Thursday, May 25, 2006

Neuves pensées impensables de Demian West dans la presse du proNetariat



Demian West picks up girly Castin'

à un drouguie qui a vu Laetitia Casta shoper des livres en ville...

Je suis frustré à mort par votre article, quand je déplore que vous n’avez même pas tenté de causViter avec elle, un malenky petit peu...

Ca devait être la tzarrible tempête dans votre tête de gulliver. Mais franchement, votre article me donne l’effet d’une annonce d’un super-match de foot qui se solderait par un match-nul genre rien-du-tout. Surtout que je ne regarde jamais de foot: c’est dire que vous m’avez creusé l’inconscient des vieilles libidos et sans me coller un but du fond bien qu’il ait des filets partouze.

J’aurais préféré que vous nous racontiez votre dernière drague et en ses suites favorables, que j’aurais trouvées plus fameuses ou célèb’, voire people, plutôt que cette histoire de cinoche à grosse caisse avec ses gros souliers à talons emmi (parmi en vieux françois dragueur) la grosse coupure genre: coupez!

Mais c’est juste mon avis de lecteur qui aime lire de belles histoires avec des détours zoum zoum bézoumnis et surprenants.

Je n’ai pu vous commentater hier, car, j’étais pris par tous mes endroits les plus chers: jugez-en. En patientant pour un rendez-vous d’affaires artis’, j’ai pu jouer une dizaine de parties de babyFoot des veilles cantines, avec une top-modello qui boss avec van soi-même. Et, franchement c’était un gouffre d’érotisme vésuvien genre l’Etna fâché, quand elle marquait dans mes filets et que ça critchait plonk’, et que polit’ retenuement, j’allais lui chercher la balle pour remettre ça.

Et en plus elle aimait surtout ma façon de faire tourner mes p’tits footballeux, et nous somme convenus d’ensemble que le flipper ça doit être pas mal du tout aussi, pour des intellos genre artis’...

Demian West th'ClearString Affair

à un journalitoyen qui a vu plein de morts, jetés par la fenêtre et les volets sinon du viokcho cancer, autour des marchés des frégates dans les clairs streamy...

Comme tu peux t’en douter, puisque tu es maître ès-enquêtes, je suis un grand lecteur des aventures de Sherlock Holmes. Et, en suivant sa méthode hypothético-déductive, il devient clair, comme le plus duit des stream, que c’est la faute: d’une part, de l’attraction terrestre qui ne pardonne pas quand on excède ses étages, et d’autre part, aux rayons chimio-trèsRapides. Et incidemment, aux volets qui nous roulent trop par les temps qui frégatent.

J’espère que tu n’auras pas quelque pulsion du casino, à tenter l’escalade de la face nord de ton appartement, ni de tenter d’huiler tes volets paraventure, non-plus que de gagner un week-end si paradisiaque que définitif sur les sites du médecine-man dompteur de crabes & cobras, ces jours proches: car ce serait plus que de la gourmandise, ce serait gastronomique genre la grande bouffe organisée par les services tout ce qu’il y a de plus discrets...

DW Yuro WizVision

à propos du prix de l'Eurovision trash assez cette année et présentés par Micky Drucker des anti-rollin'stona...

De toutes les façons, ce n’est pas Michel des vieilles familles des Drucker que vous voyez à la tivi-foot des salons, mais bien son cloneBrethren.

Car l’original a été momifié dans les ateliers du Kremlin, par les suttle spécialistes qui ont bien-conservé le drouguie Lénine des vieilles stalina, dans le formol des plus sûrs Gogols.

Plus simplement: la zone des nano-cortex, du starrie Micky’, qui est en charge de ses réparties karacho gavaritées au débotté classy, n’est pas encore au top-des-modellos. C’est ce qui lui donne cet air viokcho et un peu du temps d’avant le plastique... qui était plus lent que Nowadaies.

Demian West de la SouissGeneva

à un comentActor raciste qui ose critiquer l'art contemporain de nowadaies...

Joint: le comentActor Scipion des vieilles adolfiques très fâchées qui fait oeuvre malgré van lui-même: d’art contemporain mais surtout des contemporains merdskoïs.

