Sunday, August 10, 2008

John Edwards pris la main dans le string

On se souvient de John Edwards qui se ligua à Obama pour sortir la fumante Hillary de la campagne des présidentielles amrica. He bien il fait sa grasse repentance sur toutes les ondes des mass média en plein mois d'août.

C'est qu'il a trompé sa femme et son staff de campagne, en d'autres termes des terminaisons : il a trompé l'Amérique. Et avec une copine de 43 balais qui était appostée à prendre ses plus belles photos pour en jeter à la Presse des glossy covers.

Toutefois, il n'insistera pas pour qu'on se perde en des tests de paternité pour savoir un peu qui serait le père de la fille de son ex maîtresse. Il a bien vérifié le timing sur sa rolex et elle ne peut pas être une fille Edwards. C'est bien compté. Et tout le monde sait que l'amour n'est qu'une question de temps.

Après ses effusions en prime à la Jimmy Swaggart, il ne saurait plus être vice-président. Car, au pays des moralités télévisuelles, il ne faut pas être pris on line quand on s'adonne à l'art de la chambre à coucher tout ce qu'il y a de plus illicite mais trop éjouissant.

Il reste que la religion du pardon et espacée à tout le champ de la société voit d'un très bon oeil ces séances d'auto flagellation qui se repentent de leurs flagelles paumées in action. C'est bien de montrer qu'on regrette tout le plaisir qu'on a pu prendre pendant qu'on se gavait d'aphrodisiaques du pouvoir et de la politique.

Finalement c'est très moche pour Hillary, qui s'était quand même fait virer par le couple Obama-Edwards, qui lui reprochait et agressivement les pires transgressions de la morale. Quand elle ne pensait qu'au pouvoir, pour se revancher de Bill au placard.

3 comments:

Anonymous said...

Salut demy

"Et tout le monde sait que l'amour n'est qu'une question de temps." et time is money.

Demian west said...

C'est l'éternité qui doit coûter cher !

Anonymous said...

Oui, l'éternité ça coute bonbon, et seules quelques sucursales te la vende en échange d'un sacré paquet d'actions et encore faut-il qu'elles soient bonnes.