats-Unis, on comprend qu’il faille respecter le droit des peuples à leur auto-détermination. Mais, sur le territoire provincialiste US, on ne saisit plus l’utilité du sacrifice des soldats américains pour une telle cause : laquelle bien que démocratique, irait, dans ses prolongements et conséquences, à rebours des plus fondamentales conceptions de la liberté occidentale, pour laquelle ces jeunes soldats se seraient quand-même un peu engagés et qu’ils en meurent.

Par ailleurs, on se lasse aussi du comportement absurde de la jihad qui résiste férocement, car elle veut mettre l’envahisseur américain à la mer. Ce qu’on peut comprendre, mais beaucoup moins quand ces troupes infernales des infidèles US aident à installer des régimes pro-shariah, que ces combattants de la jihad réclament jusqu’à se jeter dans des charges suicidaires. Aussi, Il est légitime que le citoyen de la rue US y sente quelque paradoxe, sinon un parfum amer de contradiction, qu’il faudrait, à tout le moins, lui expliquer.

Et, dans son éditorial du "Washington Times", du 28 avril et intitulé "Shariah Nations", Diana West se fait l’écho de telles oppositions qui montent pour poser cette question qui sourd comme à basse note. Elle suppose que le front serait tout autre, et même plus vaste qu’il y paraît. Et, elle propose une carte du conflit qui s’espacerait selon trois axes : d’abord, depuis la grotte introuvable de Ben Laden vers Téhéran ; puis, selon les flux des révoltes qui flambent du Danemark des caricatures jusqu’aux rues fumantes et hurlantes de Tel Aviv ; et enfin, selon un nouvel axe très-surprenant qui irait de la banlieue allumée, pour ne pas dire illuminée, de Paris jusqu’à la chaise électrisée de Moussaoui au Tribunal du Ground Zero.

En effet, elle déclare une drôle de guerre US qui devrait faire plus fort que le débarquement de Normandie en 1944 "to win France", ce sont les termes mêmes de notre belle amazone. Mais, aussitôt, en sage éditorialiste elle modére son propos, quand elle précise que le front occidental, c’est-à-dire américain, contre l’instauration des régimes gouvernant selon la shariah, exigerait préalablement une meilleure compréhension de l’islam. On a senti le vent du boulet !

C’est-à-dire, qu’elle préconise une lutte mais transposée sur le champ des idées : pour d’abord expliquer les buts démocratiques, sinon pour combattre leurs détournements. Et, qu’il faudrait engager au plus vite un processus de réflexion, qui s’espacerait au-delà du train trop tranquille des débats du nouveau "Groupe d’Etude Irakienne". Lequel a, certes, été mis en oeuvre par le "US Institut pour la Paix", dont les personnalités non-gouvernementales conseilleraient la Présidence Bush. Mais, qui est composé de vétérans trop politiquement corrects, pour pouvoir oser un vif débat qui saurait briser le sceau d’anciennes conceptions trop usées, sinon leurs siestes notoires. Car, il est assez admis, que ce ne seraient pas les poussifs James Baker, ni Vernon Jordan qui pourraient renverser les stratégies, qui ont amené un tel détournement des votes démocratiques qui finissent par faire le lit de ce qu’ils tentèrent d’éloigner à tout prix.

Diana West demande donc à la Présidence, ainsi qu’à l’opinion descendue dans la rue, la constitution d’un "Groupe d’Etude de l’Islam" qui serait composé de personnalités qui auraient tranché leur langue de bois avec toutes échardes. La rue y serait très favorable, puisque les citoyens et toutes élites et people confondus manifestent à New York, et à reprises ces jours-ci.

C’est pourquoi, Diana West vient de proposer les personnalités suivantes pour constituer le "Groupe d’Etude de l’Islam" : Hirsi Ali, Bat Ye’or, Bruce Bawer, et Andrew G.Boston. Car désormais, au coeur de l’Empire, ont craindrait plus l’extension de la shariah par le processus démocratique que par les excès de la jihad, et surtout en Europe et dans la France : qui est étrangement perçue, si nous n’étions juste avant la saison touristique, comme la pointe la plus avancée de la peur de l’islamisation, tant l’Amérique s’espacerait sur tous les fronts.

Demian West