Ce qui est désormais manifeste: c’est que tous ceux, dont vous parlez en liste si bien-documenteuse, s’expriment publiquement, alors que vous n’oseriez pas dire le plus petit slava de votre gueuloir en presse des foules: En public et à découvert.

Car, le Scipionique forlongé nuit à la santé, quand on en a un lopin.

Genre gravure à l’acide des nitriques-matraqueuses électriques et franchement pétochardes.

Slutement

DW th'BigBroth'Translator

La traduction d'après le dico-des-nerfs de DW ...

Traduction à l’usage des bien-entendants.
Scipion (qui se donne son propre genre mal-propre),

J’ajoute: le commentateur actif Scipion qui est manifestement réactionnaire, si qu’il fait oeuvre malgré lui: d’art contemporain mais surtout pour nos contemporains les plus mesquins et misérables.

Ce qui est désormais manifeste: c’est que tous ceux, dont vous parlez en liste si bien-documentée — mais uniquement pour servir votre propos — s’expriment publiquement. Alors que vous n’oseriez pas dire le plus petit mot de votre harangue face à la foule: soit en public et à découvert.

Car, le Scipion insistant nuit à la santé, quand on en a un peu.

Comme le fait la gravure à l’acide nitrique qui cogne comme une matraque électrique dont jouent surtout les faibles plus anxieux.

Cochonnement

DW sert les services discrets

Sur le même sujet du royaume qui n'en est pas un : ni sujet ni royaume...

Chers collés acoués par toutes queues,
Pour une fois der-des-fois: soyons mal-honnêtes.

Reconnaissons ce qui apparaît dans cette suite artificières de commentaires arti-fessiers si révulsés de bonheur, mais tout ce qu’il y a de plus retenuement et polit’.

Nous sommes tous et d’ensemble, comme qui dirait, passés à travers le toit: tellement c’est bon que l’Eurovision se soit explosée en plein vol. Car, elle tournait depuis trop longtemps dans ses approches aéroportées, par très mauvais temps... et gros en plus malgré son régime chwouette-vacher...

Maintenant, il ne s’agit que de convenir, du plus important à dégager de ces événements cas-taudiques: il serait question de déduire l’âge du capitaine, vu qu’il se flinguait à coup de seringue d’extrait de puma addict aux barbus-turques, depuis des carlingues du temps qui tourne tictac tictac.

Moi je pense qu’il avait au moins sept des siècles, genre patriarche vétéro-testamentaire qui cumulait les spousas et leurs copinettes ancillaires.

Encore un bon-coup du Gode-Da-Vinci des neuves conjouissances, orfévri par Dan'Michet Drucker.

Autrement dit des terminaisons à laser: Que cettui qui n’a jamais zappé, me jette la première madeleine.

DW on th'Billard

à un drouguie qui me remercie d'avoir fait la diagnose FreudChienne de Scipion...

Oui! je regrette un peu, car c’est dur d’opérer tout-de-suite une âme si sensible et meurtrie de Scipion.

Mais, j’avais tous mes outils et scalpels dehors, et j’ai fait ça selon les soviets du Doc'Luv’Cigar Freud, qui conseillait la psychanalyse sauvage même sauvageonne un peu.

Et si je vous dis que j’ai fait ça pour aider la société... vous ne vous moquerez pas genre me gronder l’hypocrite?

DW artis'hits th'Cash

à un pseudo-éditeur qui casse le droit d'auteur pour le cash vitement tout-pour-lui...

Vous aussi, vous entrez dans ce bal tragique: de ceux qui parlent au nom des artis’ sans en être partie.

Vous nous faites l’effet de grands frères qui ne laissent aller leur petite soeur que du bout des ongles, vers leur petit buddy genre copain. Tellement vous infantilisez des catégories que vous ne re-connaissez pas.

Le présupposé est infantilisant et donc inadmissible. Occupez-vous donc de prospérer dans vos affaires, plutôt que de disserter sur les nôtres, dont nous savons nous occuper seuls: dans la société de Marché qui réussit aux meilleurs.

Cessez-donc de faire les pleurards pour nous. Vous nous porteriez un certain tort, en tentant de vouloir notre bien, alors que nous ne vous demandons rien du tout de rien néantNoughtNichevo.

DW the Fox in th'NetBox

au même qui osa médire du Grand La Fontaine des vieilles escolioses...

Vous pensez le terme "affaire" peu compatible avec le mot "artiste". Et donc, vous nous dites-là, le plus clairement, la façon dont vous envisagez de traiter les auteurs de votre catalogue, quand il sera bien parfourni, et tout pour vous enrichir.

Il vous suffira de bien-dire à vos artistes et poulains: que les "affaires" c’est pas bien, et l’argent encore moins, si presque sale.

Comme vous avez pris la leçon des maîtres du capital, qui ont tous commencé petits et charmants comme vous: tout droit issu du Paradis des arts véritables.

C’est un vieux coup de la pseudo-morale des maîtres du capital: de dire que l’argent est sale pour que quelques naïfs y croient, pour qu’ils le délaissent aussi vite dans le pur esprit de chevalerie, qui est surtout l’esprit de se faire blutter ou se faire avoir. Ce pendant que le maître fédérateur se goinfrera des bénéfices qu’ils lui ont abandonné comme un montjoie.

Relisez La Fontaine et son rusé animal qui sait renauder. Il y en a d’autant sur le net, pour-sûr.

Demian West luvs th'in-law

à un passant qui paume rien à la lingua Demiana du foutur...

Comment pourriez-vous apprendre de moi en ne comprenant pas le sens de mes propos et de mes attitudes liées?

Peut-être en méditant sur l’agacement que vous ressentez : si qu’une chose vous paraîtrait neuve et étrangère comme inattendue dans votre monde, que vous pensiez connaître si bien. Et qu’il serait peut être tantôt si différent.

Pour les horaires de ma plus muette splendeur: sachez que je ne me tais qu’en présence de mon avocate en son alcôve studieuse.

Demian West Gode Da Vinci

à une bonne âme paffée de bonnes intentions meurtrières, mais tout ce qu'il y a paraventure...

Tu es l’ange tombé du ciel, et qu’il rêve tout-éveillé genre j’écris deux trois petites histoires et je vais gagner à la roulette du casino de l’enfer...

Je ne voudrais pas être là, quand tu apprendras dans quel monde tu as été jeté et où nous sommes, genre la vacillité tombe sur le dur.

En attendant cette seconde de vérité, tu as tous mes encouragements.

J’espère qu’on t’a au moins informé que nous tombons malade tantôt, que nous vieillissons certainement, et qu’à la fin nous mourrons et pire encore: sans l’avoir voulu.

Remarque vu comme ça: il ne reste que le rêve: C’est quand qu’on recommence...

Demian West Dark Stuff Publisher

encore des nouvelles nouilles du pseudo-éditeur qui brûle ses auteurs...

Et dire, miniJack, que dans les "gens qui posent au-dessus de leurs moyens", vous avez poussé-fourré tant que vous le pouviez le plus grand La Fontaine. Cettui que chaque enfant du CM2 apprend pour la vie, par coeur, et qu’on donna tantôt à la Comédie Française, dans les sublimes décors de Wilson: que du banal et du trivial de la misère littéraire que vous déplorez, pour la grande prospérité de vos catalogués. On devine aisément la suite de leur notoriété dont vous les préservez comme du gain si caca-boudin...

Vous vous dites mini, peut-être pour bien escacher votre trop haute opination de vous-même, et qu’elle vous écrase comme la grenouille éclata tout son ballon par-devant la grande bête à corne.

DW Business Theatrum

à un Che qui voulait réconcilier les artis et les téléChargez genre pirates du net...

Il est un point obstiné dans vos discours, qui vous englue dans des espoirs vains. Je veux parler de ce présupposé que les artistes seraient de la chair-à-contrôler, ou à ranger dans une boîte propre-en-ordre.

Quelle idée saugrenue et neuve! tellement elle a été éreintée, depuis que le monde s’en est déjeuné, il y a longtemps.

Celui qui voudrait ranger les artistes, ne gagnera qu’à vieillir avant l’âge tellement y a du massyBoulot.

Nul n’y parviendra jamais. Et si vous fréquentiez plus et mieux les artis’: vous le sauriez sans laisser aucun doute dans les coulisses de votre esprit qui y tient quand-même si qu’il s’accroche et glisse. Et, vous voir fabuler sur la comète comme un Cyrano -- qui a certes du panache mais tout pour le théâtre et ses illusions d’effets -- est trèstout plaisant mais pour le fun et jamais pour les affaires qui continuent...

...Si bien que la pièce que vous donnez se joue le temps de l’entr’acte...

Demian West th'Buzzzzzzzzzz...

nous donnions encore des nouvelles des niouzes nouilles...

Quand vous traitez des questions qui voudraient concilier les téléchargeurs et les artistes: personne ne répond ou commente.

Car vos amis, se fichent totalement de la source de leurs jouissances artistiques. Les artistes sont jetables dans leur esprit de consommateurs. Voilà la vérité crue, telle quelle!

Il sont les néo-microKapitalistes et c’est tout. Ceux-là-mêmes qui veulent tout pour rien, et tout-de-suite, sinon c’est la guerre...

Comme une maîtresse-furie disait à Auguste: "soit tu me baises, soit c’est la guerre..."

Sur le net: on ne ment pas c’est le flux-cash-now!

Et pendant ce temps je buzzzzzzzzz...

DW a friendly girl request

à un pirate du net qui menace de boyCoder les artis' de la misère...

Et bien: en lieu de le dire il serait plus explicite que vous le fassiez, et donc que vous cessiez d’acheter: pourtant c’est l’inverse qui se produit et tous les jours qu’ils vous contredisent. Car, il y aura toujours des acquéreurs au vrai prix, qu’on doit mettre pour faire l’acquêt de la qualité... Les autres déflationnistes ne nous intéressent guère, car ils s’affament d’eux-mêmes jusqu’à leur misère qu’ils tentent de nous imposer en système d’échange: pourquoi-pas le troc bientôt.

DW maketh luv'sights

la réponse du disquaire à la téléChargère...

La seule solution que j’estime souhaitable: serait que vous lâchiez la grappe aux artis’ qui savent tirer leur meilleur vin, sans votre concours.
Et l’affaire est close.

DW talk'Designer

à une damozelle qui causVite de design sans vraiment savoir les desseins...

J’en suis désolé pour vous, mais comment pouvez-vous dire cette énormité designesque, qu’avant 1966, les revues d’art ne parlaient pas de design.

Alors que le design existe, depuis les années 20 du Bauhaus, et que des revues d’art on été constituées autour de ce phénomène en soi. A tel point, qu’il a donné tout l’objectal de l’architecture et de l’art contemporain du XX siècle.

Vous retardez des siècles: le XXème.

Plus encore: le principe même en avait été annoncé par Victor Hugo à l’Assemblée quand il parlait des graphismes de Dromard, qui avait illustré le "Portefeuille" de Vaucanson.

C’est bien de vulgariser, mais encore faudrait-il enseigner dequoi nous parlons...du design qui est un des arts plastiques. Mais est-ce seulement votre matière?

S’il suffisait de dire que la photo est devenu un art au début du XXè siècle, quand tout fut dit, alors qu’elle a été inventée dans les années 1830, et juste pour dire un propos qui paraîtrait plus crédible: on n’en tromperait pas moins.

DW disegno design now sign

à la même en plus clair encor' mais tout c qu'il y a de plus gentleman ...

Votre article est de la contre-information an-historique.
Le design a été inventé par Walter Gropius, avec Paul Klee et Kandinsky... un architecte et des artistes...dans les années 20.

Et pour produire des objets à moindre prix, pour tous, et des oeuvres de beauté.

Donc, prétendre que le phénomène de la démocratisation serait récent, et que c’est la rareté qui a fait l’art de l’oeuvre de design, récemment: est une expression soit de l’ignorance soit de la mésinformation, sinon de la désinformation.

Vous avez carrément zappé toute la période historique du design. Et je pense que vous avez mal saisi les propos de vos connaissants et référents, car je ne sache pas que vous ayez découvert le design, bien que vous affirmiez avoir découvert sinon fait un grand designer qui était "inconnu", de vous certainement.

Votre discours est donc en rupture avec ce qui est communément et légitimement admis dans la transmission de cette matière.

Aussi, permettez que le lecteur entende ce design-là.

DW girly design infinite legs

encore une couche de peinture genre vernis hard-rock-metal du design...

Comprenez-moi. Il y a certainement deux niveaux de communication au sujet du design. Et, tantôt un spécialiste dira le phénomène tel que le public le perçoit. Et donc, il le dira dans une façon moins conforme au phénomène du design tel qu’il fonctionne en coulisses: mais plutôt sous l’angle de l’effet de mode qui le rend public.

C’est pour cette raison que je n’expliquerais pas plus à J..., pour quelle raison on a décidé de la naissance historique du design autour du Bauhaus: et avec raison.

Pourquoi ne dit-on pas tout du design? car chaque entreprise qui crée des objets du design, a déjà tout un catalogue des formes à venir. Qui seront lancées selon des vagues de modes successives, pour stimuler l’achat.

Mais tous les designer savent que, depuis le début, tout avait été dit. C’est pourquoi la "DS" était un modèle si achevé d’arrivée, et qu’elle semble encore futuriste aujourd’hui. Je veux dire que la notion de progrès en design, est toute factice et qu’elle est juste-là pour induire qu’il y a nécessité d’acheter pour être dans le coup.

Comme le design sait user des polymères, pour induire tous matériaux naturels mais sur le mode factice.

Et de la même façon, on occultera aisément les débuts du design, pour induire que c’est neuf et qu’il faut y aller, maintenant. Ainsi, on oublie, volontairement, le succès considérable et populaire du design, jusqu’à même la création de la "Coccinelle" de VolksWagen par le moustachu de-la-famille-des-adolfs-les-plus-fâchés, un peintre moyen (pas si raté comme on l’a dit) et führer paraventure, que je tenterais de ne pas nommer. Lequel avait griffoné une petite esquisse sur un coin de table de cette voiture qui se vend encore. C’est vous dire que le design est partout et accepté, même où on ne l’imaginait pas.

Outre: ce petit peintre amateur de ruines, voulait intégrer le Bauhaus et son design dans la reich de mille ans. Mais, lorsqu’il changea brusquement de politique artistique il persécuta les premiers designers. Lesquels durent fuir aux Etats-Unis où ils diffusèrent la chose, vers le style mondial.

Le design c’est le lieu: où l’art, le business et la politique se rejoignent: et là toutes les manipulations de l’information sont à l’oeuvre: car l’art est de l’information.

Il faut ajouter que le premier design était conçu pour l’usage le plus populaire de la classe ouvrière.
Ce n’étaient pas des objets de collections ou rares, mais des objets de série, les moins chers et pour la classe ouvrière la plus nombreuse. Car, des objets développés dans les trois pays les plus attentifs à leurs masses populaires, et pour cause: l’axe des révolutions de droite et de gauche: l’Allemagne, l’URSS et l’Italie.

Et selon l’art des avant-gardes du début du XX siècle, qui avaient collaboré avec les régimes fascistes et communistes, avant d’être persécutées, quand le retour à l’ordre classicisant ou antiquisant revint.

Demian West ArchSaxon ArchFrench style

en causVitant du français qui était plus souplesse du temps de Montaigne...

Le français n’est pas ce petit îlot rationaliste et doctoral, c’est un continent qui s’étend et s’espace à mesure qu’on avance dans sont flux buissonnant...

Tu n’imagines pas les libertés dans la langue, qui étaient en usance avant le XIXè siècle quand on fixa le français, trop.

Comment au XVIè siècle on construisait les adverbes qu’on voulait en ajoutant, à des adjectifs, des briquettes en terminaisons. Qui ose encore dire: "bellement"?
Alors que c'est joli et charmeresse dans une lettre de la love, adressée à une damozelle qui en pâmera de conjouissance.

La langue était riche de ses écarts et de ses essais qui paraissaient balbutier, alors qu’ils étaient surpris en plein acte de fécondation et pas in-vitement.

Parquoi, tout ça c’est que du cochon qui se vautre dans la liberté.

Bien le bonjour chez toi numéro balbutiant.


DW Phil'Coddy's Testimony

à propos de Philippe de Villiers qui imprime ses livres xénophobiques en Hongrie ...

Je ne voudrais point ajouter à la débandade du très-monté Philippe: mais le hongre n’est-il pas ce cheval castré en pays de la presse hongroise, qui lui donna ce titre fameux après lui avoir bien-détranché ses organes e-jaculatoires, et titre qu’on reprit à l’ensuite, partout ailleurs où l’on ne monte plus de jument?
Ce crois-je...as I guess...

Demian West flashy Villepinik splendour

où l'on reparle de sa Villepinique Splendeur...

C’est le mal français: que tous présupposent que nous soyons égaux, tout en exigeant, dans le même temps, de l’excellence partout.

Ainsi, celui qui voudrait porter ce panache bien-haut, devrait-il, paradoxalement, bien se cacher pour éviter le geste de la faux à détrancher.

Car, le français aime à voir ce panache-là mais jamais son porteur excellent.

C’est si compliqué l’art de la mauvaise foi de Nowadaies.

DW Diddle Daddle

Vill' et Sarx and Co...

Pensez-vous vraiment qu’il était de la plus sage stratégie de tenter de briser Villepin, pour faire le lit de son second, comme pour l’aider à prendre ses aises? C’est ainsi que le petit Chaperon Rouge est allé à Mère Grand' aux grandes dents, et nous ne valons pas mieux à cette cuisine-là.

DW replays Ben Hur

il est même un drouguie qui ose s'appeller "Rage" van soi-même...

Rage sait qu’il est fâché...
Mais mon doux rage, n’oublie pas que not’drouguie a croisé les hormones génésiques de la Casta, il y a peu de cela. Et que ça laisse quelques traces en plein drap. Tout-de-même, O mon frère, aussi je trouve très indiciel que notre auteur des vigueurs en splendeurs — mais tout ce qu’il y a de plus calme et polissé, on le reconnaîtra aisément dans son ton modéré — ait choisi de bien-mal-traiter notre Villepinique splendeur. Et just’après qu’il venait de gloupser la tzarrible damozelle des vieilles explosives corsiques Nations.

Et j’ai donc vu que notre ami aime la Beauté, avant tout, et qu'il aime l’harmonie de not’monde-d’aujourd’hui-on-est-tous-des-frères-et-soeurs, et qu'il joint même celles qui sont pas si top-modello, ça fait rien.

Ne jouais-tu pas tantôt dans le film "Ben Hur" des vieilles caméra obscures, Yea Rage. Et au plein de la fameuse scène de la course de chars, qui est aussi longue que la plus longue demi-heure qui dépasse l’entendement. A la fin, la rage se vit retomber, jusqu’à la prochaine course à bride lâchée à la supérette du coin...
Tu dois avoir une vraie nuée d’admiratrices qui te tournevirent à l’entour, et qui te tricotent des marcels pour l’été: quand tu exploses tes colères de vieux lion en feintise...

Demian West hits th'Titanic

Y a-t-il un sage dans le Titanic qui saoule ?

Vous savez O..., ce qui les dérange un peu chez vous, c’est que le centre de gravité de vos phrases est en leur milieu, ni au début ni à la fin. Et c’est le signe des paroles dites par les sages qui savent faire leur chemin, sans qu’ils se préoccupent des pierres qu’on leur jette pour la montre publique.

Vous verrez comme c’est grand' félicité d’agacer de la meilleure façon.

Demian West th'comin'wasp

à des téléChargez pirates du net et de leur jiznée d'arrivée...

Votre problème profond des poches: c’est que vous aimez l’art qu’il vous fait bander, pendant que vous ne comprenez rien de rien aux artistes et à leurs copinettes canons qui vous font hurler de désir: lesquels artis’, genre votre serviteur de ma luxuriante dé’capotable splendeur, font l’art que vous aimez.

Adonc, c’est nous qui vous tenons par les yarbilles des vieilles familles. Et, nous n’avons qu’à tirer sur la cordelette où vous êtes pendus en grappes de couperosés de provence. Pour r’amasser vos arguments de tueurs qui ratent leurs cibles, quand ils ont le flingue dans la narine.

DW pire toward pire

à la pire mauvaise foi des copieurs pirates du net

Vous répétez à l’infini des tunnels, que vous voulez aidez les artis’, de toute votre splendeur des catholiques orants à clé qui tourne dans le dos et qui fait dingle dingle c’est Noël; Que vous ne visez que les majors alors que les majorettes c’est plus canon comme chacun des crapauds qui aime sa crapaude le sait; Que les artistes sont des Picsou qui s’escachent chez DisneyGLand des Majors à requins affamés scientifiquement dans le Circus Maximumuse; Et surtout, que Demian y fait rien qu’à dire des truCreux qu’il mâche même pas quand il pense son petit rot à pap et mam du XXI siècle qu’on est en plein dedans. Surtout lui, car il a de l’avance...

Autrement dit des viokchos terminaisons: vous êtes des classy Hypocrites: comme on en brisait tantôt des moules dans la pire ère victorienne des Anglois: quand le sexe était interdit après le quatre heure, et que c’était le bordel en pleinairisme sur les boulevards et le bois coquin qu’on joignit à-côté, quand la bourgeoisie savait foutre les bordeaux, genre que c’est le pluriel de bordel...

Ouf ça va mieux quand on le dit...

DW no man's loud

à un cartel du P2Pétrol des téléChargez genre furia francese...

Un tel menace, sur un ton snakySnaky tout de feintise, tant il est prêt à prendre les armes, et à attenter gravement à la jiznée des libres-autrement-que-lui.

Tel autre menace aussi, mais on sait qu’il joue son petit Lénine des cinoches à chaque sortie de piste P2P, quand il sort de route surtout en pleine ligne droite, ce qui est propre en désordre.

Un tierce met dans le mil des parcours flèchés, quand il dit que c’est la guerre des majorettes qui s’arrachent les cheveux. Et, qu’il suffit de relucher pour sortir vainqueur.

Un autre fait la pluie et le beau temps, car il suit bien l’histoire fabuleuse du Demian, de la vieille famille des West, qui joue car c’est Noël tous les jours à la cantora.

Et un quarte pirate défile carrément avec ses majorettes ennemies devant le bolchoï Kremlin, les larmes aux yeux, car demain le monde sera avec nous: et donc nous pourrons lui demander: pourquoi faire? On note, au passage devant le mausolée de la momie de Lénine, que ce majoret parle un slova estranger, probablement des sud-moluques, avec Demian que nous connaissons bien.

Et tout ça sur l’Agora des voksal...

5 comments:

Anonymous said...

arrete l'absinthe, passe au cyanure. Ca sent la sueur de cerveaux dans ta feuille de choux mon gars. Fait plaisir a tous tes petits copains humains, tait-toi, t'as visiblement pas grand chose a dire.

Anonymous said...

Il faut quand même avoir un trou du cul d'une sacré dimension pour évacuer une telle diarrhée verbale. Félicitations Mr Demian West ! Je suis impressionné, c’est là qu’on se rend compte que vous êtes vraiment un artiste… comment dites-vous ?… brainyBrainy !

Laurent said...

Je constate avec étonnement que vous n'avez pas supprimé mon post grivois. Ceci vous honore, Demian West. Je dois dire qu'au début de vous lire, je vous trouvais agaçant, maintenant je vous trouve drôle. Je finirais peut-être par vous trouver du talent voire par grimper aux rideaux blanc-bleu en vous lisant...

Anonymous said...

Why not laurent !!!!!

Personnelement j'attends avec impatience d'avoir autre chose à lire que cet article qui commence à sentir la poussière !!

A ta plume Démian !

Demian west said...

Je suis à la cantora et je vous prépare la suite très épicée genre opiacées, tout ce qu'il y a de plus trans-graisseux...

Votre serviteur à table le Demian qui revient de près...